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- La philosophie juive est une forme de pensée juive, examinant les rapports entre le legs du judaïsme, la révélation et la tradition, et celui de l'hellénisme, la raison (logos). Les sujets qu'elle couvre peuvent porter sur :
* des questions philosophiques générales, comme le sens de la vie, la place de l'homme par rapport à lui-même ;
* des questions communes à toutes les philosophies religieuses, comme le rapport d'autrui à Dieu, la nature de Dieu, les « preuves » et « démonstrations » de son existence, mais aussi de préoccupations plus spécifiquement juives, comme le sens des mitzvot (prescriptions bibliques dans une moindre mesure, rabbiniques), la place du dogme, la croyance ou de la certitude, la nature des temps messianiques ;
* des questions, surtout chez les philosophes post-spinozistes, portant davantage sur un questionnement identitaire et la place du Juif dans le monde et l'histoire. Cette entité est controversée par les tenants du judaïsme traditionnel comme par les philosophes: pour les premiers, elle amène les Juifs à formuler les questions à la manière des non-Juifs, et les conduit donc rapidement et directement à l'hérésie ; pour les seconds, elle part d'un postulat pré-établi, la vérité de la révélation, ce qui est contraire à une démarche philosophique authentique, et conduit des philosophes comme Leo Strauss à affirmer que les « classiques » de la philosophie juive comme le Guide des Égarés ou le Kuzari ne sont pas des œuvres philosophiques.[réf. nécessaire] (fr)
- La philosophie juive est une forme de pensée juive, examinant les rapports entre le legs du judaïsme, la révélation et la tradition, et celui de l'hellénisme, la raison (logos). Les sujets qu'elle couvre peuvent porter sur :
* des questions philosophiques générales, comme le sens de la vie, la place de l'homme par rapport à lui-même ;
* des questions communes à toutes les philosophies religieuses, comme le rapport d'autrui à Dieu, la nature de Dieu, les « preuves » et « démonstrations » de son existence, mais aussi de préoccupations plus spécifiquement juives, comme le sens des mitzvot (prescriptions bibliques dans une moindre mesure, rabbiniques), la place du dogme, la croyance ou de la certitude, la nature des temps messianiques ;
* des questions, surtout chez les philosophes post-spinozistes, portant davantage sur un questionnement identitaire et la place du Juif dans le monde et l'histoire. Cette entité est controversée par les tenants du judaïsme traditionnel comme par les philosophes: pour les premiers, elle amène les Juifs à formuler les questions à la manière des non-Juifs, et les conduit donc rapidement et directement à l'hérésie ; pour les seconds, elle part d'un postulat pré-établi, la vérité de la révélation, ce qui est contraire à une démarche philosophique authentique, et conduit des philosophes comme Leo Strauss à affirmer que les « classiques » de la philosophie juive comme le Guide des Égarés ou le Kuzari ne sont pas des œuvres philosophiques.[réf. nécessaire] (fr)
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- La philosophie juive est une forme de pensée juive, examinant les rapports entre le legs du judaïsme, la révélation et la tradition, et celui de l'hellénisme, la raison (logos). Les sujets qu'elle couvre peuvent porter sur : (fr)
- La philosophie juive est une forme de pensée juive, examinant les rapports entre le legs du judaïsme, la révélation et la tradition, et celui de l'hellénisme, la raison (logos). Les sujets qu'elle couvre peuvent porter sur : (fr)
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