Dom Michel Le Nobletz, en breton Mikêl an Nobletz (1577-1652), fut au début du XVIIe siècle le premier et l'un des plus vigoureux missionnaires de la Réforme catholique dans le Royaume de France. Actif en Basse-Bretagne, il développa pour nourrir son propos des méthodes pédagogiques nouvelles, et inventa notamment l'usage de cartes peintes, appelées aujourd'hui taolennoù ou tableaux de mission, dont il reste de nombreux exemplaires. Son procès en béatification, ouvert par l'évêque de Léon en 1701, dix huit ans après le décès de son disciple Julien Maunoir, n'a toujours pas abouti, mais l'Église catholique l'a déclaré vénérable en 1897.

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  • Dom Michel Le Nobletz, en breton Mikêl an Nobletz (1577-1652), fut au début du XVIIe siècle le premier et l'un des plus vigoureux missionnaires de la Réforme catholique dans le Royaume de France. Actif en Basse-Bretagne, il développa pour nourrir son propos des méthodes pédagogiques nouvelles, et inventa notamment l'usage de cartes peintes, appelées aujourd'hui taolennoù ou tableaux de mission, dont il reste de nombreux exemplaires. Son procès en béatification, ouvert par l'évêque de Léon en 1701, dix huit ans après le décès de son disciple Julien Maunoir, n'a toujours pas abouti, mais l'Église catholique l'a déclaré vénérable en 1897. (fr)
  • Dom Michel Le Nobletz, en breton Mikêl an Nobletz (1577-1652), fut au début du XVIIe siècle le premier et l'un des plus vigoureux missionnaires de la Réforme catholique dans le Royaume de France. Actif en Basse-Bretagne, il développa pour nourrir son propos des méthodes pédagogiques nouvelles, et inventa notamment l'usage de cartes peintes, appelées aujourd'hui taolennoù ou tableaux de mission, dont il reste de nombreux exemplaires. Son procès en béatification, ouvert par l'évêque de Léon en 1701, dix huit ans après le décès de son disciple Julien Maunoir, n'a toujours pas abouti, mais l'Église catholique l'a déclaré vénérable en 1897. (fr)
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  • Hervé Queinnec (fr)
  • Marc Court (fr)
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  • * Lancer en l'air la poussière ramassée dans une chapelle pour avoir un vent favorable. * Fouetter les saintes images pour obtenir le retour heureux d'un membre de la famille. * Jeter un couteau ou un trépied dans le champ pour se protéger du loup. * Vider l'eau d'une maison de crainte que l'âme du décédé ne s'y noie. * Mettre des pierres devant l'âtre la veille de la saint Jean pour permettre aux âmes des disparus de s'y réchauffer. * Danser la nuit entière dans les chapelles. * Réciter à genou l'oraison dominicale devant la nouvelle lune. * Prédire au jour de l'an les morts à venir dans l'année en sacrifiant pour chacun une tranche de pain beurré aux fontaines et observant celles qui surnagent. * Parsemer de graines de sarrasin les fossés pour se concilier le diable. * ... (fr)
  • * Défaut de vocation de Dieu. * Défaut de pureté d'intention. * Trop grande pauvreté qui fait prendre l'état comme un petit métier d'artisan. * Défaut de science. * Esprit de superbe, et bonne opinion de sa propre suffisance. * Désir d'estime et de crédit dans le monde. * Affection déréglée pour ses proches parents. * Défaut d'esprit de pénitence, « l'attache aux plaisirs de la bouche ». * « Fainéantise et mépris de l'étude ». * Défaut de dévotion. (fr)
