La Marine de guerre impériale et royale (en allemand : kaiserliche und königliche Kriegsmarine, en hongrois : Császári és Királyi Haditengerészet), plus généralement nommée la Marine austro-hongroise, était la force navale de l'Autriche-Hongrie. À l'origine une flottille marchande basée en mer Adriatique, elle évolua progressivement en une marine de guerre capable d'opérer à l'échelle mondiale. Elle était aussi constituée d'une marine fluviale, dédiée à surveillance du Danube (en allemand : Donauflottille) et fut l'une des premières marines au monde à recourir avec succès aux hydravions. Ses navires utilisaient le sigle SMS pour Seiner Majestät Schiff, qui signifie « le navire de sa majesté ».

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  • La Marine de guerre impériale et royale (en allemand : kaiserliche und königliche Kriegsmarine, en hongrois : Császári és Királyi Haditengerészet), plus généralement nommée la Marine austro-hongroise, était la force navale de l'Autriche-Hongrie. À l'origine une flottille marchande basée en mer Adriatique, elle évolua progressivement en une marine de guerre capable d'opérer à l'échelle mondiale. Elle était aussi constituée d'une marine fluviale, dédiée à surveillance du Danube (en allemand : Donauflottille) et fut l'une des premières marines au monde à recourir avec succès aux hydravions. Ses navires utilisaient le sigle SMS pour Seiner Majestät Schiff, qui signifie « le navire de sa majesté ». Fondée en 1786 par l'empereur du Saint-Empire Joseph II afin de protéger les intérêts maritimes des Habsbourg dans la mer Adriatique, elle hérita à la suite du traité de Campo-Formio en 1797 de la flotte de la République de Venise (qui fournira pendant un demi-siècle l'essentiel du contingent naval autrichien), si bien qu'elle fut appelée la Marine austro-vénitienne (en allemand : Österreichisch-Venezianische Marine). Si les guerres napoléoniennes marquèrent un coup d'arrêt à son développement, la longue période de paix qui s'ensuivit fut profitable à la marine autrichienne puisque cette dernière effectua en 1817 son premier voyage d'exploration dans le cadre d'une expédition scientifique vers le Brésil. Les années suivantes furent marquées par le développement de la flotte marchande, comme par exemple en 1833 grâce à la fondation du Lloyds autrichien qui devint la plus grosse compagnie maritime impériale. Par la suite, les événements de 1848 (et plus généralement la menace du Risorgimento) convainquirent Vienne de la nécessité de mener non seulement une politique de germanisation du personnel de la Kriegsmarine, mais aussi de ne pas abandonner le contrôle de la mer Adriatique au Royaume d'Italie en cours de formation. La nomination en 1854 de l'archiduc Ferdinand Maximilien comme Oberkommandant der Marine marqua le début d'une ère de prospérité et de modernisation de la flotte. En 1857 est organisée l'expédition du Novara, la plus importante jamais menée par l'Autriche. Parallèlement, les derniers progrès techniques convainquirent les autorités autrichiennes de s'engager dans une course à l'armement avec la Regia Marina (alors en pleine expansion) dès le début des années 1860. Mais les efforts autrichiens furent mis à mal par la guerre austro-prussienne de 1866. Confrontée aux ambitions expansionnistes de ses voisins, l'Autriche fut contrainte de mener une guerre sur deux fronts, notamment en mer Adriatique face à une marine italienne en théorie bien plus puissante. Cela n'empêcha pas la Kriegsmarine de remporter une brillante victoire à la bataille de Lissa grâce au génie tactique de Wilhelm von Tegetthoff. Malgré tout, la défaite qui s'ensuivit affaiblit non seulement le leadership de François-Joseph, mais aussi les finances impériales. En 1867, le compromis austro-hongrois fut entre autres l'occasion de rebaptiser les institutions militaires, et c'est ainsi que la « Marine impériale autrichienne » devint la « Marine de guerre impériale et royale », souvent désignée par son abréviation k.u.k. Kriegsmarine. Cette dernière mena une ultime expédition scientifique au pôle Nord en 1872, et ne participa dès lors plus guère qu'à des conflits isolés (notamment la Révolte des Boxers) jusqu'au déclenchement de la Première Guerre mondiale. La Grande Guerre mit en lumière la vulnérabilité de la marine austro-hongroise face à des flottes plus puissantes et modernes, aussi resta-t-elle enfermée dans la mer Adriatique tout au long du conflit. Néanmoins, les tactiques de guérilla qu'elle mena (notamment via le recours aux U-Boot) lui permirent de rencontrer quelques succès indéniables. Mais la défaite de