Les rapports entre l'Église et l’État dans l'Empire byzantin découlaient de la conception que se faisaient les Byzantins de leur empire, celui de la reproduction (mimesis) sur terre du royaume des cieux, Église et État n’étant que le recto et le verso d’une même médaille[pas clair]. Cet empire se voulait un empire universel englobant ou appelé à englober tous les peuples de la terre (l'oikouméné) lesquels devraient idéalement appartenir à la seule véritable Église chrétienne, l’Église orthodoxe.

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  • Les rapports entre l'Église et l’État dans l'Empire byzantin découlaient de la conception que se faisaient les Byzantins de leur empire, celui de la reproduction (mimesis) sur terre du royaume des cieux, Église et État n’étant que le recto et le verso d’une même médaille[pas clair]. Cet empire se voulait un empire universel englobant ou appelé à englober tous les peuples de la terre (l'oikouméné) lesquels devraient idéalement appartenir à la seule véritable Église chrétienne, l’Église orthodoxe. Dès lors, l’empereur représentant de Dieu sur la terre, exerçait un pouvoir absolu et sans partage, l’un de ses premiers devoirs étant de faire respecter l’orthodoxie. Il en résulta des rapports souvent tendus avec les papes qui, après la chute de l'Empire romain d'Occident, cessèrent de soumettre leur nomination à la ratification impériale et, devenus puissance politique aussi bien que spirituelle, en viendront à sacrer un deuxième « empereur des Romains » dans la personne de Charlemagne en 800. Les différences dans la doctrine et la pratique religieuse entre chrétientés occidentale et orientale s’accentuèrent avec les siècles jusqu’à éclater au grand jour en 1054 en un schisme et à devenir définitives lorsque les Latins voulurent substituer une Église romaine à l’Église orthodoxe après la chute de Constantinople aux mains des croisés en 1204. Au sein même de l’empire qu’il contrôlait vraiment, c’est-à-dire l'Empire romain d’Orient, l’empereur dut au cours des premiers siècles après Constantin Ier lutter constamment contre de nombreux mouvement qu'ils considéraient comme des hérésies tel que le nestorianisme, l'arianisme, le monophysisme. Ces mouvements menaçaient à la fois l’unité politique et religieuse de l’empire. La crise de l'iconoclasme traduira les tensions entre la partie européenne de l’empire (iconodoule) et sa partie asiatique (iconoclaste). La conquête arabe réduisit à néant l’influence des patriarcats orientaux d’Antioche, d’Alexandrie et de Jérusalem. Les rapports entre l’Église et l’État traduisirent dès lors les relations personnelles entre l’empereur, dont l’un des titres est celui d’épistèmonarque ou protecteur de l’Église, et le patriarche de Constantinople. À titre d’élu de Dieu, l’empereur se considérait supérieur au patriarche qu’il nommait et révoquait à sa guise jusqu’à ce que deux patriarches à la personnalité particulièrement forte, Photios (patriarche de décembre 858 à novembre 867, puis du 26 octobre 877 au 29 septembre 886) et Michel Cérulaire (patriarche 1043 - 1058) parviennent à mieux délimiter juridiction spirituelle et temporelle. Après la reconquête de Constantinople par les Paléologues, le conflit de juridiction entre le pape, l’empereur et le patriarche de Constantinople prit un tour nouveau lorsque, à la suite des menaces que faisaient planer diverses puissances sur l’empire, certains empereurs tentèrent de parvenir à la réunification des Églises orthodoxe et romaine : tentatives de Michel VIII Paléologue, conversion « personnelle » de Jean V, et enfin participation de Jean VIII Paléologue au Concile de Bâle-Ferrare-Florence. Il en résulta en 1439 une formule d’entente, que le clergé orthodoxe présent au concile accepta, à l'exception de Marc d'Éphèse. Cependant, elle fut par la suite très vite rejetée par le peuple et le clergé de Constantinople ainsi que par les autorités politiques et religieuses de Moscou. (fr)
