Thessalonique ou parfois Salonique (en grec moderne et ancien Θεσσαλονίκη, en ladino סלוניקה, en valaque Sãruna, en bulgare Sólun et en turc Selânik) est la deuxième ville de Grèce (820 000 habitants en 2001), chef-lieu du nome du même nom, située au fond du golfe Thermaïque et de la périphérie (région) de Macédoine centrale. En août 1917, tout le centre de la ville est ravagé par un incendie catastrophique. 9 500 bâtiments sont détruits, laissant 70 000 personnes sans abri. La reconstruction de la ville permet une complète restructuration de son plan et de son organisation spatiale.

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  • Thessalonique ou parfois Salonique (en grec moderne et ancien Θεσσαλονίκη, en ladino סלוניקה, en valaque Sãruna, en bulgare Sólun et en turc Selânik) est la deuxième ville de Grèce (820 000 habitants en 2001), chef-lieu du nome du même nom, située au fond du golfe Thermaïque et de la périphérie (région) de Macédoine centrale. Elle est fondée par un synœcisme organisé par Cassandre de Macédoine en 315 av. J.-C., qui la baptise en l'honneur de sa femme, Thessalonikè, fille de Philippe II de Macédoine. Grâce à sa localisation au croisement d'axes de communication, Thessalonique devient rapidement un centre commercial important. Son développement continue pendant la domination romaine, malgré le sac de la ville après la défaite de Persée de Macédoine à Pydna. Thessalonique profite de la création de la via Egnatia, la grande route transbalkanique méridionale. Une communauté cosmopolite de marchands s’y installe, faite de Juifs, d’Italiens et de Romains. À la fin du IIIe siècle, l'empereur Galère y élit domicile et y construit un palais et de nombreux édifices publics. Dans sa lutte contre la chrétienté, il fait de saint Dimitri un martyr qui est devenu le saint patron et protecteur de la ville. Par l’édit de Thessalonique (28 février 380), l'empereur Théodose Ier déclare obligatoire la foi en la divinité du Père, du Fils et du Saint Esprit et proscrit l'arianisme. Pendant les premiers siècles de l'Empire byzantin la ville, capitale d'un thème, continue son essor économique. Sa foire, les Demetria qui se tiennent en octobre, est une des plus importantes des Balkans. La ville s'enrichit de nombreux monuments et d'imposantes églises. À partir de la fin du VIe siècle Thessalonique subit plusieurs attaques. Elle est prise par les Sarrasins en 904 puis par les Normands en 1185. À la suite de la quatrième croisade, Boniface Ier de Montferrat fonde le Royaume de Thessalonique (1204), un État latin que le despotat d'Épire reprend dès 1224 avant une conquête par les Paléologue en 1246. À la fin du XIVe siècle et au début du XVe siècle, Grecs et Ottomans se disputent la possession de la ville, assiégée à plusieurs reprises. Après avoir été protégée par Venise de 1423 à 1430, elle est alors définitivement prise par les Ottomans de Murad II. En 1492, à la suite de l'expulsion des Juifs d'Espagne, Salonique, qui n'avait jusqu'alors abrité qu'une petite communauté juive, devient le centre mondial du judaïsme séfarade au point d'être surnommée la « Jérusalem des Balkans » et la « madre de Israël ». Au début du XVe siècle, on y compte 4 855 feux : 2 645 feux juifs, 1 229 feux musulmans et 981 feux chrétiens. Au XVIIIe siècle, Salonique reste le débouché naturel des Balkans : toutes les productions de la région transitent par son port. Le commerce de la ville est alors passé pratiquement intégralement dans les mains des Occidentaux qui ont commencé à s'y installer à la fin du XVIIe siècle. On peut voir là un des premiers signes du déclin de l'Empire ottoman. Salonique, au début du XXe siècle, est une ville multiethnique : elle compte autour de 120 000 habitants, dont 80 000 Juifs, 15 000 Turcs et 15 000 Grecs, 5 000 Bulgares et 5 000 Occidentaux. Elle est une des plus grandes et plus modernes villes de l'Empire ottoman et un de ses plus grands ports. Salonique est aussi devenue un important centre de bouillonnement politique. Ainsi, le Comité ottoman de la Liberté, qui joue un rôle important dans la direction du mouvement des Jeunes-Turcs, y voit le jour en août 1906. Conquise par la Grèce en novembre 1912, durant la première guerre balkanique, de nombreux Turcs la quittent. Les églises byzantines, transformées en mosquées par les Ottomans, redeviennent alors des lieux de cultes chrétiens. Au début de la Première Guerre mondiale, la Grèce, pays neutre, traverse une grave crise politique entre partisans de la Triple-Entente et de la Triplice. Une partie des troupes évacuées des Dardanelles à l'automne 1915 est autorisée par Elefthérios Venizélos, le Premier ministre favorable à l'Entente, à s'installer à Thessalonique en vue de porter secours à la Serbie. En 1916, un total de 400 000 soldats français, britanniques et serbes sont présents dans la ville. La présence alliée joue un rôle politique décisif : chassé du poste de Premier ministre, Venizélos quitte Athènes et rejoint Thessalonique le 26 septembre 1916. Un « Gouvernement de défense nationale » y est organisé et Thessalonique devient capitale d'une région en révolte. Après l'« abdication » de Constantin Ier en juin 1917, Venizélos retourne à Athènes et Thessalonique perd son statut de capitale de la Grèce. En août 1917, tout le centre de la ville est ravagé par un incendie catastrophique. 9 500 bâtiments sont détruits, laissant 70 000 personnes sans abri. La reconstruction de la ville permet une complète restructuration de son plan et de son organisation spatiale. Lors de l'occupation de la Grèce durant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands installent leur quartier général à Thessalonique. Les Juifs de Salonique sont alors la principale communauté séfarade touchée par la Shoah et on estime que 98 % de la communauté a été exterminée. Après la Seconde Guerre mondiale et le début de la guerre froide, la ville connaît des difficultés. Le rideau de fer la coupe de son hinterland : toutes les routes commerciales qui avaient fait sa fortune sont interrompues. Dans les années 1950, la ville connaît une nouvelle transformation urbanistique, principalement dans la partie basse. La Foire Internationale de Thessalonique, héritière des foires de la Saint-Dimitri du Moyen Âge, est aujourd'hui le plus grand centre d'exposition de la Grèce et fait avant tout de Thessalonique un centre d'affaires et de commerce, plutôt qu'une destination touristique. (fr)
  • Thessalonique ou parfois Salonique (en grec moderne et ancien Θεσσαλονίκη, en ladino סלוניקה, en valaque Sãruna, en bulgare Sólun et en turc Selânik) est la deuxième ville de Grèce (820 000 habitants en 2001), chef-lieu du nome du même nom, située au fond du golfe Thermaïque et de la périphérie (région) de Macédoine centrale. Elle est fondée par un synœcisme organisé par Cassandre de Macédoine en 315 av. J.