  • Messieurs et parents, l’humble salut vous soit donné de ma part en Jésus-Christ, comme prenant mon dernier congé, en concorde d’avec vous et d’avec tous mes amis. Mais, pour y parvenir, je vous dirai, par ces lignes, que vous avez trouvé le lieu où il y a eu plusieurs richesses, grâce à Dieu, parlant de mon coffre. Mais, vous devez vous réjouir de ce qu’elles n’y sont plus, parce que je m’en suis servi pour soulager ma pauvre vie. Vous savez que notre Dieu a créé ce beau monde sur un fondement qui s’appelle : rien. En cette considération, j’ai voulu vous laisser, par mon testament, ce beau rien dans un coffre, espérant que vous en pourriez tirer plus de profit et de gain que si je vous y aurais laissé quelque trésor d’or ou d’argent, connaissant bien que la possession de l’or et de l’argent et autres biens de ce monde sont les plus dangereux ennemis de notre salut. Par conséquent, je vous laisse ce beau rien à partager également entre vous, afin que l’un de vous en puisse avoir autant que l’autre, sans aucun priseurs ni estimateurs, pour éviter les frais, et je vous donne avis que ce beau rien est grandement chéri, et est si noble et si puissant qu’il n’y aura jamais procès ni discorde pour lui. C’est l’amitié que je vous porte et que et que je dois porter à Notre-Seigneur Jésus-Christ qui m’a fait vivre d’une manière extraordinaire aux mondains, pour vous laisser ce précieux joyau que j’ai acquis de mon trafic en ce monde. Ce rien est propre pour les doctes et pour les ignorants, parce qu’il n’y a mot en toute la grammaire si facile à décliner que ce beau rien qui se décline ainsi. Nihil, nihil per omnes casus ; c’est-à-dire : rien, rien pour tout cas, rien pour tout partage. Ce beau rien vous retirera de la tyrannie d’un greffier et de la patte d’un sergent, qui vous eussent contraints d’inventorier tous mes biens, pour parvenir à l’inventaire de vos bourses. C’est pourquoi, je vous supplie d’avoir souvenance du salut d’une pauvre âme laquelle je recommande à vos bonnes prières autant et plus que si je vous avais laissé de grands biens. Car, pour lors, vous eussiez été étroitement obligés à cause de mes biens; mais vous mériterez davantage, priant Dieu pour moi par pure charité, et non à cause de mes biens, mais priant fraternellement et charitablement Car, il n’est pas honnête d’aimer le parent comme le chien aime les os, à cause de la chair qu’il y trouve à ronger, mais aimer le parent et ami, sans en désirer récompense, et en laisser la rétribution au bon Dieu, qui ne laisse aucun bien sans guerdon. O, rien, rien, lequel fait riche le pauvre, puisque la pauvreté est la vraie richesse quand on l’embrasse de bon cœur. L’on dit : ex nihilo, nihil fit. Je vous dis contra quae : ex nihilo omnia fiunt. L’on dit encore que la consolation de plusieurs malades est rien, comme par exemple : si quelqu’un est bien malade et a perdu l’appétit, on lui demandera : vous plait-il manger de ceci ou de cela, ou boire ceci ou cela ? Le malade, incontinent, répond : nenny. Et si on lui demande : que mangerez-vous et que boirez-vous pour vous sustenter et soulager en votre maladie ? Il répliquera sur le lieu : rien du monde, et par conséquent, ce beau rien le contente plus que toute chose qu’on puisse lui donner. C’est pourquoi, considérant que quelques uns de vous mes héritiers, êtes malades du désir d’avoir de moi ce que je ne puis vous donner, je vous laisse pour soulagement de votre maladie ce précieux médicament : rien. Ce qui est cause que je ne vous laisse que ce beau rien pour toute ma succession, c’est qu’en toute ma vieillesse je ne me suis adonné à aucun gain ni trafic. Et, quant à mon revenu, comme vous savez, il était trop petit pour m’entretenir et subvenir aux accidents qui me sont advenus. Ce qui a été cause qu’il m’a été besoin d’avoir recours à l’assistance de mes amis. Car, pour mes parents, ils ne m’ont pas subvenu entièrement pour vivre selon ma vocation, encore que quelqu’un d’eux m’ait fait la charité. Mais, ceux de qui j’en ai reçu le plus, ç’a été de quelques bonnes femmes dévotes, qui m’ont beaucoup assisté. C’est pourquoi je suis bien obligé de prier Dieu pro devoto fémineo sexu. Je vous dis toutes ces choses pour vous ôter hors de peine, vous suppliant d’avoir soin du salut de mon âme, par vos bonnes prières, encore que je ne vous laisse rien : vous assurant de ma part que je prierai le Souverain Législateur et auteur de tous biens, de vous consoler de ses saintes et abondantes bénédictions. Adieu.. (fr)
