L'alévisme (Alevilik en turc, Elewî en zazaki, Elewî en kurmandji, al ‘alawīyyah en arabe) regroupe des membres de l'islam dits hétérodoxes et revendique en son sein la tradition universelle et originelle de l'islam et plus largement de toutes les religions monothéistes. L'alévisme se rattache au chiisme duodécimain à travers le sixième imam (Dja'far al-sadiq) et à Haci Bektaş Veli, fondateur de l'ordre des bektachi dont la généalogie mythique remonte aussi au sixième imam. Il se classe dans les traditions soufies et ses croyances sont assimilables au panenthéisme et d'autres un courant « libéral » ou « progressiste » de l'islam dont les dogmes diffèrent de ceux du sunnisme et du chiisme dit jafarisme.

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  • L'alévisme (Alevilik en turc, Elewî en zazaki, Elewî en kurmandji, al ‘alawīyyah en arabe) regroupe des membres de l'islam dits hétérodoxes et revendique en son sein la tradition universelle et originelle de l'islam et plus largement de toutes les religions monothéistes. L'alévisme se rattache au chiisme duodécimain à travers le sixième imam (Dja'far al-sadiq) et à Haci Bektaş Veli, fondateur de l'ordre des bektachi dont la généalogie mythique remonte aussi au sixième imam. Il se classe dans les traditions soufies et ses croyances sont assimilables au panenthéisme et d'autres un courant « libéral » ou « progressiste » de l'islam dont les dogmes diffèrent de ceux du sunnisme et du chiisme dit jafarisme. Haci Bektaş Veli, mystique philosophe de l'alévisme, est le fondateur éponyme de la confrérie des bektachis qui joua un rôle primordial dans l'islamisation de l’Anatolie et des Balkans. Le culte alévi bektachi, avec les apports de Haci Bektas Veli, véhicule des idées qui sont présentées comme coïncidant huit siècles plus tard avec la Déclaration universelle des droits de l'homme (1948). Le semah, cérémonie religieuse des alévis bektachi, est classé au patrimoine culturel immatériel de l'humanité par l'UNESCO. Les Alévis considèrent aussi comme sacrés les livres de l'ancien et du nouveau testaments, ainsi que les écrits apocryphes. (fr)
  • L'alévisme (Alevilik en turc, Elewî en zazaki, Elewî en kurmandji, al ‘alawīyyah en arabe) regroupe des membres de l'islam dits hétérodoxes et revendique en son sein la tradition universelle et originelle de l'islam et plus largement de toutes les religions monothéistes. L'alévisme se rattache au chiisme duodécimain à travers le sixième imam (Dja'far al-sadiq) et à Haci Bektaş Veli, fondateur de l'ordre des bektachi dont la généalogie mythique remonte aussi au sixième imam. Il se classe dans les traditions soufies et ses croyances sont assimilables au panenthéisme et d'autres un courant « libéral » ou « progressiste » de l'islam dont les dogmes diffèrent de ceux du sunnisme et du chiisme dit jafarisme. Haci Bektaş Veli, mystique philosophe de l'alévisme, est le fondateur éponyme de la confrérie des bektachis qui joua un rôle primordial dans l'islamisation de l’Anatolie et des Balkans. Le culte alévi bektachi, avec les apports de Haci Bektas Veli, véhicule des idées qui sont présentées comme coïncidant huit siècles plus tard avec la Déclaration universelle des droits de l'homme (1948). Le semah, cérémonie religieuse des alévis bektachi, est classé au patrimoine culturel immatériel de l'humanité par l'UNESCO. Les Alévis considèrent aussi comme sacrés les livres de l'ancien et du nouveau testaments, ainsi que les écrits apocryphes. (fr)
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  • Pir Sultan Abdal est un célèbre poète turc alevi du . La beauté et la richesse de ses vers reflète la vie sociale, culturelle et religieuse du peuple anatolien. Humaniste, il écrit au sujet de la résistance, l'amour, la paix, la mort et Dieu. En raison de sa révolte contre l'autoritarisme du pouvoir ottoman et sa proximité avec le Chah Ismail Ier ou Chah Hatayi il fut pendu par le pouvoir central en 1550. (fr)