l'Autriche-Hongrie à l'issue de la Première Guerre mondiale entraîna avec elle la disparition pure et simple de la k.u.k. Kriegsmarine. Victime des appétits des vainqueurs, elle fut contrainte de leur céder la quasi-totalité des navires de guerre en sa possession, dont la plupart furent démantelés au début des années 1920. Longtemps cantonnée à un rôle de simple flottille marchande et négligée par le pouvoir central de Vienne, la k.u.k. Kriegsmarine parvint après bien des vicissitudes à s'imposer comme une marine de guerre crédible à partir de la seconde moitié du XIXe siècle, période pendant laquelle elle fut enfin capable de se projeter hors de ses bases de la mer Adriatique. Néanmoins, malgré un réel renforcement de ses capacités navales qui lui permirent notamment de mener à bien un certain nombre d'expéditions tant civiles que militaires autour du monde, la k.u.k. Kriegsmarine ne fut jamais vraiment en mesure de rivaliser avec les flottes des autres puissances européennes. Le faible budget alloué pour la modernisation de la marine vieillissante, une chaîne de commandement complexe et une doctrine militaire peu tournée vers le contrôle de la mer ne firent que renforcer son déclin. Généralement inconnue du grand public, la marine austro-hongroise n'en légua pas moins un héritage historique et militaire substantiel. (fr)
  • La Marine de guerre impériale et royale (en allemand : kaiserliche und königliche Kriegsmarine, en hongrois : Császári és Királyi Haditengerészet), plus généralement nommée la Marine austro-hongroise, était la force navale de l'Autriche-Hongrie. À l'origine une flottille marchande basée en mer Adriatique, elle évolua progressivement en une marine de guerre capable d'opérer à l'échelle mondiale. Elle était aussi constituée d'une marine fluviale, dédiée à surveillance du Danube (en allemand : Donauflottille) et fut l'une des premières marines au monde à recourir avec succès aux hydravions. Ses navires utilisaient le sigle SMS pour Seiner Majestät Schiff, qui signifie « le navire de sa majesté ». Fondée en 1786 par l'empereur du Saint-Empire Joseph II afin de protéger les intérêts maritimes des Habsbourg dans la mer Adriatique, elle hérita à la suite du traité de Campo-Formio en 1797 de la flotte de la République de Venise (qui fournira pendant un demi-siècle l'essentiel du contingent naval autrichien), si bien qu'elle fut appelée la Marine austro-vénitienne (en allemand : Österreichisch-Venezianische Marine). Si les guerres napoléoniennes marquèrent un coup d'arrêt à son développement, la longue période de paix qui s'ensuivit fut profitable à la marine autrichienne puisque cette dernière effectua en 1817 son premier voyage d'exploration dans le cadre d'une expédition scientifique vers le Brésil. Les années suivantes furent marquées par le développement de la flotte marchande, comme par exemple en 1833 grâce à la fondation du Lloyds autrichien qui devint la plus grosse compagnie maritime impériale. Par la suite, les événements de 1848 (et plus généralement la menace du Risorgimento) convainquirent Vienne de la nécessité de mener non seulement une politique de germanisation du personnel de la Kriegsmarine, mais aussi de ne pas abandonner le contrôle de la mer Adriatique au Royaume d'Italie en cours de formation. La nomination en 1854 de l'archiduc Ferdinand Maximilien comme Oberkommandant der Marine marqua le début d'une ère de prospérité et de modernisation de la flotte. En 1857 est organisée l'expédition du Novara, la plus importante jamais menée par l'Autriche. Parallèlement, les derniers progrès techniques convainquirent les autorités autrichiennes de s'engager dans une course à l'armement avec la Regia Marina (alors en pleine expansion) dès le début des années 1860. Mais les efforts autrichiens furent mis à mal par la guerre austro-prussienne de 1866. Confrontée aux ambitions expansionnistes de ses voisins, l'Autriche fut contrainte de mener une guerre sur deux fronts, notamment en mer Adriatique face à une marine italienne en théorie bien plus puissante. Cela n'empêcha pas la Kriegsmarine de remporter une brillante victoire à la bataille de Lissa grâce au génie tactique de Wilhelm von Tegetthoff. Malgré tout, la défaite qui s'ensuivit affaiblit non seulement le leadership de François-Joseph, mais aussi les finances impériales. En 1867, le compromis austro-hongrois fut entre autres l'occasion de rebaptiser les institutions militaires, et c'est ainsi que la « Marine impériale autrichienne » devint la « Marine de guerre impériale et royale », souvent désignée par son abréviation k.u.k. Kriegsmarine. Cette dernière