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- Les inégalités de revenus salariaux entre les hommes et les femmes se définissent par un écart de salaire entre les hommes et les femmes, écart souvent exprimé en pourcentage des revenus des hommes. Les raisons de cet écart de revenus font l’objet de débats, en sociologie et en économie notamment, pour quantifier la part qui revient à des constructions sociales (division sexuée du travail avec des métiers et filières moins bien rémunérées ; contraintes ou préférences individuelles liées à l’éducation conduisant à des professions moins rémunératrices, nombre d’heures travaillées, pauses dans les carrières professionnelles, freins dans les carrières, etc.) ou à une discrimination sexiste plus évidente lorsqu'il s'agit de comparer des différences individuelles pour un poste et un métier strictement identique. En France, à même niveau hiérarchique, même entreprise et mêmes fonctions, l'écart salarial entre femmes et hommes à temps plein est de 2,7 % d'après The Economist, citant « The real gap: fixing the gender pay divide », une étude de Korn Ferry. Cet écart s'accroît à 4 % lorsque seul le niveau hiérarchique est identique, et à 17 % tous niveaux hiérarchiques confondus. Le salaire mensuel net moyen des femmes en France est, selon l'INSEE, de 16,8 % inférieur à celui des hommes, et le salaire médian des femmes est, selon l'OCDE, de 11,5 % inférieur à celui des hommes. Cet écart est mesuré à volume horaire équivalent. Si l'on prend en compte le fait que les femmes sont plus fréquemment à temps partiel, la différence est estimée à 28,5 %. Ainsi, dans les couples mixtes en France, l'écart salarial entre les femmes et les hommes est en moyenne de 42%, selon l'INSEE. Aux États-Unis, en 2019, le salaire médian des femmes était de 18,5 % inférieur à celui des hommes selon l'OCDE. Il existe plusieurs facteurs explicatifs à cet écart selon (en) (moindre progression des carrières, sous-représentation des femmes dans les postes de direction, ségrégation du travail, etc.) ; une fois pris en compte tous ces facteurs, à emploi et qualifications identiques, il reste encore un écart de 2 % non expliqué, qui monte à 3 % pour les groupes ethniques défavorisés. Selon Glassdoor, cet écart inexpliqué est de 4,9 %. (fr)
- Les inégalités de revenus salariaux entre les hommes et les femmes se définissent par un écart de salaire entre les hommes et les femmes, écart souvent exprimé en pourcentage des revenus des hommes. Les raisons de cet écart de revenus font l’objet de débats, en sociologie et en économie notamment, pour quantifier la part qui revient à des constructions sociales (division sexuée du travail avec des métiers et filières moins bien rémunérées ; contraintes ou préférences individuelles liées à l’éducation conduisant à des professions moins rémunératrices, nombre d’heures travaillées, pauses dans les carrières professionnelles, freins dans les carrières, etc.) ou à une discrimination sexiste plus évidente lorsqu'il s'agit de comparer des différences individuelles pour un poste et un métier strictement identique. En France, à même niveau hiérarchique, même entreprise et mêmes fonctions, l'écart salarial entre femmes et hommes à temps plein est de 2,7 % d'après The Economist, citant « The real gap: fixing the gender pay divide », une étude de Korn Ferry. Cet écart s'accroît à 4 % lorsque seul le niveau hiérarchique est identique, et à 17 % tous niveaux hiérarchiques confondus. Le salaire mensuel net moyen des femmes en France est, selon l'INSEE, de 16,8 % inférieur à celui des hommes, et le salaire médian des femmes est, selon l'OCDE, de 11,5 % inférieur à celui des hommes. Cet écart est mesuré à volume horaire équivalent. Si l'on prend en compte le fait que les femmes sont plus fréquemment à temps partiel, la différence est estimée à 28,5 %. Ainsi, dans les couples mixtes en France, l'écart salarial entre les femmes et les hommes est en moyenne de 42%, selon l'INSEE. Aux États-Unis, en 2019, le salaire médian des femmes était de 18,5 % inférieur à celui des hommes selon l'OCDE. Il existe plusieurs facteurs explicatifs à cet écart selon (en) (moindre progression des carrières, sous-représentation des femmes dans les postes de direction, ségrégation du travail, etc.) ; une fois pris en compte tous ces facteurs, à emploi et qualifications identiques, il reste encore un écart de 2 % non expliqué, qui monte à 3 % pour les groupes ethniques défavorisés. Selon Glassdoor, cet écart inexpliqué est de 4,9 %. (fr)
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- Les inégalités de revenus salariaux entre les hommes et les femmes se définissent par un écart de salaire entre les hommes et les femmes, écart souvent exprimé en pourcentage des revenus des hommes. Les raisons de cet écart de revenus font l’objet de débats, en sociologie et en économie notamment, pour quantifier la part qui revient à des constructions sociales (division sexuée du travail avec des métiers et filières moins bien rémunérées ; contraintes ou préférences individuelles liées à l’éducation conduisant à des professions moins rémunératrices, nombre d’heures travaillées, pauses dans les carrières professionnelles, freins dans les carrières, etc.) ou à une discrimination sexiste plus évidente lorsqu'il s'agit de comparer des différences individuelles pour un poste et un métier stric (fr)
- Les inégalités de revenus salariaux entre les hommes et les femmes se définissent par un écart de salaire entre les hommes et les femmes, écart souvent exprimé en pourcentage des revenus des hommes. Les raisons de cet écart de revenus font l’objet de débats, en sociologie et en économie notamment, pour quantifier la part qui revient à des constructions sociales (division sexuée du travail avec des métiers et filières moins bien rémunérées ; contraintes ou préférences individuelles liées à l’éducation conduisant à des professions moins rémunératrices, nombre d’heures travaillées, pauses dans les carrières professionnelles, freins dans les carrières, etc.) ou à une discrimination sexiste plus évidente lorsqu'il s'agit de comparer des différences individuelles pour un poste et un métier stric (fr)
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