  • Le Coran, source principale de l'islam, ne mentionne pas précisément la salat : ni la forme, ni à quelle heure de la journée elle doit être pratiquée, ni la rekât . Le Coran précise que le croyant doit réaliser son culte la nuit, à une heure ne perturbant pas les horaires de travail, le jour étant consacré au travail : * Sourate 17 verset 78 : « Acquitte-toi de la salât du déclin du soleil jusqu’à la tombée de la nuit, sans oublier de réciter une partie du Coran à l’aube, car la récitation du Coran à l’aube ne se passe jamais sans témoins ». Le Coran ne contient aucune indication concernant les « cinq prières quotidiennes », aussi les « cinq prières quotidiennes » ne sont pas un commandement d'Allah mais une modification de l'islam originel. Pour Yasar Nuri Ozturk, théologien sunnite, « la forme actuelle du namaz est largement déterminée par les Emevi (Omeyades). Toujours selon Yasar Nuri Ozturk, même Anas ibn Malik, compagnon du Prophète, se plaint de l'altération de la « salat » par les Emevi (Omeyades) ». De plus, aucun verset ne commande au croyant de réaliser la salat pendant la journée. Par ailleurs, aucun verset ne décrit le namaz sous sa forme actuelle pratiquée dans les mosquées : le Coran utilise le terme « salat » qui signifie « prière » sans préciser la forme de celle-ci. La forme globale du salat alevi-bektachi diffère du salat des courants majoritaires de l'islam. Toutefois les mouvements qui composent le namaz sont présents dans les prières alevi-bektachi : * le "Kiyam" ou "Qiyam" est réalisé lors de la prière "dar duasi" * le "Rükü" ou "Ruku" est réalisé lors de la prière "tecella duasi" * le "Secde" ou "Sujud" est réalisé lors de la prière "temena duasi". (fr)
  • Il existe des lieux de prière, « mescid » ou « masjid », depuis les débuts de l'Islam. En 622, le prophète s'installe à Medine et fait construire un masjid. Ce masjid est construit avec la solidarité d'un grand nombre de croyants, sans excès et avec humilité. Il n'y avait ni minaret, ni décorations, ni faste . Très vite, les mosquées deviennent un lieu de propagande de groupes voulant suivre des voies politiques différentes. D'où l’ordre de Mahomet de détruire le Masjid al-Dirar : * Sourate 9 : ** verset 107 : « Il en est qui ont édifié une Masjid par rivalité et par impiété pour semer la discorde entre les croyants et faire de ce lieu le repaire de celui qui, auparavant, avait combattu contre Dieu et Son Prophète. Ce sont ces gens-là qui, aujourd’hui, viennent jurer de toute leur force qu’ils ne voulaient faire que du bien, alors que Dieu est Témoin qu’ils ne racontent que des mensonges ! ** verset 108 : « Ne fréquente jamais une telle Masjid ! Car il en est une autre qui a été fondée dès le premier jour, sur la crainte révérencielle du Seigneur et qui est plus digne de ta présence. On y trouve des hommes qui aiment se purifier, et Dieu aime ceux qui sont propres ». (fr)
  • Selon Yasar Nuri Ozturk la révélation de Dieu s'est réalisée selon un ordre chronologique précis. Or le Coran actuel n’ordonnance pas cette révélation selon cet ordre chronologique mais selon la taille des sourates. À la suite de la mort de Mahomet, Abou Bakr fut désigné comme calife pour « gouverner les croyants ». Les chiites reconnaissent la succession de Mahomet à Ali ibn Abi Talib : cousin, gendre du prophète et premier homme à accepter l'islam. Lors de son règne, Abou Bakr ordonna de rassembler tous les versets du Coran. Toutefois, l'agencement des versets n'a pas été réalisé dans l'ordre chronologique de leur révélation. Pris dans l'ordre chronologique, la première révélation de Dieu, le premier verset du Coran est : « Lis au nom de ton Seigneur qui a tout créé ». Donc la première injonction de Dieu aux croyants, le premier message ou mot, le premier devoir du véritable croyant, le premier mode d'adoration d'Allah est de « Lire » ou d'étudier les Sciences. Aujourd'hui, ce verset se retrouve à la fin du Coran. Ali ibn Abi Talib avait une version du Coran avec un ordonnancement des sourates classés dans l'ordre chronologique de leur révélation. Les Omeyyades (Emevîler) arrivés au pouvoir ont détruit cette version du Coran. Certains