-C., qui la baptise en l'honneur de sa femme, Thessalonikè, fille de Philippe II de Macédoine. Grâce à sa localisation au croisement d'axes de communication, Thessalonique devient rapidement un centre commercial important. Son développement continue pendant la domination romaine, malgré le sac de la ville après la défaite de Persée de Macédoine à Pydna. Thessalonique profite de la création de la via Egnatia, la grande route transbalkanique méridionale. Une communauté cosmopolite de marchands s’y installe, faite de Juifs, d’Italiens et de Romains. À la fin du IIIe siècle, l'empereur Galère y élit domicile et y construit un palais et de nombreux édifices publics. Dans sa lutte contre la chrétienté, il fait de saint Dimitri un martyr qui est devenu le saint patron et protecteur de la ville. Par l’édit de Thessalonique (28 février 380), l'empereur Théodose Ier déclare obligatoire la foi en la divinité du Père, du Fils et du Saint Esprit et proscrit l'arianisme. Pendant les premiers siècles de l'Empire byzantin la ville, capitale d'un thème, continue son essor économique. Sa foire, les Demetria qui se tiennent en octobre, est une des plus importantes des Balkans. La ville s'enrichit de nombreux monuments et d'imposantes églises. À partir de la fin du VIe siècle Thessalonique subit plusieurs attaques. Elle est prise par les Sarrasins en 904 puis par les Normands en 1185. À la suite de la quatrième croisade, Boniface Ier de Montferrat fonde le Royaume de Thessalonique (1204), un État latin que le despotat d'Épire reprend dès 1224 avant une conquête par les Paléologue en 1246. À la fin du XIVe siècle et au début du XVe siècle, Grecs et Ottomans se disputent la possession de la ville, assiégée à plusieurs reprises. Après avoir été protégée par Venise de 1423 à 1430, elle est alors définitivement prise par les Ottomans de Murad II. En 1492, à la suite de l'expulsion des Juifs d'Espagne, Salonique, qui n'avait jusqu'alors abrité qu'une petite communauté juive, devient le centre mondial du judaïsme séfarade au point d'être surnommée la « Jérusalem des Balkans » et la « madre de Israël ». Au début du XVe siècle, on y compte 4 855 feux : 2 645 feux juifs, 1 229 feux musulmans et 981 feux chrétiens. Au XVIIIe siècle, Salonique reste le débouché naturel des Balkans : toutes les productions de la région transitent par son port. Le commerce de la ville est alors passé pratiquement intégralement dans les mains des Occidentaux qui ont commencé à s'y installer à la fin du XVIIe siècle. On peut voir là un des premiers signes du déclin de l'Empire ottoman. Salonique, au début du XXe siècle, est une ville multiethnique : elle compte autour de 120 000 habitants, dont 80 000 Juifs, 15 000 Turcs et 15 000 Grecs, 5 000 Bulgares et 5 000 Occidentaux. Elle est une des plus grandes et plus modernes villes de l'Empire ottoman et un de ses plus grands ports. Salonique est aussi devenue un important centre de bouillonnement politique. Ainsi, le Comité ottoman de la Liberté, qui joue un rôle important dans la direction du mouvement des Jeunes-Turcs, y voit le jour en août 1906. Conquise par la Grèce en novembre 1912, durant la première guerre balkanique, de nombreux Turcs la quittent. Les églises byzantines, transformées en mosquées par les Ottomans, redeviennent alors des lieux de cultes chrétiens. Au début de la Première Guerre mondiale, la Grèce, pays neutre, traverse une grave crise politique entre partisans de la Triple-Entente et de la Triplice. Une partie des troupes évacuées des Dardanelles à l'automne 1915 est autorisée par Elefthérios Venizélos, le Premier ministre favorable à l'Entente, à s'installer à Thessalonique en vue de porter secours à la Serbie. En 1916, un total de 400 000 soldats français, britanniques et serbes sont présents dans la ville. La présence alliée joue un rôle politique décisif : chassé du poste de Premier ministre, Venizélos quitte Athènes et rejoint Thessalonique le 26 septembre 1916. Un « Gouvernement de défense nationale » y est organisé et Thessalonique devient capitale d'une région en révolte. Après l'« abdication » de Constantin Ier en juin 1917, Venizélos retourne à Athènes et Thessalonique perd son statut de capitale de la Grèce. En août 1917, tout le centre de la ville est ravagé par un incendie catastrophique. 