  • Les rapports entre l'Église et l’État dans l'Empire byzantin découlaient de la conception que se faisaient les Byzantins de leur empire, celui de la reproduction (mimesis) sur terre du royaume des cieux, Église et État n’étant que le recto et le verso d’une même médaille[pas clair]. Cet empire se voulait un empire universel englobant ou appelé à englober tous les peuples de la terre (l'oikouméné) lesquels devraient idéalement appartenir à la seule véritable Église chrétienne, l’Église orthodoxe. Dès lors, l’empereur représentant de Dieu sur la terre, exerçait un pouvoir absolu et sans partage, l’un de ses premiers devoirs étant de faire respecter l’orthodoxie. Il en résulta des rapports souvent tendus avec les papes qui, après la chute de l'Empire romain d'Occident, cessèrent de soumettre leur nomination à la ratification impériale et, devenus puissance politique aussi bien que spirituelle, en viendront à sacrer un deuxième « empereur des Romains » dans la personne de Charlemagne en 800. Les différences dans la doctrine et la pratique religieuse entre chrétientés occidentale et orientale s’accentuèrent avec les siècles jusqu’à éclater au grand jour en 1054 en un schisme et à devenir définitives lorsque les Latins voulurent substituer une Église romaine à l’Église orthodoxe après la chute de Constantinople aux mains des croisés en 1204. Au sein même de l’empire qu’il contrôlait vraiment, c’est-à-dire l'Empire romain d’Orient, l’empereur dut au cours des premiers siècles après Constantin Ier lutter constamment contre de nombreux mouvement qu'ils considéraient comme des hérésies tel que le nestorianisme, l'arianisme, le monophysisme. Ces mouvements menaçaient à la fois l’unité politique et religieuse de l’empire. La crise de l'iconoclasme traduira les tensions entre la partie européenne de l’empire (iconodoule) et sa partie asiatique (iconoclaste). La conquête arabe réduisit à néant l’influence des patriarcats orientaux d’Antioche, d’Alexandrie et de Jérusalem. Les rapports entre l’Église et l’État traduisirent dès lors les relations personnelles entre l’empereur, dont l’un des titres est celui d’épistèmonarque ou protecteur de l’Église, et le patriarche de Constantinople. À titre d’élu de Dieu, l’empereur se considérait supérieur au patriarche qu’il nommait et révoquait à sa guise jusqu’à ce que deux patriarches à la personnalité particulièrement forte, Photios (patriarche de décembre 858 à novembre 867, puis du 26 octobre 877 au 29 septembre 886) et Michel Cérulaire (patriarche 1043 - 1058) parviennent à mieux délimiter juridiction spirituelle et temporelle. Après la reconquête de Constantinople par les Paléologues, le conflit de juridiction entre le pape, l’empereur et le patriarche de Constantinople prit un tour nouveau lorsque, à la suite des menaces que faisaient planer diverses puissances sur l’empire, certains empereurs tentèrent de parvenir à la réunification des Églises orthodoxe et romaine : tentatives de Michel VIII Paléologue, conversion « personnelle » de Jean V, et enfin participation de Jean VIII Paléologue au Concile de Bâle-Ferrare-Florence. Il en résulta en 1439 une formule d’entente, que le clergé orthodoxe présent au concile accepta, à l'exception de Marc d'Éphèse. Cependant, elle fut par la suite très vite rejetée par le peuple et le clergé de Constantinople ainsi que par les autorités politiques et religieuses de Moscou. (fr)
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  • Second Edition (fr)
  • A Textbook Ecclesiology (fr)
  • From the Death of Theodosius I (fr)
  • The Crisis of Christianity and Politics (fr)
  • The Weil Lectures, Cincinatti (fr)
  • Eastern influences on Rome and the papacy from Gregory the Great to Zacharias, A.D. 590-752 (fr)
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  • Eastern influences on Rome and the papacy from Gregory the Great to Zacharias, A.D. 590-752 (fr)
prop-fr:titre
  • A History of the Byzantine State and Society (fr)
  • Histoire de l’État byzantin (fr)
  • Le Monde byzantin (fr)
  • The Byzantine Legacy in the Orthodox Church (fr)