théologiens, y compris un sunnite turc , y voient une volonté politique de modifier le message du Coran pour rendre le peuple illettré et inculte et mieux maîtriser la population. "L'ordonnancement actuel est un jeu politique pour faire en sorte que le namaz soit le mode d'adoration principal de Dieu : ce qui est faux et contraire au Coran. Le premier mode d'adoration d'Allah est de « Lire »". Par ailleurs, Yasar Nuri Ozturk se plaint des « chefs religieux contemporains qui font trop souvent référence au Hadîth et mettent de côté le livre saint révélateur, le Coran. La référence principale de l'islam, les textes révélateurs de la vérité divine ne sont pas les Hadîth mais le Coran ». Il va même jusqu'à qualifier la grande majorité des Hadîth « d'invention des Omeyyades ». (fr)
  • Pour les alévis bektachi, lors de la naissance de l'islam « les cinq piliers de l'islam » que nous connaissons actuellement n'existaient pas. À cette époque, c'est le contenu du Coran et la pratique religieuse de Mahomet et d'Ali ibn Abi Talib qui déterminaient les devoirs du musulman. Cette pensée est également partagée par des théologiens sunnites contemporains tels que Yasar Nuri Ozturk, Hüseyin Atay et Süleyman Ateş. Ces derniers affirment qu'il n'y a aucune expression intitulée « les cinq piliers de l'islam » dans le Coran. Aussi, réduire l'islam aux « cinq piliers » est une grande erreur. Ainsi, dans le Coran, travailler, entreprendre … sont aussi des devoirs du musulman et au regard d’Allah ces devoirs ont la même valeur que « les cinq piliers ». Pour ces hommes de sciences, le jeûne, le pèlerinage et le salat sont une pratique « personnelle » du culte dont l'objectif est d'éduquer les croyants. Ces pratiques du culte ne sont pas un « but » mais un « moyen ». Ils déplorent qu'aujourd'hui le jeûne, le pèlerinage et le salat , loin de leur sens initial, soient devenus des « buts ». Pour les alevi bektachi, certaines pratiques religieuses qui n'existaient pas au temps du prophète Mahomet ont été ajoutées lors des trois premiers califats et durant le règne des omeyades et des abbassides. De nombreux éléments de l'islam introduit par Mahomet ont été modifiés et d'autres éléments qui n'ont rien à voir avec l'essence de l'islam ont été insérés. Pour les alevi bektachi, Ali ibn Abi Talib était le représentant de l'islam de Mahomet et pratiquait avec détermination l'islam originel. Et c'est pour cette raison que ceux qui n'ont pas digéré le mahométisme depuis sa naissance ont usé de moyens politiques pour rendre Ali ibn Abi Talib inopérant dans un premier temps, puis l'ont fait assassiner et tuer ses enfants, c'est-à-dire les petits-enfants du Prophète: *Al-Hassan ibn Ali est fait empoisonner par Muʿāwiya Ier *lors de la bataille de Kerbela, Yazīd Ier fils de Muʿāwiya Ier fait tuer et décapiter Al-Hussein ibn Ali. (fr)
  • Pir Sultan Abdal est un célèbre poète turc alevi du . La beauté et la richesse de ses vers reflète la vie sociale, culturelle et religieuse du peuple anatolien. Humaniste, il écrit au sujet de la résistance, l'amour, la paix, la mort et Dieu. En raison de sa révolte contre l'autoritarisme du pouvoir ottoman et sa proximité avec le Chah Ismail Ier ou Chah Hatayi il fut pendu par le pouvoir central en 1550. (fr)
  • Le Coran, source principale de l'islam, ne mentionne pas précisément la salat : ni la forme, ni à quelle heure de la journée elle doit être pratiquée, ni la rekât . Le Coran précise que le croyant doit réaliser son culte la nuit, à une heure ne perturbant pas les horaires de travail, le jour étant consacré au travail : * Sourate 17 verset 78 : « Acquitte-toi de la salât du déclin du soleil jusqu’à la tombée de la nuit, sans oublier de réciter une partie du Coran à l’aube, car la récitation du Coran à l’aube ne se passe jamais sans témoins ». Le Coran ne contient aucune indication concernant les « cinq prières quotidiennes », aussi les « cinq prières quotidiennes » ne sont pas un commandement d'Allah mais une modification de l'islam originel. Pour Yasar Nuri Ozturk, théologien sunnite, « la