Les centres clandestins de détention (CCD) furent des installations secrètes employées par les forces armées et de sécurité argentines pour exécuter le plan systématique de « disparition » de personnes, dans le cadre de la « guerre sale » poursuivie par la dictature militaire de 1976 à 1983. 500 centres de détention avaient été recensés en 2009 mais leur nombre est en constante révision. Avant même les marquant la fin de la dictature, le Centre d'études légales et sociales (CELS) d'Emilio Mignone en avait déjà recensé plus de 300 . Les Forces Armées classaient les CCD en deux types :

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  • Les centres clandestins de détention (CCD) furent des installations secrètes employées par les forces armées et de sécurité argentines pour exécuter le plan systématique de « disparition » de personnes, dans le cadre de la « guerre sale » poursuivie par la dictature militaire de 1976 à 1983. 500 centres de détention avaient été recensés en 2009 mais leur nombre est en constante révision. Avant même les marquant la fin de la dictature, le Centre d'études légales et sociales (CELS) d'Emilio Mignone en avait déjà recensé plus de 300 . Les Forces Armées classaient les CCD en deux types : * les « lieux de rassemblement de détenus » (LRD), organisés de façon stable, préparés pour loger, torturer et assassiner de grandes quantités de détenus ; * les « lieux de transit » (LT), organisés de façon plus précaire, destinés à fonctionner comme premier lieu de résidence des détenus-« disparus ». (fr)
  • Les centres clandestins de détention (CCD) furent des installations secrètes employées par les forces armées et de sécurité argentines pour exécuter le plan systématique de « disparition » de personnes, dans le cadre de la « guerre sale » poursuivie par la dictature militaire de 1976 à 1983. 500 centres de détention avaient été recensés en 2009 mais leur nombre est en constante révision. Avant même les marquant la fin de la dictature, le Centre d'études légales et sociales (CELS) d'Emilio Mignone en avait déjà recensé plus de 300 . Les Forces Armées classaient les CCD en deux types : * les « lieux de rassemblement de détenus » (LRD), organisés de façon stable, préparés pour loger, torturer et assassiner de grandes quantités de détenus ; * les « lieux de transit » (LT), organisés de façon plus précaire, destinés à fonctionner comme premier lieu de résidence des détenus-« disparus ». (fr)
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  • Guillermo Vargas Aignasse (fr)
  • Operativo Independencia (fr)
  • Opération Indépendance (fr)
  • Abel Teodoro Catuzzi (fr)
  • Ricardo Miguel Cavallo (fr)
  • Rubén Chamorro (fr)
  • Unión Obrera Metalúrgica (fr)
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  • Les centres clandestins de détention (CCD) furent des installations secrètes employées par les forces armées et de sécurité argentines pour exécuter le plan systématique de « disparition » de personnes, dans le cadre de la « guerre sale » poursuivie par la dictature militaire de 1976 à 1983. 500 centres de détention avaient été recensés en 2009 mais leur nombre est en constante révision. Avant même les marquant la fin de la dictature, le Centre d'études légales et sociales (CELS) d'Emilio Mignone en avait déjà recensé plus de 300 . Les Forces Armées classaient les CCD en deux types : (fr)
  • Les centres clandestins de détention (CCD) furent des installations secrètes employées par les forces armées et de sécurité argentines pour exécuter le plan systématique de « disparition » de personnes, dans le cadre de la « guerre sale » poursuivie par la dictature militaire de 1976 à 1983. 500 centres de détention avaient été recensés en 2009 mais leur nombre est en constante révision. Avant même les marquant la fin de la dictature, le Centre d'études légales et sociales (CELS) d'Emilio Mignone en avait déjà recensé plus de 300 . Les Forces Armées classaient les CCD en deux types : (fr)
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  • Centre clandestin de détention (fr)
  • Centros clandestinos de detenção na Argentina (pt)
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