L'art coréen recouvre l'ensemble des arts pratiqués sur le territoire de la Corée depuis la Préhistoire, et à l'époque contemporaine cela concerne aussi l'importante diaspora coréenne, résidant plus ou moins temporairement hors de Corée. Le concept occidental d'art, (coréen : 미술), misul, n'est introduit qu'en 1911, dans une Corée qui venait d'être annexée (le 22 août 1910). Mais plusieurs traditions, qu'elles aient été populaires, de tout temps, ou savantes, ont valorisé les objets que l'Occident qualifie d'art. Dans cet article, le concept d'art est employé dans son sens le plus large.

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  • L'art coréen recouvre l'ensemble des arts pratiqués sur le territoire de la Corée depuis la Préhistoire, et à l'époque contemporaine cela concerne aussi l'importante diaspora coréenne, résidant plus ou moins temporairement hors de Corée. Le concept occidental d'art, (coréen : 미술), misul, n'est introduit qu'en 1911, dans une Corée qui venait d'être annexée (le 22 août 1910). Mais plusieurs traditions, qu'elles aient été populaires, de tout temps, ou savantes, ont valorisé les objets que l'Occident qualifie d'art. Dans cet article, le concept d'art est employé dans son sens le plus large. La Préhistoire de la Corée commence vers 700 000 ans avec les premiers sites paléolithiques. Vers 10 000 ans avant l'ère commune (AEC), la poterie apparait en plusieurs sites très distants. La céramique la plus connue de cette période dite « de la céramique Jeulmun » (8000-1500 AEC) porte un décor réalisé, en grande partie, au peigne ou par hachures régulières. Ce sont souvent des formes simples, coniques, décorées de haut en bas. Les 300 pétroglyphes de Bangudae (6000-1000 AEC) montrent, de manière tout à fait exceptionnelle, la pêche à diverses espèces de baleines et autres animaux marins. À l'âge du bronze, qui commence avec la période de la céramique Mumun (env. 1500-300 AEC), quelques miroirs sont déposés dans des tombes avec un décor caractéristique des steppes. On voit apparaitre aussi de belles jarres à contenir les réserves. Car vers 1500, la culture en rizière inondée se développe. Au VIIIe siècle AEC, des Coréens migrent dans l'archipel japonais de la période Yayoi, au cours d'un épisode froid. Ils apportent leur savoir faire en matière de rizières et les formes des céramiques s'hybrident au contact des deux communautés. Sur la péninsule, la culture du poignard de bronze produit des « copies » de ces poignards, ou dagues, des substituts taillés dans une roche souvent marbrée, énigmatiques. On les trouve aussi dans l'archipel. C'est aussi la grande époque des dolmens coréens (entre 2000 et 400 AEC), petits mais les plus nombreux au monde. La technologie du fer apparait ensuite vers 300 AEC. La Corée, riche en minerais, saura mettre à profit son commerce avec l'archipel - période Yayoi (800 AEC - 250 EC), puis période Kofun (250 à 538) - ce qui va créer pour plusieurs siècles des tensions dans toute la région. Au cours des premiers siècles de notre ère, avec les guerres qui opposent les Trois Royaumes de Corée (57 AEC - 668 EC) (Koguryo, Baekje et Silla) et la confédération de Gaya la migration des Coréens reprend vers l'archipel, le royaume de Yamato étant lui-même en train de se constituer au cours de la période Kofun. Pendant cette longue durée les grès constituent une céramique de luxe. Elle prend, de façon tout à fait exceptionnelle, la forme d'un cavalier sur sa monture. Les peintures préservées sont rares. Mais l'ancien royaume de Koguryo abrite de très nombreuses tombes à peintures murales, aux couleurs intenses, dans un style proche de leurs voisines, en Chine. Ensuite, lorsque Silla unifie la Corée (668-918 env.), le bouddhisme, venu par la Route de la soie, apporte la pratique des petits bronzes pour la dévotion privée. Les Coréens en transforment