Par querelles dynastiques françaises on entend un ensemble de différends, à travers l’histoire de France, portant sur la personne qui doit hériter de la couronne royale ou impériale. On en relève au moins quatre : À l’heure actuelle, trois groupes principaux revendiquent le trône : * la branche aînée des capétiens, la Maison de Bourbon, dirigée par le prince Louis de Bourbon, duc d’Anjou ; * une des branches cadettes des capétiens, la maison d'Orléans, dirigée par le prince Jean d'Orléans, comte de Paris ; * la Maison Bonaparte, avec le prince Jean-Christophe Napoléon.

Property Value
dbo:abstract
  • Par querelles dynastiques françaises on entend un ensemble de différends, à travers l’histoire de France, portant sur la personne qui doit hériter de la couronne royale ou impériale. On en relève au moins quatre : * la guerre de Cent Ans, qui a pour origine une querelle dynastique ; * la période 1589-1594, marquée par le refus de voir le protestant Henri III de Navarre monter sur le trône ; * la compétition qui sévit depuis 1830 entre la branche aînée des capétiens, les Bourbons et la branche cadette, les Orléans ; * le bonapartisme, qui prône un rétablissement du trône impérial par le peuple. À l’heure actuelle, trois groupes principaux revendiquent le trône : * la branche aînée des capétiens, la Maison de Bourbon, dirigée par le prince Louis de Bourbon, duc d’Anjou ; * une des branches cadettes des capétiens, la maison d'Orléans, dirigée par le prince Jean d'Orléans, comte de Paris ; * la Maison Bonaparte, avec le prince Jean-Christophe Napoléon. (fr)
  • Par querelles dynastiques françaises on entend un ensemble de différends, à travers l’histoire de France, portant sur la personne qui doit hériter de la couronne royale ou impériale. On en relève au moins quatre : * la guerre de Cent Ans, qui a pour origine une querelle dynastique ; * la période 1589-1594, marquée par le refus de voir le protestant Henri III de Navarre monter sur le trône ; * la compétition qui sévit depuis 1830 entre la branche aînée des capétiens, les Bourbons et la branche cadette, les Orléans ; * le bonapartisme, qui prône un rétablissement du trône impérial par le peuple. À l’heure actuelle, trois groupes principaux revendiquent le trône : * la branche aînée des capétiens, la Maison de Bourbon, dirigée par le prince Louis de Bourbon, duc d’Anjou ; * une des branches cadettes des capétiens, la maison d'Orléans, dirigée par le prince Jean d'Orléans, comte de Paris ; * la Maison Bonaparte, avec le prince Jean-Christophe Napoléon. (fr)
dbo:country
dbo:thumbnail
dbo:wikiPageExternalLink
dbo:wikiPageID
  • 3735324 (xsd:integer)
dbo:wikiPageLength
  • 205582 (xsd:nonNegativeInteger)
dbo:wikiPageRevisionID
  • 189513721 (xsd:integer)
dbo:wikiPageWikiLink
prop-fr:année
  • 1974 (xsd:integer)
  • 1977 (xsd:integer)
prop-fr:annéePremièreÉdition
  • 1947 (xsd:integer)
prop-fr:auteur
prop-fr:champLibre
  • introduction à la présente édition : María [de la Concepción] Mendiluce [y Rosich] (fr)
  • introduction à la présente édition : María [de la Concepción] Mendiluce [y Rosich] (fr)
prop-fr:chapitre
  • La Casa de Borbón y la Legitimidad (fr)
  • La Casa de Borbón y la Legitimidad (fr)
prop-fr:collection
  • Autour des dynasties françaises (fr)
  • Autour des dynasties françaises (fr)
prop-fr:fr
  • Louis-Alphonse de Bavière (fr)
  • Maximilien-Marie de Tour et Taxis (fr)
  • La Época (fr)
  • Louis-Alphonse de Bavière (fr)
  • Maximilien-Marie de Tour et Taxis (fr)
  • La Época (fr)
prop-fr:group
  • N (fr)
  • N (fr)
prop-fr:id
  • Franch1974 (fr)
  • Franch1974 (fr)
prop-fr:isbn
  • 2 (xsd:integer)
  • 84 (xsd:integer)
prop-fr:langue
  • de (fr)
  • es (fr)
  • de (fr)
  • es (fr)