  • Byzantium and the Crusades (fr)
  • History of the Byzantine Empire (fr)
  • Byzance - (fr)
  • Alexis Comnène (fr)
  • Les Derniers Siècles de Byzance, 1261-1453 (fr)
  • History of the Later Roman Empire (fr)
  • The Byzantine Theocracy (fr)
  • The Orthodox Church in the Byzantine Empire (fr)
  • Byzance et le monde orthodoxe (fr)
  • The Byzantine Commonwealth, Eastern Europe 500-1453 (fr)
  • Byzantine Rome and the Greek Popes (fr)
  • Histoire de la Russie et de son empire (fr)
  • Church and Society in Byzantium under the Comneni, 1081-1261 (fr)
  • The Oxford Dictionary of Byzantium (fr)
  • The Early Medieval Balkans : A Critical Survey from the Sixth to the Late Twelfth Century (fr)
  • World and Its Peoples (fr)
  • Byzantium in exile (fr)
  • Byzance, grandeur et décadence (fr)
  • A Source Book for Ancient Church History (fr)
  • Dictionnaire de l’Histoire du christianisme (fr)
  • L’Édit d’Alexis Comnène sur la réforme du clergé (fr)
  • Law in the Crisis of Empire 379-455 AD (fr)
  • Les Byzantins, Histoire et culture (fr)
  • Les institutions de l’empire byzantin (fr)
  • Les Églises d’Orient et d’Occident (fr)
  • L’Ukraine dans le cadre de l’Est européen (fr)
  • Quelques mots sur les “” (fr)
  • The Contested Public Square (fr)
  • The Gift of the Church (fr)
  • The Inescapable Love of God (fr)
  • The Entry of the Slavs into Christendom : An Introduction to the Medieval History of the Slavs (fr)
  • L’autonomie ecclésiastique selon la législation canonique actuelle de l’Église orthodoxe et de l’Église catholique (fr)
  • Αυτοκρατορία της Νέας Ρώμης (fr)
  • A History of the Byzantine State and Society (fr)
  • Histoire de l’État byzantin (fr)
  • Le Monde byzantin (fr)
  • The Byzantine Legacy in the Orthodox Church (fr)
  • Byzantium and the Crusades (fr)
  • History of the Byzantine Empire (fr)
  • Byzance - (fr)
  • Alexis Comnène (fr)
  • Les Derniers Siècles de Byzance, 1261-1453 (fr)
  • History of the Later Roman Empire (fr)
  • The Byzantine Theocracy (fr)
  • The Orthodox Church in the Byzantine Empire (fr)
  • Byzance et le monde orthodoxe (fr)
  • The Byzantine Commonwealth, Eastern Europe 500-1453 (fr)
  • Byzantine Rome and the Greek Popes (fr)
  • Histoire de la Russie et de son empire (fr)
  • Church and Society in Byzantium under the Comneni, 1081-1261 (fr)
  • The Oxford Dictionary of Byzantium (fr)
  • The Early Medieval Balkans : A Critical Survey from the Sixth to the Late Twelfth Century (fr)
  • World and Its Peoples (fr)
  • Byzantium in exile (fr)
  • Byzance, grandeur et décadence (fr)
  • A Source Book for Ancient Church History (fr)
  • Dictionnaire de l’Histoire du christianisme (fr)
  • L’Édit d’Alexis Comnène sur la réforme du clergé (fr)
  • Law in the Crisis of Empire 379-455 AD (fr)
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  • Les Églises d’Orient et d’Occident (fr)
  • L’Ukraine dans le cadre de l’Est européen (fr)
  • Quelques mots sur les “” (fr)
  • The Contested Public Square (fr)
  • The Gift of the Church (fr)
  • The Inescapable Love of God (fr)
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  • L’Empire byzantin (fr)
  • L’Empire romain d’Orient (fr)
  • c. 1198-c. 1300 (fr)
  • L’Empire grec et ses voisins, – (fr)
  • L’Empire byzantin (fr)
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  • Les rapports entre l'Église et l’État dans l'Empire byzantin découlaient de la conception que se faisaient les Byzantins de leur empire, celui de la reproduction (mimesis) sur terre du royaume des cieux, Église et État n’étant que le recto et le verso d’une même médaille[pas clair]. Cet empire se voulait un empire universel englobant ou appelé à englober tous les peuples de la terre (l'oikouméné) lesquels devraient idéalement appartenir à la seule véritable Église chrétienne, l’Église orthodoxe. (fr)
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  • Església estatal de l'Imperi Romà (ca)
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