les modèles, et ensuite transmettent leur interprétation au Japon de la période d'Asuka (538 à 710). Le royaume de Goryeo (918-1392), au contact des Song (960-1279), en Chine, produit les plus beaux céladons de l'époque, incrustés selon une technique inventée en Corée. Les amateurs chinois apprécient ces objets de grand luxe. C'est un marché en pleine expansion. Le royaume se couvre alors de fondations bouddhistes, temples, monastères. Quelques peintures en couleurs sur soie en gardent le souvenir, avec des Bodhisattvas aux vêtements somptueux. Cette période s'achève dans d'énormes destructions perpétrées par les Mongols (campagnes de 1232 à 1258), avec la déportation de populations entières. La période Joseon (1392-1910), dure sept siècles. Elle est brisée en deux par les guerres (1592-1644) et connait donc deux temps. Le premier, XVe – XVIe siècle, est une sorte de Renaissance comme l'Occident en a connu. Le néoconfucianisme au pouvoir conduit à des mesures radicales, vie sobre, luxe proscrit, le bouddhisme considérablement réduit. Les lettrés, dans leurs peintures au lavis d'encre, s'inspirent de modèles chinois avec bonheur. Sur le plan artistique, les potiers doivent se renouveler complètement. Ils mettent au point les grès buncheong (au XVe siècle) qui conviennent parfaitement à la simplicité recherchée. Le savoir faire des potiers va attirer l'attention de l'élite japonaise, au point que le Japon va déporter pratiquement tous ces potiers sur leurs îles, à la fin des invasions japonaises de 1592-1597 (guerre d'Imjin). La seconde période suit la reconstruction, et couvre la fin du XVIIe – XIXe siècle. Jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, c'est une période de prospérité et de paix. C'est la grande période de la porcelaine blanche peinte ou immaculée. Par ailleurs, les réalisations des jésuites à la cour de Pékin donnent aussi des idées aux Coréens. Ceux-ci interprètent la perspective centrée, le clair-obscur, la nature morte, dans leur culture de lettrés et aussi dans la peinture décorative. Les peintres professionnels de l'art populaire, minwha, intègrent tout cela et développent une grande vivacité graphique, en particulier dans les images de tigres que l'on colle sur la porte pour protéger sa maison. Pour les lettrés, le paysage tel qu'il est vu, et non plus idéalisé à la manière chinoise, et aussi les scènes de la vie quotidienne montrent tout l'intérêt de cette période pour l'étude du réel et un esprit d'innovation certain. Enfin, le XIXe siècle s'enlise dans les désordres causés par l'égoïsme des puissants. Mais c'est encore une période de riches productions artistiques. La Corée est annexée par le Japon en 1905. Au XXe siècle, les valeurs occidentales sont introduites massivement. C'est d'abord le terme misul, art, avec le naturalisme, déjà entrevu dès le XVIIIe siècle. C'est surtout la peinture à l'huile avec tout son potentiel, dans le modelé naturaliste, dans la couleur, avec les jeux de matières plus ou moins épaisses. Les artistes coréens, formés à Tokyo, communiquent ce « bagage » moderne en Corée, mais le public conserve longtemps son attachement aux formules traditionnelles. Les années 1950 voient de nombreux artistes coréens à Paris, puis le mouvement s'internationalise. Mais la plupart se déplace vers Tokyo. Une grande vague d'art abstrait monochrome, ou de paysagisme abstrait, s'impose jusqu'à la fin des années 1970. Les années 1980 voient, par réaction, l'Art minjun qui veut s'adresser à tous, avec des images immédiatement « lisibles », engagées contre le pouvoir autoritaire des années 1980. Dans le même temps, une part grandissante des artistes coréens intègre la dynamique créatrice du champ élargi de l'art, avec de nouveaux moyens bien sûr, mais pas seulement. Dans cette nouvelle génération d'artistes, le créateur de l'Art vidéo est un Coréen, Nam June Paik, et son succès est planétaire. Lee Ufan a un rôle essentiel sur la scène internationale dans la fondation de Mono-ha, au Japon en 1968. À la génération suivante, Kimsooja, avec un esprit tout aussi dégagé des conventions, aborde des sujets aussi graves que la migration et utilise la vidéo, l'art textile et la performance. Les artistes coréens de renom international sont légion. Tandis que d'autres artistes, en Corée et dans la diaspora, reprennent le pinceau et l'encre dans le contexte du monde actuel. (fr)