mena une ultime expédition scientifique au pôle Nord en 1872, et ne participa dès lors plus guère qu'à des conflits isolés (notamment la Révolte des Boxers) jusqu'au déclenchement de la Première Guerre mondiale. La Grande Guerre mit en lumière la vulnérabilité de la marine austro-hongroise face à des flottes plus puissantes et modernes, aussi resta-t-elle enfermée dans la mer Adriatique tout au long du conflit. Néanmoins, les tactiques de guérilla qu'elle mena (notamment via le recours aux U-Boot) lui permirent de rencontrer quelques succès indéniables. Mais la défaite de l'Autriche-Hongrie à l'issue de la Première Guerre mondiale entraîna avec elle la disparition pure et simple de la k.u.k. Kriegsmarine. Victime des appétits des vainqueurs, elle fut contrainte de leur céder la quasi-totalité des navires de guerre en sa possession, dont la plupart furent démantelés au début des années 1920. Longtemps cantonnée à un rôle de simple flottille marchande et négligée par le pouvoir central de Vienne, la k.u.k. Kriegsmarine parvint après bien des vicissitudes à s'imposer comme une marine de guerre crédible à partir de la seconde moitié du XIXe siècle, période pendant laquelle elle fut enfin capable de se projeter hors de ses bases de la mer Adriatique. Néanmoins, malgré un réel renforcement de ses capacités navales qui lui permirent notamment de mener à bien un certain nombre d'expéditions tant civiles que militaires autour du monde, la k.u.k. Kriegsmarine ne fut jamais vraiment en mesure de rivaliser avec les flottes des autres puissances européennes. Le faible budget alloué pour la modernisation de la marine vieillissante, une chaîne de commandement complexe et une doctrine militaire peu tournée vers le contrôle de la mer ne firent que renforcer son déclin. Généralement inconnue du grand public, la marine austro-hongroise n'en légua pas moins un héritage historique et militaire substantiel. (fr)
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  • Austrian Naval Policy, 1797–1866 (fr)
  • Among the Great Powers (fr)
  • Autriche-Hongrie, 1914-1920 (fr)
  • The Great Navies of the First World War (fr)
  • War in a Narrow Sea (fr)
  • vers 1690-vers 1790 (fr)
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  • L'Agonie d'une monarchie (fr)
  • The Introduction of the Ironclad Warship (fr)
  • Conway's All the World's Fighting Ships, 1906–1921 (fr)
  • Conway's All the World's Fighting Ships, 1860–1905 (fr)
  • Histoire maritime de la Première Guerre mondiale (fr)
  • A Brief History of the Austrian Navy (fr)
  • Austro-Hungarian Cruisers and Destroyers 1914–18 (fr)
  • Austro-Hungarian Naval Policy 1904–14 (fr)
  • Austro-Hungarian Submarines in WWI (fr)
  • Européens et espaces maritimes (fr)
  • Habsburg Empire and the Sea (fr)
  • Die Torpedoschiffe und Zerstörer der k.u.k. Kriegsmarine 1867–1918 (fr)
  • L'encyclopédie de la Grande Guerre (fr)
  • La Marine austro-hongroise dans la Guerre Mondiale (fr)
  • Naval Policy of Austria-Hungary, 1867–1918 (fr)
  • The Central Powers in the Adriatic, 1904–14 (fr)
  • The Habsburg Monarchy (fr)
  • The Imperial and Royal Austro-Hungarian Navy (fr)
  • To Crown the Waves (fr)
  • With Tegetthoff at Lissa : The Memoirs of an Austrian Naval Officer 1861–66 (fr)
  • Ironclads At War : The Origin And Development Of The Armored Battleship (fr)
  • Die Armee in Österreich : Militär, Staat und Gesellschaft 1848–1867 (fr)
  • In the Service of the Emperor : Italians in the Austrian Armed Forces, 1814–1918 (fr)
  • Die obersten Behörden der K. und k. Kriegsmarine, 1856–1918 (fr)
  • Military Culture and Popular Patriotism in Late Imperial Austria (fr)
  • Beyond Nationalism : A Social and Political History of the Habsburg Officer Corps, 1848–1918 (fr)
  • L'Agonie d'une monarchie (fr)
  • The Introduction of the Ironclad Warship (fr)
  • Conway's All the World's Fighting Ships, 1906–1921 (fr)
  • Conway's All the World's Fighting Ships, 1860–1905 (fr)
  • Histoire maritime de la Première Guerre mondiale (fr)
  • A Brief History of the Austrian Navy (fr)
  • Austro-Hungarian Cruisers and Destroyers 1914–18 (fr)
  • Austro-Hungarian Naval Policy 1904–14 (fr)
  • Austro-Hungarian Submarines in WWI (fr)
  • Européens et espaces maritimes (fr)
  • Habsburg Empire and the Sea (fr)
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  • With Tegetthoff at Lissa : The Memoirs of an Austrian Naval Officer 1861–66 (fr)
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  • Die Armee in Österreich : Militär, Staat und Gesellschaft 1848–1867 (fr)
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