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- La flore du Massif central est riche et diverse. Cette diversité s'explique par la grande superficie de ce massif, sa position de carrefour entre différentes zones climatiques et sa variété géologique. Les plantes que l'on peut croiser dans la partie occidentale, très humide, ne sont pas les mêmes que celles que l'on trouve dans la partie orientale, plus sèche, et la différence est encore plus grande avec les espèces que l'on peut trouver dans la partie sud (Causses, Cévennes), soumises à des influences méditerranéennes marquées. Cette composante spatiale n'est pas la seule à intervenir car l'exposition, l'altitude ou la nature du substrat sont aussi des facteurs déterminants. En effet, on peut souligner à ce propos l'opposition classique entre les versants exposés au sud et ceux exposés au nord (adret et ubac) ou encore les différences qui existent dans la végétation entre, d'une part, les sols acides (granite) et d'autre part, les sols basiques (calcaire ou basalte). Bien que l'altitude du Massif central soit faible par rapport à d'autres massifs montagneux comme les Alpes ou les Pyrénées, on observe un étagement de la végétation très net qui peut aller de la végétation méditerranéenne à la pelouse subalpine (cas des Cévennes). D'une façon générale, dans la majeure partie du Massif central, on peut distinguer quatre étages de végétation :
* un étage de plaine jusqu'à 500 m d'altitude (bien représenté dans la Limagne) ;
* un étage collinéen (jusqu'à 900 m d'altitude sur la majeure partie du massif sauf au nord-ouest où cette limite est plus basse) ;
* un étage montagnard (jusqu'à 1 500 m d'altitude) ;
* un étage subalpin (au-delà de 1 500 m d'altitude). Dans les Cévennes, l'étage de plaine peut être qualifié d'« étage méditerranéen ». Ces limites peuvent évidemment varier suivant l'exposition (plus basses en versant nord). (fr)
- La flore du Massif central est riche et diverse. Cette diversité s'explique par la grande superficie de ce massif, sa position de carrefour entre différentes zones climatiques et sa variété géologique. Les plantes que l'on peut croiser dans la partie occidentale, très humide, ne sont pas les mêmes que celles que l'on trouve dans la partie orientale, plus sèche, et la différence est encore plus grande avec les espèces que l'on peut trouver dans la partie sud (Causses, Cévennes), soumises à des influences méditerranéennes marquées. Cette composante spatiale n'est pas la seule à intervenir car l'exposition, l'altitude ou la nature du substrat sont aussi des facteurs déterminants. En effet, on peut souligner à ce propos l'opposition classique entre les versants exposés au sud et ceux exposés au nord (adret et ubac) ou encore les différences qui existent dans la végétation entre, d'une part, les sols acides (granite) et d'autre part, les sols basiques (calcaire ou basalte). Bien que l'altitude du Massif central soit faible par rapport à d'autres massifs montagneux comme les Alpes ou les Pyrénées, on observe un étagement de la végétation très net qui peut aller de la végétation méditerranéenne à la pelouse subalpine (cas des Cévennes). D'une façon générale, dans la majeure partie du Massif central, on peut distinguer quatre étages de végétation :
* un étage de plaine jusqu'à 500 m d'altitude (bien représenté dans la Limagne) ;
* un étage collinéen (jusqu'à 900 m d'altitude sur la majeure partie du massif sauf au nord-ouest où cette limite est plus basse) ;
* un étage montagnard (jusqu'à 1 500 m d'altitude) ;
* un étage subalpin (au-delà de 1 500 m d'altitude). Dans les Cévennes, l'étage de plaine peut être qualifié d'« étage méditerranéen ». Ces limites peuvent évidemment varier suivant l'exposition (plus basses en versant nord). (fr)
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prop-fr:auteur
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- Francis Nouyrigat (fr)
- Gérard Joberton, Yves Perret, Thierry Dalbavie (fr)
- Hervé Christophe (fr)
- Philippe Antonetti, Éric Brugel, Francis Kessler, Maryse Tort, Jean-Pierre Barbe (fr)
- Noël Graveline, Jean-Paul Favre, Francis Debaisieux (fr)
- Francis Nouyrigat (fr)
- Gérard Joberton, Yves Perret, Thierry Dalbavie (fr)
- Hervé Christophe (fr)
- Philippe Antonetti, Éric Brugel, Francis Kessler, Maryse Tort, Jean-Pierre Barbe (fr)
- Noël Graveline, Jean-Paul Favre, Francis Debaisieux (fr)
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rdfs:comment
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- La flore du Massif central est riche et diverse. Cette diversité s'explique par la grande superficie de ce massif, sa position de carrefour entre différentes zones climatiques et sa variété géologique. Les plantes que l'on peut croiser dans la partie occidentale, très humide, ne sont pas les mêmes que celles que l'on trouve dans la partie orientale, plus sèche, et la différence est encore plus grande avec les espèces que l'on peut trouver dans la partie sud (Causses, Cévennes), soumises à des influences méditerranéennes marquées. Cette composante spatiale n'est pas la seule à intervenir car l'exposition, l'altitude ou la nature du substrat sont aussi des facteurs déterminants. En effet, on peut souligner à ce propos l'opposition classique entre les versants exposés au sud et ceux exposés a (fr)
- La flore du Massif central est riche et diverse. Cette diversité s'explique par la grande superficie de ce massif, sa position de carrefour entre différentes zones climatiques et sa variété géologique. Les plantes que l'on peut croiser dans la partie occidentale, très humide, ne sont pas les mêmes que celles que l'on trouve dans la partie orientale, plus sèche, et la différence est encore plus grande avec les espèces que l'on peut trouver dans la partie sud (Causses, Cévennes), soumises à des influences méditerranéennes marquées. Cette composante spatiale n'est pas la seule à intervenir car l'exposition, l'altitude ou la nature du substrat sont aussi des facteurs déterminants. En effet, on peut souligner à ce propos l'opposition classique entre les versants exposés au sud et ceux exposés a (fr)
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