9 500 bâtiments sont détruits, laissant 70 000 personnes sans abri. La reconstruction de la ville permet une complète restructuration de son plan et de son organisation spatiale. Lors de l'occupation de la Grèce durant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands installent leur quartier général à Thessalonique. Les Juifs de Salonique sont alors la principale communauté séfarade touchée par la Shoah et on estime que 98 % de la communauté a été exterminée. Après la Seconde Guerre mondiale et le début de la guerre froide, la ville connaît des difficultés. Le rideau de fer la coupe de son hinterland : toutes les routes commerciales qui avaient fait sa fortune sont interrompues. Dans les années 1950, la ville connaît une nouvelle transformation urbanistique, principalement dans la partie basse. La Foire Internationale de Thessalonique, héritière des foires de la Saint-Dimitri du Moyen Âge, est aujourd'hui le plus grand centre d'exposition de la Grèce et fait avant tout de Thessalonique un centre d'affaires et de commerce, plutôt qu'une destination touristique. (fr)
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  • Thessalonique (fr)
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  • * Souleïman Soudi Bey * Anchiach Effendi * Ahmed Raouf * Mehmet Pacha * Faïk Bey * Mehmet Tefik * Akif Bey * Arif Bey * Choukri Bey * Ali Orfi Effendi * Ali Effendi Moussa Zadé * Ali Effendi * Arif Bey * Ibrahim Bey * Ibrahim Namik Bey * * Reis Bekili Karim Bey * Reis Bekili Hassan Housni Effendi * Ahmed Hamdi Bey * Tevfik Bey * Ahmed Hamdi Bey * Osman Adil Bey * Houloussi Bey * Osman Saïd Ibn Haki Bey * Ismaïl Effendi * Tevfik Bey * * Konstantinos Aggelakis * Osman Saïd Bey * * Georgios Zaroukas * * Charisios Vamvakas * * * D. Kavadas * M. Stathakopoulos * Petros Levis * Christos Konstantinou * Ioannis Manessis * Pantelis Petrakakis * Minas Patrikios * * Konstantinos Tsiros * Vyron Antoniadis * Alexandros Konstantinidis * Christos Floridis * * Stergios Vallas * Michalis Papadopoulos * Kostis Moskoff * Thanasis Giannousis * Theoharis Manavis * * * Dimítris Dimitriádis * Vasilios Papageorgopoulos * Yiannis Boutaris * (fr)
  • * Sancto Venier , Niccolo Giorgi 1423-1425 * Barnabo Loredan , Jacomo Dandolo 1425-1429 * Paolo Contarini , Andrea Donato 1429-1430 (fr)
  • * Souleïman Soudi Bey * Anchiach Effendi * Ahmed Raouf * Mehmet Pacha * Faïk Bey * Mehmet Tefik * Akif Bey * Arif Bey * Choukri Bey * Ali Orfi Effendi * Ali Effendi Moussa Zadé * Ali Effendi * Arif Bey * Ibrahim Bey * Ibrahim Namik Bey * * Reis Bekili Karim Bey * Reis Bekili Hassan Housni Effendi * Ahmed Hamdi Bey * Tevfik Bey * Ahmed Hamdi Bey * Osman Adil Bey * Houloussi Bey * Osman Saïd Ibn Haki Bey * Ismaïl Effendi * Tevfik Bey * * Konstantinos Aggelakis * Osman Saïd Bey * * Georgios Zaroukas * * Charisios Vamvakas * * * D. Kavadas * M. Stathakopoulos * Petros Levis * Christos Konstantinou * Ioannis Manessis * Pantelis Petrakakis * Minas Patrikios * * Konstantinos Tsiros * Vyron Antoniadis * Alexandros Konstantinidis * Christos Floridis * * Stergios Vallas * Michalis Papadopoulos * Kostis Moskoff * Thanasis Giannousis * Theoharis Manavis * * * Dimítris Dimitriádis * Vasilios Papageorgopoulos * Yiannis Boutaris * (fr)
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  • Robert Mantran (fr)
  • Apóstolos Vakalópoulos (fr)
  • Georges Contogeorgis (fr)
  • Gilles Veinstein (fr)
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prop-fr:lienÉditeur
  • Musée archéologique de Thessalonique (fr)
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  • Londres et New York (fr)
