Le marché automobile français en 2006 s'est terminé sur un bilan négatif, avec une baisse de 3,3 %, mais il a réussi à se maintenir au-dessus de la barre des deux millions d'unités vendus (2 000 549 exactement). Toutes les marques françaises ont baissé : Renault, -10 %, Peugeot, -1,5 % et Citroën, -4,9 %, dû notamment aux baisses des Scénic, Mégane, 407, C4, Twingo ainsi qu'aux résultats catastrophiques de très jeunes modèles comme le Modus (-55 %) ou le 1007 (-23,3 %)qui ont à peine deux ans.Côté constructeurs étrangers, les constructeurs nippons tirent leur épingles du jeu. Ainsi, Toyota, Suzuki, Mazda et Honda progressent de respectivement 9,6 %, 20,9 %, 21,2 % et 31,9 %; sauf Nissan qui plonge de 24,1 %. Notons aussi le redressement de Fiat (avec +9,2 %), et les hausses spectaculaires

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  • Le marché automobile français en 2006 s'est terminé sur un bilan négatif, avec une baisse de 3,3 %, mais il a réussi à se maintenir au-dessus de la barre des deux millions d'unités vendus (2 000 549 exactement). Toutes les marques françaises ont baissé : Renault, -10 %, Peugeot, -1,5 % et Citroën, -4,9 %, dû notamment aux baisses des Scénic, Mégane, 407, C4, Twingo ainsi qu'aux résultats catastrophiques de très jeunes modèles comme le Modus (-55 %) ou le 1007 (-23,3 %)qui ont à peine deux ans.Côté constructeurs étrangers, les constructeurs nippons tirent leur épingles du jeu. Ainsi, Toyota, Suzuki, Mazda et Honda progressent de respectivement 9,6 %, 20,9 %, 21,2 % et 31,9 %; sauf Nissan qui plonge de 24,1 %. Notons aussi le redressement de Fiat (avec +9,2 %), et les hausses spectaculaires de Dacia (+92,1 %) et de Lexus (+151,7 %), le label luxe de Toyota. (fr)
  • Le marché automobile français en 2006 s'est terminé sur un bilan négatif, avec une baisse de 3,3 %, mais il a réussi à se maintenir au-dessus de la barre des deux millions d'unités vendus (2 000 549 exactement). Toutes les marques françaises ont baissé : Renault, -10 %, Peugeot, -1,5 % et Citroën, -4,9 %, dû notamment aux baisses des Scénic, Mégane, 407, C4, Twingo ainsi qu'aux résultats catastrophiques de très jeunes modèles comme le Modus (-55 %) ou le 1007 (-23,3 %)qui ont à peine deux ans.Côté constructeurs étrangers, les constructeurs nippons tirent leur épingles du jeu. Ainsi, Toyota, Suzuki, Mazda et Honda progressent de respectivement 9,6 %, 20,9 %, 21,2 % et 31,9 %; sauf Nissan qui plonge de 24,1 %. Notons aussi le redressement de Fiat (avec +9,2 %), et les hausses spectaculaires de Dacia (+92,1 %) et de Lexus (+151,7 %), le label luxe de Toyota. (fr)
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  • Le marché automobile français en 2006 s'est terminé sur un bilan négatif, avec une baisse de 3,3 %, mais il a réussi à se maintenir au-dessus de la barre des deux millions d'unités vendus (2 000 549 exactement). Toutes les marques françaises ont baissé : Renault, -10 %, Peugeot, -1,5 % et Citroën, -4,9 %, dû notamment aux baisses des Scénic, Mégane, 407, C4, Twingo ainsi qu'aux résultats catastrophiques de très jeunes modèles comme le Modus (-55 %) ou le 1007 (-23,3 %)qui ont à peine deux ans.Côté constructeurs étrangers, les constructeurs nippons tirent leur épingles du jeu. Ainsi, Toyota, Suzuki, Mazda et Honda progressent de respectivement 9,6 %, 20,9 %, 21,2 % et 31,9 %; sauf Nissan qui plonge de 24,1 %. Notons aussi le redressement de Fiat (avec +9,2 %), et les hausses spectaculaires (fr)
  • Le marché automobile français en 2006 s'est terminé sur un bilan négatif, avec une baisse de 3,3 %, mais il a réussi à se maintenir au-dessus de la barre des deux millions d'unités vendus (2 000 549 exactement). Toutes les marques françaises ont baissé : Renault, -10 %, Peugeot, -1,5 % et Citroën, -4,9 %, dû notamment aux baisses des Scénic, Mégane, 407, C4, Twingo ainsi qu'aux résultats catastrophiques de très jeunes modèles comme le Modus (-55 %) ou le 1007 (-23,3 %)qui ont à peine deux ans.Côté constructeurs étrangers, les constructeurs nippons tirent leur épingles du jeu. Ainsi, Toyota, Suzuki, Mazda et Honda progressent de respectivement 9,6 %, 20,9 %, 21,2 % et 31,9 %; sauf Nissan qui plonge de 24,1 %. Notons aussi le redressement de Fiat (avec +9,2 %), et les hausses spectaculaires (fr)
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