prop-fr:lieu
prop-fr:lireEnLigne
prop-fr:numéroChapitre
  • XIV (fr)
  • XIV (fr)
prop-fr:numéroDansCollection
  • I (fr)
  • I (fr)
prop-fr:oclc
  • 431704432 (xsd:integer)
prop-fr:pages
  • 306 (xsd:integer)
prop-fr:pagesTotales
  • 80 (xsd:integer)
prop-fr:taille
  • 35 (xsd:integer)
prop-fr:texte
  • --05-05
  • --06-04
  • --06-28
  • --07-09
  • --07-10
  • --08-13
  • --09-29
  • --11-13
  • --12-08
  • --01-20
  • --09-06
  • Louis-Alphonse (fr)
  • Claude de Seyssel : . Jacques-Auguste de Thou, Histoire universelle depuis 1543 jusqu'en 1607 : « les Français excluent les femmes et leur postérité au trône de France, afin de ne pas être assujettis par leurs mariages, à la domination des princes étrangers ». Buirette de Belloy parle en ces termes de l'exclusion d'Édouard III d'Angleterre, qui est étranger : « Édouard reconnaissait la Loi Salique [...]. Mais [il] soutenait que la Loi Salique n'excluait les filles que par la faiblesse de leur Sexe ; et qu'ainsi les Mâles descendus des Filles n'étaient point dans le cas de l'exclusion. C'est à quoi l'on répondait avec avantage que la faiblesse du Sexe n'avait jamais été le fondement de la Loi [...]. On prouvait, avec la même évidence, que l'objet de la Loi Salique avait été d'écarter de la Couronne tout Prince Etranger ; puisque la Nation n'en avait jamais souffert sur le Thrône depuis la fondation de la Monarchie ». Comte de Ségur, Histoire de France, J. M. Lacrosse, libraire et éditeur, Bruxelles, nouvelle édition 1834, tome 7 : « si en France on s'était décidé à exclure les femmes, ce n'était point qu'on les jugeât incapables de régner ; mais le vrai motif était la crainte de voir le sceptre tomber dans les mains d'un prince étranger ». (fr)
  • Quant aux prétendues renonciations de Philippe Égalité, duc d'Orléans, père du roi Louis-Philippe, on lira avec fruit : http://www.heraldica.org/topics/france/orl-renonc.htm (fr)
  • Et si Saint-Simon sera dès l'année suivante un réciproques de Philippe V et des ducs de Berry et d'Orléans , ce ne sera pas en raison d'une supposée extranéité de Philippe V, mais seulement parce que le mémorialiste était convaincu que ces renonciations étaient le prix de la paix avec la Grande-Bretagne et les autres puissances, et que . (fr)
  • Charles de France, comte de Valois, d'Alençon, de Chartres, du Perche, d'Anjou et du Maine avait aussi été roi titulaire d'Aragon, comte titulaire de Barcelone et empereur titulaire de Constantinople — surnommé le , car il avait été couronné d'un chapeau de cardinal, faute de couronne, et qui n'usa jamais du sceau royal aragonais qu'il s'était fait faire dans l'espérance de son règne effectif. (fr)
  • Cela sera aussi le cas en 1814, quand le comte de Provence sera appelé au trône pour succéder à son frère Louis XVI au moment de la Restauration, alors que celui-ci avait laissé une fille, la duchesse d'Angoulême . On pourrait encore citer l'accession au trône de Charles IX en 1560, mais il avait des frères qui primaient de toute façon les droits éventuels qu'auraient eus leurs sœurs en l'absence de loi salique. Quant à Louis XVIII en 1824, qui ne laissait ni fils, ni filles, ni sœurs, son frère le comte d'Artois était son seul successeur possible. (fr)
  • Il est l'auteur en 2013 d'un essai sur la querelle dynastique entre Bourbons et Orléans, prenant ouvertement parti pour les Orléans et préfacé par le prétendant orléaniste. (fr)
  • Même si la première femme écartée du trône était encore célibataire au moment du décès de son père Louis X : il s'agissait de Jeanne de France, qui renonça à la couronne en 1316, puis renouvela sa renonciation en 1322 et 1328, respectivement en faveur de ses oncles Philippe V puis Charles IV et, enfin, de son cousin Philippe VI de Valois. Par la suite, en 1322, furent exclues les quatre filles de Philippe V, dont aucune n'avait épousé un prince étranger . Finalement, la loi salique . (fr)