  • * Lancer en l'air la poussière ramassée dans une chapelle pour avoir un vent favorable. * Fouetter les saintes images pour obtenir le retour heureux d'un membre de la famille. * Jeter un couteau ou un trépied dans le champ pour se protéger du loup. * Vider l'eau d'une maison de crainte que l'âme du décédé ne s'y noie. * Mettre des pierres devant l'âtre la veille de la saint Jean pour permettre aux âmes des disparus de s'y réchauffer. * Danser la nuit entière dans les chapelles. * Réciter à genou l'oraison dominicale devant la nouvelle lune. * Prédire au jour de l'an les morts à venir dans l'année en sacrifiant pour chacun une tranche de pain beurré aux fontaines et observant celles qui surnagent. * Parsemer de graines de sarrasin les fossés pour se concilier le diable. * ... (fr)
  • * Défaut de vocation de Dieu. * Défaut de pureté d'intention. * Trop grande pauvreté qui fait prendre l'état comme un petit métier d'artisan. * Défaut de science. * Esprit de superbe, et bonne opinion de sa propre suffisance. * Désir d'estime et de crédit dans le monde. * Affection déréglée pour ses proches parents. * Défaut d'esprit de pénitence, « l'attache aux plaisirs de la bouche ». * « Fainéantise et mépris de l'étude ». * Défaut de dévotion. (fr)
  • Messieurs et parents, l’humble salut vous soit donné de ma part en Jésus-Christ, comme prenant mon dernier congé, en concorde d’avec vous et d’avec tous mes amis. Mais, pour y parvenir, je vous dirai, par ces lignes, que vous avez trouvé le lieu où il y a eu plusieurs richesses, grâce à Dieu, parlant de mon coffre. Mais, vous devez vous réjouir de ce qu’elles n’y sont plus, parce que je m’en suis servi pour soulager ma pauvre vie. Vous savez que notre Dieu a créé ce beau monde sur un fondement qui s’appelle : rien. En cette considération, j’ai voulu vous laisser, par mon testament, ce beau rien dans un coffre, espérant que vous en pourriez tirer plus de profit et de gain que si je vous y aurais laissé quelque trésor d’or ou d’argent, connaissant bien que la possession de l’or et de l’argent et autres biens de ce monde sont les plus dangereux ennemis de notre salut. Par conséquent, je vous laisse ce beau rien à partager également entre vous, afin que l’un de vous en puisse avoir autant que l’autre, sans aucun priseurs ni estimateurs, pour éviter les frais, et je vous donne avis que ce beau rien est grandement chéri, et est si noble et si puissant qu’il n’y aura jamais procès ni discorde pour lui. C’est l’amitié que je vous porte et que et que je dois porter à Notre-Seigneur Jésus-Christ qui m’a fait vivre d’une manière extraordinaire aux mondains, pour vous laisser ce précieux joyau que j’ai acquis de mon trafic en ce monde. Ce rien est propre pour les doctes et pour les ignorants, parce qu’il n’y a mot en toute la grammaire si facile à décliner que ce beau rien qui se décline ainsi. Nihil, nihil per omnes casus ; c’est-à-dire : rien, rien pour tout cas, rien pour tout partage. Ce beau rien vous retirera de la tyrannie d’un greffier et de la patte d’un sergent, qui vous eussent contraints d’inventorier tous mes biens, pour parvenir à l’inventaire de vos bourses. C’est pourquoi, je vous supplie d’avoir souvenance du salut d’une pauvre âme laquelle je recommande à vos bonnes prières autant et plus que si je vous avais laissé de grands biens. Car, pour lors, vous eussiez été étroitement obligés à cause de mes biens; mais vous mériterez davantage, priant Dieu pour moi par pure charité, et non à cause de mes biens, mais priant fraternellement et charitablement Car, il n’est pas honnête d’aimer le parent comme le chien aime les os, à cause de la chair qu’il y trouve à ronger, mais aimer le parent et ami, sans en désirer