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- Les conserves de sardines à l'huile sont un mode de commercialisation des sardines conditionnées en boîtes métalliques (ou parfois en bocaux). La mise en boite se fait avec des sardines étêtées, éviscérées et cuites, l'espace libre étant rempli d'huile végétale parfois enrichie de condiments. Les premières conserves n'utilisaient pas d'huile qui, employée par la suite, apporta ses saveurs tout en contribuant à la qualité de la conservation. Aujourd'hui, on trouve de nouveau des conserves sans apport d'huile (marinades ou au naturel). Jacques Savary des Brûlons, dans son Dictionnaire universel du commerce édité en 1723, les mentionne en disant : « que l'on met en sausse dans de petites boètes que l'on appelle sardines confites. » En France, l'invention en 1795 de l’appertisation par Nicolas Appert, méthode stérilisatrice publiée par ses soins en 1810, a permis la production de sardines en boites de fer-blanc à partir de 1824 par Pierre-Joseph Colin, qui exerçait le métier de confiseur à Nantes. Dès 1825, il possédait plusieurs usines, la première étant située rue des Salorges. Ces friteries se multiplient ensuite sur la côte bretonne avec le développement de la pêche. La conserve a d'abord été un produit peu considéré, notamment donné aux matelots avant d'être l'objet d'une plus large consommation en proportion de la baisse de son prix[source insuffisante]. À l'intérieur des conserveries, les femmes et parfois des enfants travaillaient à la mise en boîte des sardines pendant que dans d'autres ateliers, les ouvriers soudeurs fabriquaient les boîtes de manière rudimentaire. La « crise de la sardine », à partir de 1902, fut dramatique dans les ports du sud du Finistère, particulièrement à Douarnenez, Concarneau et les ports du Pays Bigouden. Par la suite, à Concarneau, des ouvriers des trente-trois usines que comptait la ville s'opposèrent fortement en 1909 à l'installation de sertisseuses. Déjà, à cette même date, beaucoup de ces usines se diversifiaient en produisant également des conserves de thon germon, les ouvrières se consacrant notamment à l'« épluchage » une fois le poisson cuit. Le port-musée de Douarnenez est installé dans une ancienne conserverie de sardines. Aujourd'hui, la plus vieille conserverie au monde encore en activité, datant de 1853, se trouve à Douarnenez : Wenceslas Chancerelle, avec sa marque principale, Le Connétable. Un collectionneur de boites de sardines est un puxisardinophile ou un clupéidophile. (fr)
- Les conserves de sardines à l'huile sont un mode de commercialisation des sardines conditionnées en boîtes métalliques (ou parfois en bocaux). La mise en boite se fait avec des sardines étêtées, éviscérées et cuites, l'espace libre étant rempli d'huile végétale parfois enrichie de condiments. Les premières conserves n'utilisaient pas d'huile qui, employée par la suite, apporta ses saveurs tout en contribuant à la qualité de la conservation. Aujourd'hui, on trouve de nouveau des conserves sans apport d'huile (marinades ou au naturel). Jacques Savary des Brûlons, dans son Dictionnaire universel du commerce édité en 1723, les mentionne en disant : « que l'on met en sausse dans de petites boètes que l'on appelle sardines confites. » En France, l'invention en 1795 de l’appertisation par Nicolas Appert, méthode stérilisatrice publiée par ses soins en 1810, a permis la production de sardines en boites de fer-blanc à partir de 1824 par Pierre-Joseph Colin, qui exerçait le métier de confiseur à Nantes. Dès 1825, il possédait plusieurs usines, la première étant située rue des Salorges. Ces friteries se multiplient ensuite sur la côte bretonne avec le développement de la pêche. La conserve a d'abord été un produit peu considéré, notamment donné aux matelots avant d'être l'objet d'une plus large consommation en proportion de la baisse de son prix[source insuffisante]. À l'intérieur des conserveries, les femmes et parfois des enfants travaillaient à la mise en boîte des sardines pendant que dans d'autres ateliers, les ouvriers soudeurs fabriquaient les boîtes de manière rudimentaire. La « crise de la sardine », à partir de 1902, fut dramatique dans les ports du sud du Finistère, particulièrement à Douarnenez, Concarneau et les ports du Pays Bigouden. Par la suite, à Concarneau, des ouvriers des trente-trois usines que comptait la ville s'opposèrent fortement en 1909 à l'installation de sertisseuses. Déjà, à cette même date, beaucoup de ces usines se diversifiaient en produisant également des conserves de thon germon, les ouvrières se consacrant notamment à l'« épluchage » une fois le poisson cuit. Le port-musée de Douarnenez est installé dans une ancienne conserverie de sardines. Aujourd'hui, la plus vieille conserverie au monde encore en activité, datant de 1853, se trouve à Douarnenez : Wenceslas Chancerelle, avec sa marque principale, Le Connétable. Un collectionneur de boites de sardines est un puxisardinophile ou un clupéidophile. (fr)
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- Les conserves de sardines à l'huile sont un mode de commercialisation des sardines conditionnées en boîtes métalliques (ou parfois en bocaux). La mise en boite se fait avec des sardines étêtées, éviscérées et cuites, l'espace libre étant rempli d'huile végétale parfois enrichie de condiments. Les premières conserves n'utilisaient pas d'huile qui, employée par la suite, apporta ses saveurs tout en contribuant à la qualité de la conservation. Aujourd'hui, on trouve de nouveau des conserves sans apport d'huile (marinades ou au naturel). (fr)
- Les conserves de sardines à l'huile sont un mode de commercialisation des sardines conditionnées en boîtes métalliques (ou parfois en bocaux). La mise en boite se fait avec des sardines étêtées, éviscérées et cuites, l'espace libre étant rempli d'huile végétale parfois enrichie de condiments. Les premières conserves n'utilisaient pas d'huile qui, employée par la suite, apporta ses saveurs tout en contribuant à la qualité de la conservation. Aujourd'hui, on trouve de nouveau des conserves sans apport d'huile (marinades ou au naturel). (fr)
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