  • neveu (fr)
  • Bien que les rois d'Espagne Charles IV puis Ferdinand VII aient été successivement, selon la phrase de Louis XVI, « chef[s] de la seconde branche » de la Maison de Bourbon. Les infants d'Espagne, qui portèrent dans leurs armes l'écusson d'Anjou à la suite de leur aïeul Philippe V et reçurent l'ordre du Saint-Esprit dès leur naissance, ainsi que des fils de France , ne furent pas désignés dans l'Almanach royal par les appellations des membres de la maison de France, même si le roi de France reconnaissait les Bourbons d'Espagne comme des membres de la maison de Bourbon, ce que montrèrent les pactes de famille de 1733, 1743 et 1761. Sous la Restauration, les descendants de Philippe V ne furent pas davantage membres de la Chambre des pairs, fonction à laquelle la qualité de prince du sang donnait droit. (fr)
  • Alphonse XIII se départit de la brisure d'Anjou , comme le lui suggéra l'héraldiste et historien suisse Heinrich-Karl Zeininger von Borja, qui s'était mis à son service. Tout en soignant sa tuberculose osseuse par l'héliothérapie dans une clinique suisse près du lac Léman, Zeininger de Borja préparait la publication d'un Annuaire de la Maison de Bourbon , dont il légua les archives à Hervé Pinoteau, qui en reprit l'idée et la soumit au prince Jacques-Henri de Bourbon, duc d'Anjou et de Ségovie , ce qui aboutit à la parution de l’État présent de la Maison de Bourbon . (fr)
  • Même le régent Philippe d'Orléans, petit-fils de France , était inférieur aux infants d'Espagne, comme le relève Saint-Simon : (fr)
prop-fr:titre
  • L'héraldique capétienne en 1976 (fr)
  • Genio y figura de Alfonso XIII (fr)
  • L'héraldique capétienne en 1976 (fr)
  • Genio y figura de Alfonso XIII (fr)
prop-fr:trad
  • Luis Alfonso de Baviera (fr)
  • Maximilian Maria von Thurn und Taxis (fr)
  • La Época (fr)
  • Luis Alfonso de Baviera (fr)
  • Maximilian Maria von Thurn und Taxis (fr)
  • La Época (fr)
prop-fr:wikiPageUsesTemplate
prop-fr:éditeur
  • Nouvelles Éditions Latines (fr)
  • Nouvelles Éditions Latines (fr)
dct:subject
rdfs:comment
  • Par querelles dynastiques françaises on entend un ensemble de différends, à travers l’histoire de France, portant sur la personne qui doit hériter de la couronne royale ou impériale. On en relève au moins quatre : À l’heure actuelle, trois groupes principaux revendiquent le trône : * la branche aînée des capétiens, la Maison de Bourbon, dirigée par le prince Louis de Bourbon, duc d’Anjou ; * une des branches cadettes des capétiens, la maison d'Orléans, dirigée par le prince Jean d'Orléans, comte de Paris ; * la Maison Bonaparte, avec le prince Jean-Christophe Napoléon. (fr)
  • Par querelles dynastiques françaises on entend un ensemble de différends, à travers l’histoire de France, portant sur la personne qui doit hériter de la couronne royale ou impériale. On en relève au moins quatre : À l’heure actuelle, trois groupes principaux revendiquent le trône : * la branche aînée des capétiens, la Maison de Bourbon, dirigée par le prince Louis de Bourbon, duc d’Anjou ; * une des branches cadettes des capétiens, la maison d'Orléans, dirigée par le prince Jean d'Orléans, comte de Paris ; * la Maison Bonaparte, avec le prince Jean-Christophe Napoléon. (fr)
rdfs:label
  • French dynastic disputes (en)
  • Querelles dynastiques françaises (fr)
owl:sameAs
prov:wasDerivedFrom
foaf:depiction
foaf:isPrimaryTopicOf
is dbo:wikiPageDisambiguates of
is dbo:wikiPageRedirects of
is dbo:wikiPageWikiLink of
is oa:hasTarget of
is foaf:primaryTopic of