forme actuelle du namaz est largement déterminée par les Emevi (Omeyades). Toujours selon Yasar Nuri Ozturk, même Anas ibn Malik, compagnon du Prophète, se plaint de l'altération de la « salat » par les Emevi (Omeyades) ». De plus, aucun verset ne commande au croyant de réaliser la salat pendant la journée. Par ailleurs, aucun verset ne décrit le namaz sous sa forme actuelle pratiquée dans les mosquées : le Coran utilise le terme « salat » qui signifie « prière » sans préciser la forme de celle-ci. La forme globale du salat alevi-bektachi diffère du salat des courants majoritaires de l'islam. Toutefois les mouvements qui composent le namaz sont présents dans les prières alevi-bektachi : * le "Kiyam" ou "Qiyam" est réalisé lors de la prière "dar duasi" * le "Rükü" ou "Ruku" est réalisé lors de la prière "tecella duasi" * le "Secde" ou "Sujud" est réalisé lors de la prière "temena duasi". (fr)
  • Il existe des lieux de prière, « mescid » ou « masjid », depuis les débuts de l'Islam. En 622, le prophète s'installe à Medine et fait construire un masjid. Ce masjid est construit avec la solidarité d'un grand nombre de croyants, sans excès et avec humilité. Il n'y avait ni minaret, ni décorations, ni faste . Très vite, les mosquées deviennent un lieu de propagande de groupes voulant suivre des voies politiques différentes. D'où l’ordre de Mahomet de détruire le Masjid al-Dirar : * Sourate 9 : ** verset 107 : « Il en est qui ont édifié une Masjid par rivalité et par impiété pour semer la discorde entre les croyants et faire de ce lieu le repaire de celui qui, auparavant, avait combattu contre Dieu et Son Prophète. Ce sont ces gens-là qui, aujourd’hui, viennent jurer de toute leur force qu’ils ne voulaient faire que du bien, alors que Dieu est Témoin qu’ils ne racontent que des mensonges ! ** verset 108 : « Ne fréquente jamais une telle Masjid ! Car il en est une autre qui a été fondée dès le premier jour, sur la crainte révérencielle du Seigneur et qui est plus digne de ta présence. On y trouve des hommes qui aiment se purifier, et Dieu aime ceux qui sont propres ». (fr)
  • Selon Yasar Nuri Ozturk la révélation de Dieu s'est réalisée selon un ordre chronologique précis. Or le Coran actuel n’ordonnance pas cette révélation selon cet ordre chronologique mais selon la taille des sourates. À la suite de la mort de Mahomet, Abou Bakr fut désigné comme calife pour « gouverner les croyants ». Les chiites reconnaissent la succession de Mahomet à Ali ibn Abi Talib : cousin, gendre du prophète et premier homme à accepter l'islam. Lors de son règne, Abou Bakr ordonna de rassembler tous les versets du Coran. Toutefois, l'agencement des versets n'a pas été réalisé dans l'ordre chronologique de leur révélation. Pris dans l'ordre chronologique, la première révélation de Dieu, le premier verset du Coran est : « Lis au nom de ton Seigneur qui a tout créé ». Donc la première injonction de Dieu aux croyants, le premier message ou mot, le premier devoir du véritable croyant, le premier mode d'adoration d'Allah est de « Lire » ou d'étudier les Sciences. Aujourd'hui, ce verset se retrouve à la fin du Coran. Ali ibn Abi Talib avait une version du Coran avec un ordonnancement des sourates classés dans l'ordre chronologique de leur révélation. Les Omeyyades (Emevîler) arrivés au pouvoir ont détruit cette version du Coran. Certains théologiens, y compris un sunnite turc , y voient une volonté politique de modifier le message du Coran pour rendre le peuple illettré et inculte et mieux maîtriser la population. "L'ordonnancement actuel est un jeu politique pour faire en sorte que le namaz soit le mode d'adoration principal de Dieu : ce qui est faux et contraire au Coran. Le premier mode d'adoration d'Allah est de « Lire »". Par ailleurs, Yasar Nuri Ozturk se plaint des « chefs religieux contemporains qui font trop souvent référence au Hadîth et mettent de côté le livre saint révélateur, le Coran. La référence principale de l'islam, les textes révélateurs de la vérité divine ne sont pas les Hadîth mais le Coran ». Il va même jusqu'à qualifier la grande majorité des Hadîth « d'invention des Omeyyades ». (fr)