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  • Londres, New York, Toronto et Sydney (fr)
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  • Owen (fr)
  • Hall (fr)
  • Mantran (fr)
  • Vacalopoulos (fr)
  • Veinstein (fr)
  • Papazoglou (fr)
  • Contogeorgis (fr)
  • Vitti (fr)
  • Hatzopoulos (fr)
  • Mazower (fr)
  • Adam-Véléni (fr)
  • Giros (fr)
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  • Gilles (fr)
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  • Collinson (fr)
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  • Supplément du Bulletin de Correspondance Hellénique (fr)
  • Meletimata (fr)
  • Dumbarton Oaks Papers Symposium on Late Byzantine Thessalonike. (fr)
  • Bibliothèque de la société archéologique d'Athènes (fr)
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  • Bibliothèque de la société archéologique d'Athènes (fr)
prop-fr:sousTitre
  • Prelude to the First World War (fr)
  • Christians, Muslims and Jews, 1430-1950 (fr)
  • La « ville des juifs » et le réveil des Balkans (fr)
  • The Experience of Occupation, 1941-1944 (fr)
  • The Sideshow That Ended the War (fr)
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prop-fr:titre
  • Histoire de l'Empire ottoman (fr)
  • Histoire de la Grèce (fr)
  • Inside Hitler's Greece (fr)
  • Macedonian Institutions Under the Kings (fr)
  • Histoire de la Grèce moderne (fr)
  • The Balkan Wars 1912-1913 (fr)
  • A History of Thessaloniki (fr)
  • Les villes de Macédoine à l'époque romaine (fr)
  • Liste des maires de Thessalonique (fr)
  • Liste des provéditeurs vénitiens de Thessalonique (fr)
  • Présence Athonite à Thessalonique, XIIIe-XVe Siècles (fr)
  • Salonica and After (fr)
  • Salonica, City of Ghosts (fr)
  • Salonique 1850-1918 (fr)
  • Histoire de l'Empire ottoman (fr)
  • Histoire de la Grèce (fr)
  • Inside Hitler's Greece (fr)
  • Macedonian Institutions Under the Kings (fr)
  • Histoire de la Grèce moderne (fr)
  • The Balkan Wars 1912-1913 (fr)
  • A History of Thessaloniki (fr)
  • Les villes de Macédoine à l'époque romaine (fr)
  • Liste des maires de Thessalonique (fr)
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  • Présence Athonite à Thessalonique, XIIIe-XVe Siècles (fr)
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  • Thessalonique ou parfois Salonique (en grec moderne et ancien Θεσσαλονίκη, en ladino סלוניקה, en valaque Sãruna, en bulgare Sólun et en turc Selânik) est la deuxième ville de Grèce (820 000 habitants en 2001), chef-lieu du nome du même nom, située au fond du golfe Thermaïque et de la périphérie (région) de Macédoine centrale. En août 1917, tout le centre de la ville est ravagé par un incendie catastrophique. 9 500 bâtiments sont détruits, laissant 70 000 personnes sans abri. La reconstruction de la ville permet une complète restructuration de son plan et de son organisation spatiale. (fr)
  • Thessalonique ou parfois Salonique (en grec moderne et ancien Θεσσαλονίκη, en ladino סלוניקה, en valaque Sãruna, en bulgare Sólun et en turc Selânik) est la deuxième ville de Grèce (820 000 habitants en 2001), chef-lieu du nome du même nom, située au fond du golfe Thermaïque et de la périphérie (région) de Macédoine centrale. En août 1917, tout le centre de la ville est ravagé par un incendie catastrophique. 9 500 bâtiments sont détruits, laissant 70 000 personnes sans abri. La reconstruction de la ville permet une complète restructuration de son plan et de son organisation spatiale. (fr)
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  • Histoire de Thessalonique (fr)
  • History of Thessaloniki (en)
  • Història de Tessalònica (ca)
  • Tessalonica (it)
  • Історія Салонік (uk)
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