dbo:abstract
|
- Le prix Busiris est un prix parodique remis par le blogueur maître Eolas à plusieurs personnalités politiques, en récompense d'« une affirmation juridiquement aberrante, si possible contradictoire, teintée de mauvaise foi et mue par l'opportunité politique plus que par le respect du droit ». Le nom du prix renvoie au personnage de Busiris, spécialiste du droit de la guerre dans la pièce La guerre de Troie n'aura pas lieu de Jean Giraudoux, qui après avoir démontré à la demande de Démokos que la manœuvre des navires grecs lors de leur arrivée était une insulte à Troie, et ne pouvait être réparée que par la guerre, démontre aussitôt le contraire quand Hector menace de l'emprisonner (acte II, scène 5), et cela en tenant des arguments tout aussi convaincants. Rachida Dati, garde des Sceaux, ministre de la Justice, a reçu le « prix Busiris » à huit reprises, dont cinq fois consécutivement en l'espace de quelques semaines. Éric Besson, Brice Hortefeux, Michèle Alliot-Marie et Christine Albanel ont également reçu plusieurs fois le « prix Busiris ». Daniel Schneidermann dans une tribune publiée le 23 juin 2006 par Libération s'interroge sur un possible « effet Eolas » lorsque celui-ci décerne au CSA un « prix Busiris ». Le prix Busiris dispose depuis juin 2011 d'un site web dédié. (fr)
- Le prix Busiris est un prix parodique remis par le blogueur maître Eolas à plusieurs personnalités politiques, en récompense d'« une affirmation juridiquement aberrante, si possible contradictoire, teintée de mauvaise foi et mue par l'opportunité politique plus que par le respect du droit ». Le nom du prix renvoie au personnage de Busiris, spécialiste du droit de la guerre dans la pièce La guerre de Troie n'aura pas lieu de Jean Giraudoux, qui après avoir démontré à la demande de Démokos que la manœuvre des navires grecs lors de leur arrivée était une insulte à Troie, et ne pouvait être réparée que par la guerre, démontre aussitôt le contraire quand Hector menace de l'emprisonner (acte II, scène 5), et cela en tenant des arguments tout aussi convaincants. Rachida Dati, garde des Sceaux, ministre de la Justice, a reçu le « prix Busiris » à huit reprises, dont cinq fois consécutivement en l'espace de quelques semaines. Éric Besson, Brice Hortefeux, Michèle Alliot-Marie et Christine Albanel ont également reçu plusieurs fois le « prix Busiris ». Daniel Schneidermann dans une tribune publiée le 23 juin 2006 par Libération s'interroge sur un possible « effet Eolas » lorsque celui-ci décerne au CSA un « prix Busiris ». Le prix Busiris dispose depuis juin 2011 d'un site web dédié. (fr)
|
rdfs:comment
|
- Le prix Busiris est un prix parodique remis par le blogueur maître Eolas à plusieurs personnalités politiques, en récompense d'« une affirmation juridiquement aberrante, si possible contradictoire, teintée de mauvaise foi et mue par l'opportunité politique plus que par le respect du droit ». Rachida Dati, garde des Sceaux, ministre de la Justice, a reçu le « prix Busiris » à huit reprises, dont cinq fois consécutivement en l'espace de quelques semaines. Éric Besson, Brice Hortefeux, Michèle Alliot-Marie et Christine Albanel ont également reçu plusieurs fois le « prix Busiris ». (fr)
- Le prix Busiris est un prix parodique remis par le blogueur maître Eolas à plusieurs personnalités politiques, en récompense d'« une affirmation juridiquement aberrante, si possible contradictoire, teintée de mauvaise foi et mue par l'opportunité politique plus que par le respect du droit ». Rachida Dati, garde des Sceaux, ministre de la Justice, a reçu le « prix Busiris » à huit reprises, dont cinq fois consécutivement en l'espace de quelques semaines. Éric Besson, Brice Hortefeux, Michèle Alliot-Marie et Christine Albanel ont également reçu plusieurs fois le « prix Busiris ». (fr)
|