  • Pour les alévis bektachi, lors de la naissance de l'islam « les cinq piliers de l'islam » que nous connaissons actuellement n'existaient pas. À cette époque, c'est le contenu du Coran et la pratique religieuse de Mahomet et d'Ali ibn Abi Talib qui déterminaient les devoirs du musulman. Cette pensée est également partagée par des théologiens sunnites contemporains tels que Yasar Nuri Ozturk, Hüseyin Atay et Süleyman Ateş. Ces derniers affirment qu'il n'y a aucune expression intitulée « les cinq piliers de l'islam » dans le Coran. Aussi, réduire l'islam aux « cinq piliers » est une grande erreur. Ainsi, dans le Coran, travailler, entreprendre … sont aussi des devoirs du musulman et au regard d’Allah ces devoirs ont la même valeur que « les cinq piliers ». Pour ces hommes de sciences, le jeûne, le pèlerinage et le salat sont une pratique « personnelle » du culte dont l'objectif est d'éduquer les croyants. Ces pratiques du culte ne sont pas un « but » mais un « moyen ». Ils déplorent qu'aujourd'hui le jeûne, le pèlerinage et le salat , loin de leur sens initial, soient devenus des « buts ». Pour les alevi bektachi, certaines pratiques religieuses qui n'existaient pas au temps du prophète Mahomet ont été ajoutées lors des trois premiers califats et durant le règne des omeyades et des abbassides. De nombreux éléments de l'islam introduit par Mahomet ont été modifiés et d'autres éléments qui n'ont rien à voir avec l'essence de l'islam ont été insérés. Pour les alevi bektachi, Ali ibn Abi Talib était le représentant de l'islam de Mahomet et pratiquait avec détermination l'islam originel. Et c'est pour cette raison que ceux qui n'ont pas digéré le mahométisme depuis sa naissance ont usé de moyens politiques pour rendre Ali ibn Abi Talib inopérant dans un premier temps, puis l'ont fait assassiner et tuer ses enfants, c'est-à-dire les petits-enfants du Prophète: *Al-Hassan ibn Ali est fait empoisonner par Muʿāwiya Ier *lors de la bataille de Kerbela, Yazīd Ier fils de Muʿāwiya Ier fait tuer et décapiter Al-Hussein ibn Ali. (fr)
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  • Le premier devoir du véritable croyant, le premier mode d'adoration d'Allah est de « Lire » (fr)
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  • Les piliers de l'islam (fr)
  • Pir Sultan Abdal (fr)
  • Le premier devoir du véritable croyant, le premier mode d'adoration d'Allah est de « Lire » (fr)
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  • L'alévisme (Alevilik en turc, Elewî en zazaki, Elewî en kurmandji, al ‘alawīyyah en arabe) regroupe des membres de l'islam dits hétérodoxes et revendique en son sein la tradition universelle et originelle de l'islam et plus largement de toutes les religions monothéistes. L'alévisme se rattache au chiisme duodécimain à travers le sixième imam (Dja'far al-sadiq) et à Haci Bektaş Veli, fondateur de l'ordre des bektachi dont la généalogie mythique remonte aussi au sixième imam. Il se classe dans les traditions soufies et ses croyances sont assimilables au panenthéisme et d'autres un courant « libéral » ou « progressiste » de l'islam dont les dogmes diffèrent de ceux du sunnisme et du chiisme dit jafarisme. (fr)
  • L'alévisme (Alevilik en turc, Elewî en zazaki, Elewî en kurmandji, al ‘alawīyyah en arabe) regroupe des membres de l'islam dits hétérodoxes et revendique en son sein la tradition universelle et originelle de l'islam et plus largement de toutes les religions monothéistes. L'alévisme se rattache au chiisme duodécimain à travers le sixième imam (Dja'far al-sadiq) et à Haci Bektaş Veli, fondateur de l'ordre des bektachi dont la généalogie mythique remonte aussi au sixième imam. Il se classe dans les traditions soufies et ses croyances sont assimilables au panenthéisme et d'autres un courant « libéral » ou « progressiste » de l'islam dont les dogmes diffèrent de ceux du sunnisme et du chiisme dit jafarisme. (fr)
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