La lecture kun ou kun'yomi (訓読み, lecture sémantique) d'un kanji est une lecture dont la sémantique reste issue du chinois, mais la prononciation est historiquement japonaise, contrairement au on'yomi (音読み, « lecture phonétique ») dont la prononciation est également chinoise. Lors de l'introduction de l'écriture au Japon par les moines bouddhistes chinois, au VIe siècle, celle-ci fut utilisée pour transcrire la langue japonaise. En effet, les caractères japonais de type kanji (transcription japonaise du terme hanzi : chinois simplifié : 汉字 ; chinois traditionnel : 漢字 ; pinyin : hànzì ; litt. « caractère han ») sont historiquement des sinogrammes han : ils véhiculent un sens, que ce soit via un pictogramme, un idéogramme ou bien un idéophonogramme chinois. Dans le cas de la lecture kun, un k

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  • La lecture kun ou kun'yomi (訓読み, lecture sémantique) d'un kanji est une lecture dont la sémantique reste issue du chinois, mais la prononciation est historiquement japonaise, contrairement au on'yomi (音読み, « lecture phonétique ») dont la prononciation est également chinoise. Lors de l'introduction de l'écriture au Japon par les moines bouddhistes chinois, au VIe siècle, celle-ci fut utilisée pour transcrire la langue japonaise. En effet, les caractères japonais de type kanji (transcription japonaise du terme hanzi : chinois simplifié : 汉字 ; chinois traditionnel : 漢字 ; pinyin : hànzì ; litt. « caractère han ») sont historiquement des sinogrammes han : ils véhiculent un sens, que ce soit via un pictogramme, un idéogramme ou bien un idéophonogramme chinois. Dans le cas de la lecture kun, un kanji conserve le sens du sinogramme dont il est issu mais substitue sa prononciation par une prononciation japonaise, d'origine plus ancienne. (fr)
  • La lecture kun ou kun'yomi (訓読み, lecture sémantique) d'un kanji est une lecture dont la sémantique reste issue du chinois, mais la prononciation est historiquement japonaise, contrairement au on'yomi (音読み, « lecture phonétique ») dont la prononciation est également chinoise. Lors de l'introduction de l'écriture au Japon par les moines bouddhistes chinois, au VIe siècle, celle-ci fut utilisée pour transcrire la langue japonaise. En effet, les caractères japonais de type kanji (transcription japonaise du terme hanzi : chinois simplifié : 汉字 ; chinois traditionnel : 漢字 ; pinyin : hànzì ; litt. « caractère han ») sont historiquement des sinogrammes han : ils véhiculent un sens, que ce soit via un pictogramme, un idéogramme ou bien un idéophonogramme chinois. Dans le cas de la lecture kun, un kanji conserve le sens du sinogramme dont il est issu mais substitue sa prononciation par une prononciation japonaise, d'origine plus ancienne. (fr)
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  • La lecture kun ou kun'yomi (訓読み, lecture sémantique) d'un kanji est une lecture dont la sémantique reste issue du chinois, mais la prononciation est historiquement japonaise, contrairement au on'yomi (音読み, « lecture phonétique ») dont la prononciation est également chinoise. Lors de l'introduction de l'écriture au Japon par les moines bouddhistes chinois, au VIe siècle, celle-ci fut utilisée pour transcrire la langue japonaise. En effet, les caractères japonais de type kanji (transcription japonaise du terme hanzi : chinois simplifié : 汉字 ; chinois traditionnel : 漢字 ; pinyin : hànzì ; litt. « caractère han ») sont historiquement des sinogrammes han : ils véhiculent un sens, que ce soit via un pictogramme, un idéogramme ou bien un idéophonogramme chinois. Dans le cas de la lecture kun, un k (fr)
  • La lecture kun ou kun'yomi (訓読み, lecture sémantique) d'un kanji est une lecture dont la sémantique reste issue du chinois, mais la prononciation est historiquement japonaise, contrairement au on'yomi (音読み, « lecture phonétique ») dont la prononciation est également chinoise. Lors de l'introduction de l'écriture au Japon par les moines bouddhistes chinois, au VIe siècle, celle-ci fut utilisée pour transcrire la langue japonaise. En effet, les caractères japonais de type kanji (transcription japonaise du terme hanzi : chinois simplifié : 汉字 ; chinois traditionnel : 漢字 ; pinyin : hànzì ; litt. « caractère han ») sont historiquement des sinogrammes han : ils véhiculent un sens, que ce soit via un pictogramme, un idéogramme ou bien un idéophonogramme chinois. Dans le cas de la lecture kun, un k (fr)
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