Les Montoneros étaient une organisation politico-militaire argentine péroniste qui pratiqua la lutte armée entre 1970 et 1979, avec une intensité maximale jusqu'en 1976. Ses objectifs étaient : la déstabilisation du gouvernement autoproclamé « Révolution Argentine » (Juan Carlos Onganía, Roberto Marcelo Levingston, Alejandro Agustín Lanusse,… 1966-1973), le retour au pouvoir du général Juan Domingo Perón et l'instauration en Argentine d'un système politique qu'ils baptisaient « Socialisme national », ce qu'ils considéraient comme l'évolution historique naturelle du péronisme.

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  • Les Montoneros étaient une organisation politico-militaire argentine péroniste qui pratiqua la lutte armée entre 1970 et 1979, avec une intensité maximale jusqu'en 1976. Ses objectifs étaient : la déstabilisation du gouvernement autoproclamé « Révolution Argentine » (Juan Carlos Onganía, Roberto Marcelo Levingston, Alejandro Agustín Lanusse,… 1966-1973), le retour au pouvoir du général Juan Domingo Perón et l'instauration en Argentine d'un système politique qu'ils baptisaient « Socialisme national », ce qu'ils considéraient comme l'évolution historique naturelle du péronisme. Ayant moins de 20 militants fin 1970, le groupe commença à croître rapidement en 1971, devenant, en novembre 1972, au moment du premier retour du général Juan Perón, capable de mobiliser des milliers de jeunes péronistes. En juillet 1972, profitant de l'ouverture politique entamée par le général Lanusse avec le « Grand Accord National », le groupe se dota d'une organisation politique de masse, la « JP Régionales », à la tête de laquelle se trouvait , nommé en novembre 1971 par Perón au Conseil supérieur justicialiste. Durant leurs premières années d'existence, les Montoneros reçurent l'appui du général Perón et d'une grande partie du Mouvement péroniste. Toutefois, après les élections de 1973 remportées par le péroniste et le massacre d'Ezeiza lors du retour définitif de Perón (juin 1973), les tensions entre la gauche et la droite péroniste s'accentuèrent. Finalement, à partir du 1er mai 1974, jour où Perón fait un discours stigmatisant la jeunesse péroniste de gauche, de graves erreurs politiques entraînèrent un recul de popularité du leader et des secteurs syndicaux et politiques du péronisme orthodoxe, expliquant ainsi l'isolement croissant du groupe. Celui-ci fut détruit par la dictature militaire de Videla qui chassa la veuve de Perón, Isabel Martínez de Perón le 24 mars 1976. (fr)
  • Les Montoneros étaient une organisation politico-militaire argentine péroniste qui pratiqua la lutte armée entre 1970 et 1979, avec une intensité maximale jusqu'en 1976. Ses objectifs étaient : la déstabilisation du gouvernement autoproclamé « Révolution Argentine » (Juan Carlos Onganía, Roberto Marcelo Levingston, Alejandro Agustín Lanusse,… 1966-1973), le retour au pouvoir du général Juan Domingo Perón et l'instauration en Argentine d'un système politique qu'ils baptisaient « Socialisme national », ce qu'ils considéraient comme l'évolution historique naturelle du péronisme. Ayant moins de 20 militants fin 1970, le groupe commença à croître rapidement en 1971, devenant, en novembre 1972, au moment du premier retour du général Juan Perón, capable de mobiliser des milliers de jeunes péronistes. En juillet 1972, profitant de l'ouverture politique entamée par le général Lanusse avec le « Grand Accord National », le groupe se dota d'une organisation politique de masse, la « JP Régionales », à la tête de laquelle se trouvait , nommé en novembre 1971 par Perón au Conseil supérieur justicialiste. Durant leurs premières années d'existence, les Montoneros reçurent l'appui du général Perón et d'une grande partie du Mouvement péroniste. Toutefois, après les élections de 1973 remportées par le péroniste et le massacre d'Ezeiza lors du retour définitif de Perón (juin 1973), les tensions entre la gauche et la droite péroniste s'accentuèrent. Finalement, à partir du 1er mai 1974, jour où Perón fait un discours stigmatisant la jeunesse péroniste de gauche, de graves erreurs politiques entraînèrent un recul de popularité du leader et des secteurs syndicaux et politiques du péronisme orthodoxe, expliquant ainsi l'isolement croissant du groupe. Celui-ci fut détruit par la dictature militaire de Videla qui chassa la veuve de Perón, Isabel Martínez de Perón le 24 mars 1976. (fr)
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  • Libres ou morts, mais jamais esclaves (fr)
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  • Fernando Vaca Narvaja (fr)
  • José Ignacio Rucci (fr)
  • Rodolfo Galimberti (fr)
  • Hora del Pueblo (fr)
  • ARA Santísima Trinidad (fr)
  • Ricardo Obregón Cano (fr)
  • Movimiento de Sacerdotes para el Tercer Mundo (fr)
  • Bunge et Born (fr)
  • Rodolfo Ortega Peña (fr)
  • Super-Clan (fr)
  • Timote (fr)
  • William C. Morris, Buenos Aires (fr)
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  • Retour au pouvoir de Juan Perón et construction d'une nation socialiste. (fr)
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