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- L'affaire Philippe Monguillot est une affaire criminelle qui débute à Bayonne, en France, le 5 juillet 2020. Ce jour-là, Philippe Monguillot, chauffeur de bus de 58 ans, conduit un Tram'Bus de la ligne T1 du réseau Chronoplus. Aux alentours de 19 h, alors qu'il se trouve au niveau de l'arrêt « Balishon », ce dernier sort de sa cabine et souhaite contrôler le titre de transport d'un groupe de personnes tout en leur demandant de porter un masque de protection, obligatoire à bord, dans le contexte de la pandémie de Covid-19. Là, une altercation éclate et tous se retrouvent à l'extérieur du bus. Philippe Monguillot est frappé plusieurs fois, avant d'être laissé inconscient sur le sol. Conduit au centre hospitalier de la Côte Basque, il se trouve en état de mort cérébrale. Cinq jours plus tard, soit le 10 juillet 2020, la famille de la victime et les médecins s'accordent pour arrêter les soins, signifiant le décès du chauffeur. L'enquête est confiée au commissariat de police de Bayonne. Plusieurs suspects sont rapidement arrêtés et placés en garde à vue. Deux d'entre eux sont mis en examen pour « homicide volontaire sur un agent de réseau de transports publics » et deux autres pour « non-assistance à personne en danger ». Ils sont placés en détention provisoire dès le 8 juillet 2020. Certains d'entre eux ont alors finalement été remis en liberté en l'attente du procès, et d'autres ont demandé leur libération conditionnelle, qui leur a été acceptée, révoquée ou refusée. Cette affaire provoque un vif émoi tant au niveau local que national. De nombreux hommages à Philippe Monguillot sont rendus. C'est notamment le cas, le 8 juillet 2020, où une marche blanche est organisée dans la commune de Bayonne, et où, au même moment, de nombreux réseaux de transports en commun sont mis à l'arrêt dans toute la France, permettant aux personnels et usagers de marquer une minute de silence. Près d'un millier de personnes assistent aux obsèques du chauffeur, le 20 juillet. En conséquence de l'agression, les collègues du chauffeur exercent leur droit de retrait, ce qui conduit les pouvoirs publics à adopter des mesures rapides pour renforcer la sécurité sur les lignes du réseau et ainsi permettre une reprise progressive de l'activité. (fr)
- L'affaire Philippe Monguillot est une affaire criminelle qui débute à Bayonne, en France, le 5 juillet 2020. Ce jour-là, Philippe Monguillot, chauffeur de bus de 58 ans, conduit un Tram'Bus de la ligne T1 du réseau Chronoplus. Aux alentours de 19 h, alors qu'il se trouve au niveau de l'arrêt « Balishon », ce dernier sort de sa cabine et souhaite contrôler le titre de transport d'un groupe de personnes tout en leur demandant de porter un masque de protection, obligatoire à bord, dans le contexte de la pandémie de Covid-19. Là, une altercation éclate et tous se retrouvent à l'extérieur du bus. Philippe Monguillot est frappé plusieurs fois, avant d'être laissé inconscient sur le sol. Conduit au centre hospitalier de la Côte Basque, il se trouve en état de mort cérébrale. Cinq jours plus tard, soit le 10 juillet 2020, la famille de la victime et les médecins s'accordent pour arrêter les soins, signifiant le décès du chauffeur. L'enquête est confiée au commissariat de police de Bayonne. Plusieurs suspects sont rapidement arrêtés et placés en garde à vue. Deux d'entre eux sont mis en examen pour « homicide volontaire sur un agent de réseau de transports publics » et deux autres pour « non-assistance à personne en danger ». Ils sont placés en détention provisoire dès le 8 juillet 2020. Certains d'entre eux ont alors finalement été remis en liberté en l'attente du procès, et d'autres ont demandé leur libération conditionnelle, qui leur a été acceptée, révoquée ou refusée. Cette affaire provoque un vif émoi tant au niveau local que national. De nombreux hommages à Philippe Monguillot sont rendus. C'est notamment le cas, le 8 juillet 2020, où une marche blanche est organisée dans la commune de Bayonne, et où, au même moment, de nombreux réseaux de transports en commun sont mis à l'arrêt dans toute la France, permettant aux personnels et usagers de marquer une minute de silence. Près d'un millier de personnes assistent aux obsèques du chauffeur, le 20 juillet. En conséquence de l'agression, les collègues du chauffeur exercent leur droit de retrait, ce qui conduit les pouvoirs publics à adopter des mesures rapides pour renforcer la sécurité sur les lignes du réseau et ainsi permettre une reprise progressive de l'activité. (fr)
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| prop-fr:people
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- Armel Joubert des Ouches , Véronique Monguillot (fr)
- Benoît Sarrade , Véronique Monguillot (fr)
- Cyril Hanouna , Véronique et Marie Monguillot (fr)
- Jean-Marc Morandini , Véronique et Marie Monguillot (fr)
- Armel Joubert des Ouches , Véronique Monguillot (fr)
- Benoît Sarrade , Véronique Monguillot (fr)
- Cyril Hanouna , Véronique et Marie Monguillot (fr)
- Jean-Marc Morandini , Véronique et Marie Monguillot (fr)
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- L'affaire Philippe Monguillot est une affaire criminelle qui débute à Bayonne, en France, le 5 juillet 2020. Ce jour-là, Philippe Monguillot, chauffeur de bus de 58 ans, conduit un Tram'Bus de la ligne T1 du réseau Chronoplus. Aux alentours de 19 h, alors qu'il se trouve au niveau de l'arrêt « Balishon », ce dernier sort de sa cabine et souhaite contrôler le titre de transport d'un groupe de personnes tout en leur demandant de porter un masque de protection, obligatoire à bord, dans le contexte de la pandémie de Covid-19. Là, une altercation éclate et tous se retrouvent à l'extérieur du bus. Philippe Monguillot est frappé plusieurs fois, avant d'être laissé inconscient sur le sol. Conduit au centre hospitalier de la Côte Basque, il se trouve en état de mort cérébrale. Cinq jours plus tard, (fr)
- L'affaire Philippe Monguillot est une affaire criminelle qui débute à Bayonne, en France, le 5 juillet 2020. Ce jour-là, Philippe Monguillot, chauffeur de bus de 58 ans, conduit un Tram'Bus de la ligne T1 du réseau Chronoplus. Aux alentours de 19 h, alors qu'il se trouve au niveau de l'arrêt « Balishon », ce dernier sort de sa cabine et souhaite contrôler le titre de transport d'un groupe de personnes tout en leur demandant de porter un masque de protection, obligatoire à bord, dans le contexte de la pandémie de Covid-19. Là, une altercation éclate et tous se retrouvent à l'extérieur du bus. Philippe Monguillot est frappé plusieurs fois, avant d'être laissé inconscient sur le sol. Conduit au centre hospitalier de la Côte Basque, il se trouve en état de mort cérébrale. Cinq jours plus tard, (fr)
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