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- Jérôme Kerviel, né le 11 janvier 1977 à Pont-l'Abbé (Finistère), est, de 2005 à 2008, un opérateur de marché français, salarié de la Société générale. Jérôme Kerviel est un acteur majeur des pertes de la Société générale découvertes en janvier 2008 (c'est-à-dire concomitante à la crise économique de 2008) et résultant de la liquidation de ses prises de positions sur des contrats à terme sur indices d'actions s'élevant à cette époque à environ 50 milliards d'euros. Pour abus de confiance, faux et usage de faux et introduction frauduleuse de données dans un système informatique, il est condamné à 3 ans de prison ferme et 2 ans avec sursis. Après 5 mois, sa peine est aménagée en liberté sous bracelet électronique. À l'issue de la liquidation de ses positions, Jérôme Kerviel est jugé responsable de la totalité des pertes enregistrées par le groupe bancaire, soit 4,9 milliards d'euros. L'arrêt rendu par la Cour de cassation en mars 2014 partage les responsabilités entre Jérôme Kerviel et la Société générale et supprime le montant de 4,9 milliards d'euros réclamé au titre des dommages et intérêts ; la cour d'appel de Versailles, statuant sur les intérêts civils l'a condamné le 23 septembre 2016 à verser 1 million d'euros de dommages et intérêts à la Société générale. Plus tôt en 2016, la Société générale avait été condamnée à payer à Jérôme Kerviel 455 000 euros de dommages et intérêts par le conseil des prud'hommes de Paris pour licenciement sans cause réelle et sérieuse dans des conditions vexatoires.En décembre 2018, la cour d'appel de Paris annule la décision du conseil des prud'hommes. (fr)
- Jérôme Kerviel, né le 11 janvier 1977 à Pont-l'Abbé (Finistère), est, de 2005 à 2008, un opérateur de marché français, salarié de la Société générale. Jérôme Kerviel est un acteur majeur des pertes de la Société générale découvertes en janvier 2008 (c'est-à-dire concomitante à la crise économique de 2008) et résultant de la liquidation de ses prises de positions sur des contrats à terme sur indices d'actions s'élevant à cette époque à environ 50 milliards d'euros. Pour abus de confiance, faux et usage de faux et introduction frauduleuse de données dans un système informatique, il est condamné à 3 ans de prison ferme et 2 ans avec sursis. Après 5 mois, sa peine est aménagée en liberté sous bracelet électronique. À l'issue de la liquidation de ses positions, Jérôme Kerviel est jugé responsable de la totalité des pertes enregistrées par le groupe bancaire, soit 4,9 milliards d'euros. L'arrêt rendu par la Cour de cassation en mars 2014 partage les responsabilités entre Jérôme Kerviel et la Société générale et supprime le montant de 4,9 milliards d'euros réclamé au titre des dommages et intérêts ; la cour d'appel de Versailles, statuant sur les intérêts civils l'a condamné le 23 septembre 2016 à verser 1 million d'euros de dommages et intérêts à la Société générale. Plus tôt en 2016, la Société générale avait été condamnée à payer à Jérôme Kerviel 455 000 euros de dommages et intérêts par le conseil des prud'hommes de Paris pour licenciement sans cause réelle et sérieuse dans des conditions vexatoires.En décembre 2018, la cour d'appel de Paris annule la décision du conseil des prud'hommes. (fr)
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- Jérôme Kerviel, né le 11 janvier 1977 à Pont-l'Abbé (Finistère), est, de 2005 à 2008, un opérateur de marché français, salarié de la Société générale. Jérôme Kerviel est un acteur majeur des pertes de la Société générale découvertes en janvier 2008 (c'est-à-dire concomitante à la crise économique de 2008) et résultant de la liquidation de ses prises de positions sur des contrats à terme sur indices d'actions s'élevant à cette époque à environ 50 milliards d'euros. (fr)
- Jérôme Kerviel, né le 11 janvier 1977 à Pont-l'Abbé (Finistère), est, de 2005 à 2008, un opérateur de marché français, salarié de la Société générale. Jérôme Kerviel est un acteur majeur des pertes de la Société générale découvertes en janvier 2008 (c'est-à-dire concomitante à la crise économique de 2008) et résultant de la liquidation de ses prises de positions sur des contrats à terme sur indices d'actions s'élevant à cette époque à environ 50 milliards d'euros. (fr)
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