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- Le débat sur la norme du français québécois oppose, principalement au Québec, deux camps : celui des « endogénistes » (terme forgé par Lionel Meney) ou « aménagistes », et l'autre, qu'on pourrait appeler celui des « exogénistes » ou des « internationalisants », ces derniers récusant le terme « exogéniste ». Les premiers considèrent que le français québécois doit avoir sa propre norme, qui est distincte du français standard. Les autres considèrent qu'en faisant cela, le français québécois se « ghettoïserait ». Ce débat sur la politique linguistique rappelle la querelle des régionalistes et des exotistes dans la littérature québécoise. (fr)
- Le débat sur la norme du français québécois oppose, principalement au Québec, deux camps : celui des « endogénistes » (terme forgé par Lionel Meney) ou « aménagistes », et l'autre, qu'on pourrait appeler celui des « exogénistes » ou des « internationalisants », ces derniers récusant le terme « exogéniste ». Les premiers considèrent que le français québécois doit avoir sa propre norme, qui est distincte du français standard. Les autres considèrent qu'en faisant cela, le français québécois se « ghettoïserait ». Ce débat sur la politique linguistique rappelle la querelle des régionalistes et des exotistes dans la littérature québécoise. (fr)
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- Le débat sur la norme du français québécois oppose, principalement au Québec, deux camps : celui des « endogénistes » (terme forgé par Lionel Meney) ou « aménagistes », et l'autre, qu'on pourrait appeler celui des « exogénistes » ou des « internationalisants », ces derniers récusant le terme « exogéniste ». Les premiers considèrent que le français québécois doit avoir sa propre norme, qui est distincte du français standard. Les autres considèrent qu'en faisant cela, le français québécois se « ghettoïserait ». Ce débat sur la politique linguistique rappelle la querelle des régionalistes et des exotistes dans la littérature québécoise. (fr)
- Le débat sur la norme du français québécois oppose, principalement au Québec, deux camps : celui des « endogénistes » (terme forgé par Lionel Meney) ou « aménagistes », et l'autre, qu'on pourrait appeler celui des « exogénistes » ou des « internationalisants », ces derniers récusant le terme « exogéniste ». Les premiers considèrent que le français québécois doit avoir sa propre norme, qui est distincte du français standard. Les autres considèrent qu'en faisant cela, le français québécois se « ghettoïserait ». Ce débat sur la politique linguistique rappelle la querelle des régionalistes et des exotistes dans la littérature québécoise. (fr)
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