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- En biologie l'intersexuation, anciennement appelée intersexualité se définit selon l’ONU comme une manière de décrire les caractères sexuels biologiques d’un individu, notamment ses organes génitaux, ses gonades, ses taux d’hormones et ses chromosomes, et en particulier, sur un plan sociologique, applicables aux personnes intersexes qui naissent avec des caractères sexuels qui ne correspondent pas aux définitions traditionnelles du sexe. De fait c’est le terme intersexe qui est généralement retenu pour qualifier les individus correspondants. Dans l’espèce humaine cette qualification concernerait entre 0,05 % et 1,7 % des naissances . Sur le plan sociologique, il s'agit d'un terme générique couvrant un large éventail de conditions anatomiques sexuelles dérogeant aux systèmes d’identité de genre qui traditionnellement ignorent ou rejettent la non-binarité ; contrairement à d’autres systèmes traditionnels comme par exemple certaines cultures d’autochtones d'Amérique. En ce sens l’intersexuation se caractérise donc plus par sa signification sociale que par des causes ou des caractéristiques cliniques communes. Sur un plan biologique les variations afférentes peuvent se trouver aux niveaux génétique, chromosomique, anatomique, gonadique ou hormonal. Elle peut se manifester à divers degrés sur le plan physionomique. Par exemple pour les espèces qui sont typiquement munies des traits correspondant, elle peut impacter l'apparence des organes génitaux externes ou internes, le fonctionnement des gonades, la distribution des graisses, la pilosité et la masse musculaire, ainsi que le développement mammaire. Même dans les espèces sexuées qui passent par une phase de reproduction impliquant une naissance, un examen clinique classique ne permet pas en général de déterminer l’absence d’intersexuation de l’individu. Dans le cas des humains notamment les ambiguïtés génitales ne concernent qu'une minorité d'enfants intersexes, environ 1 sur 500. (fr)
- En biologie l'intersexuation, anciennement appelée intersexualité se définit selon l’ONU comme une manière de décrire les caractères sexuels biologiques d’un individu, notamment ses organes génitaux, ses gonades, ses taux d’hormones et ses chromosomes, et en particulier, sur un plan sociologique, applicables aux personnes intersexes qui naissent avec des caractères sexuels qui ne correspondent pas aux définitions traditionnelles du sexe. De fait c’est le terme intersexe qui est généralement retenu pour qualifier les individus correspondants. Dans l’espèce humaine cette qualification concernerait entre 0,05 % et 1,7 % des naissances . Sur le plan sociologique, il s'agit d'un terme générique couvrant un large éventail de conditions anatomiques sexuelles dérogeant aux systèmes d’identité de genre qui traditionnellement ignorent ou rejettent la non-binarité ; contrairement à d’autres systèmes traditionnels comme par exemple certaines cultures d’autochtones d'Amérique. En ce sens l’intersexuation se caractérise donc plus par sa signification sociale que par des causes ou des caractéristiques cliniques communes. Sur un plan biologique les variations afférentes peuvent se trouver aux niveaux génétique, chromosomique, anatomique, gonadique ou hormonal. Elle peut se manifester à divers degrés sur le plan physionomique. Par exemple pour les espèces qui sont typiquement munies des traits correspondant, elle peut impacter l'apparence des organes génitaux externes ou internes, le fonctionnement des gonades, la distribution des graisses, la pilosité et la masse musculaire, ainsi que le développement mammaire. Même dans les espèces sexuées qui passent par une phase de reproduction impliquant une naissance, un examen clinique classique ne permet pas en général de déterminer l’absence d’intersexuation de l’individu. Dans le cas des humains notamment les ambiguïtés génitales ne concernent qu'une minorité d'enfants intersexes, environ 1 sur 500. (fr)
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prop-fr:texte
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- Cheryl Chase (fr)
- Le terme « intersexuation » est mentionné comme une alternative au terme d'intersexualité par L. Bereni, S. Chauvin, A. Jaunait et A. Revillard, Introduction aux gender studies, 2008, . Le mot, également employé par l'association française de personnes intersexuées Orfeo. (fr)
- Cheryl Chase (fr)
- Le terme « intersexuation » est mentionné comme une alternative au terme d'intersexualité par L. Bereni, S. Chauvin, A. Jaunait et A. Revillard, Introduction aux gender studies, 2008, . Le mot, également employé par l'association française de personnes intersexuées Orfeo. (fr)
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- En biologie l'intersexuation, anciennement appelée intersexualité se définit selon l’ONU comme une manière de décrire les caractères sexuels biologiques d’un individu, notamment ses organes génitaux, ses gonades, ses taux d’hormones et ses chromosomes, et en particulier, sur un plan sociologique, applicables aux personnes intersexes qui naissent avec des caractères sexuels qui ne correspondent pas aux définitions traditionnelles du sexe. (fr)
- En biologie l'intersexuation, anciennement appelée intersexualité se définit selon l’ONU comme une manière de décrire les caractères sexuels biologiques d’un individu, notamment ses organes génitaux, ses gonades, ses taux d’hormones et ses chromosomes, et en particulier, sur un plan sociologique, applicables aux personnes intersexes qui naissent avec des caractères sexuels qui ne correspondent pas aux définitions traditionnelles du sexe. (fr)
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