récompense, et en laisser la rétribution au bon Dieu, qui ne laisse aucun bien sans guerdon. O, rien, rien, lequel fait riche le pauvre, puisque la pauvreté est la vraie richesse quand on l’embrasse de bon cœur. L’on dit : ex nihilo, nihil fit. Je vous dis contra quae : ex nihilo omnia fiunt. L’on dit encore que la consolation de plusieurs malades est rien, comme par exemple : si quelqu’un est bien malade et a perdu l’appétit, on lui demandera : vous plait-il manger de ceci ou de cela, ou boire ceci ou cela ? Le malade, incontinent, répond : nenny. Et si on lui demande : que mangerez-vous et que boirez-vous pour vous sustenter et soulager en votre maladie ? Il répliquera sur le lieu : rien du monde, et par conséquent, ce beau rien le contente plus que toute chose qu’on puisse lui donner. C’est pourquoi, considérant que quelques uns de vous mes héritiers, êtes malades du désir d’avoir de moi ce que je ne puis vous donner, je vous laisse pour soulagement de votre maladie ce précieux médicament : rien. Ce qui est cause que je ne vous laisse que ce beau rien pour toute ma succession, c’est qu’en toute ma vieillesse je ne me suis adonné à aucun gain ni trafic. Et, quant à mon revenu, comme vous savez, il était trop petit pour m’entretenir et subvenir aux accidents qui me sont advenus. Ce qui a été cause qu’il m’a été besoin d’avoir recours à l’assistance de mes amis. Car, pour mes parents, ils ne m’ont pas subvenu entièrement pour vivre selon ma vocation, encore que quelqu’un d’eux m’ait fait la charité. Mais, ceux de qui j’en ai reçu le plus, ç’a été de quelques bonnes femmes dévotes, qui m’ont beaucoup assisté. C’est pourquoi je suis bien obligé de prier Dieu pro devoto fémineo sexu. Je vous dis toutes ces choses pour vous ôter hors de peine, vous suppliant d’avoir soin du salut de mon âme, par vos bonnes prières, encore que je ne vous laisse rien : vous assurant de ma part que je prierai le Souverain Législateur et auteur de tous biens, de vous consoler de ses saintes et abondantes bénédictions. Adieu.. (fr)
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  • Dix raisons qui rendent indigne de devenir prêtre (fr)
  • Le catéchisme mystique de dom Michel Le Nobletz (fr)
  • Michel Le Nobletz et ses réseaux (fr)
  • Michel Le Nobletz, pasteur et mystique (fr)
  • Coutumes superstitieuses observées par le père Le Nobletz (fr)
  • Un Adieu et congé que prend Monsieur Le Nobletz de Messieurs ses Parents et Héritiers (fr)
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  • Dom Michel Le Nobletz, en breton Mikêl an Nobletz (1577-1652), fut au début du XVIIe siècle le premier et l'un des plus vigoureux missionnaires de la Réforme catholique dans le Royaume de France. Actif en Basse-Bretagne, il développa pour nourrir son propos des méthodes pédagogiques nouvelles, et inventa notamment l'usage de cartes peintes, appelées aujourd'hui taolennoù ou tableaux de mission, dont il reste de nombreux exemplaires. Son procès en béatification, ouvert par l'évêque de Léon en 1701, dix huit ans après le décès de son disciple Julien Maunoir, n'a toujours pas abouti, mais l'Église catholique l'a déclaré vénérable en 1897. (fr)
  • Dom Michel Le Nobletz, en breton Mikêl an Nobletz (1577-1652), fut au début du XVIIe siècle le premier et l'un des plus vigoureux missionnaires de la Réforme catholique dans le Royaume de France. Actif en Basse-Bretagne, il développa pour nourrir son propos des méthodes pédagogiques nouvelles, et inventa notamment l'usage de cartes peintes, appelées aujourd'hui taolennoù ou tableaux de mission, dont il reste de nombreux exemplaires. Son procès en béatification, ouvert par l'évêque de Léon en 1701, dix huit ans après le décès de son disciple Julien Maunoir, n'a toujours pas abouti, mais l'Église catholique l'a déclaré vénérable en 1897. (fr)
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