  • L'art coréen recouvre l'ensemble des arts pratiqués sur le territoire de la Corée depuis la Préhistoire, et à l'époque contemporaine cela concerne aussi l'importante diaspora coréenne, résidant plus ou moins temporairement hors de Corée. Le concept occidental d'art, (coréen : 미술), misul, n'est introduit qu'en 1911, dans une Corée qui venait d'être annexée (le 22 août 1910). Mais plusieurs traditions, qu'elles aient été populaires, de tout temps, ou savantes, ont valorisé les objets que l'Occident qualifie d'art. Dans cet article, le concept d'art est employé dans son sens le plus large. La Préhistoire de la Corée commence vers 700 000 ans avec les premiers sites paléolithiques. Vers 10 000 ans avant l'ère commune (AEC), la poterie apparait en plusieurs sites très distants. La céramique la plus connue de cette période dite « de la céramique Jeulmun » (8000-1500 AEC) porte un décor réalisé, en grande partie, au peigne ou par hachures régulières. Ce sont souvent des formes simples, coniques, décorées de haut en bas. Les 300 pétroglyphes de Bangudae (6000-1000 AEC) montrent, de manière tout à fait exceptionnelle, la pêche à diverses espèces de baleines et autres animaux marins. À l'âge du bronze, qui commence avec la période de la céramique Mumun (env. 1500-300 AEC), quelques miroirs sont déposés dans des tombes avec un décor caractéristique des steppes. On voit apparaitre aussi de belles jarres à contenir les réserves. Car vers 1500, la culture en rizière inondée se développe. Au VIIIe siècle AEC, des Coréens migrent dans l'archipel japonais de la période Yayoi, au cours d'un épisode froid. Ils apportent leur savoir faire en matière de rizières et les formes des céramiques s'hybrident au contact des deux communautés. Sur la péninsule, la culture du poignard de bronze produit des « copies » de ces poignards, ou dagues, des substituts taillés dans une roche souvent marbrée, énigmatiques. On les trouve aussi dans l'archipel. C'est aussi la grande époque des dolmens coréens (entre 2000 et 400 AEC), petits mais les plus nombreux au monde. La technologie du fer apparait ensuite vers 300 AEC. La Corée, riche en minerais, saura mettre à profit son commerce avec l'archipel - période Yayoi (800 AEC - 250 EC), puis période Kofun (250 à 538) - ce qui va créer pour plusieurs siècles des tensions dans toute la région. Au cours des premiers siècles de notre ère, avec les guerres qui opposent les Trois Royaumes de Corée (57 AEC - 668 EC) (Koguryo, Baekje et Silla) et la confédération de Gaya la migration des Coréens reprend vers l'archipel, le royaume de Yamato étant lui-même en train de se constituer au cours de la période Kofun. Pendant cette longue durée les grès constituent une céramique de luxe. Elle prend, de façon tout à fait exceptionnelle, la forme d'un cavalier sur sa monture. Les peintures préservées sont rares. Mais l'ancien royaume de Koguryo abrite de très nombreuses tombes à peintures murales, aux couleurs intenses, dans un style proche de leurs voisines, en Chine. Ensuite, lorsque Silla unifie la Corée (668-918 env.), le bouddhisme, venu par la Route de la soie, apporte la pratique des petits bronzes pour la dévotion privée. Les Coréens en transforment les modèles, et ensuite transmettent leur interprétation au Japon de la période d'Asuka (538 à 710). Le royaume de Goryeo (918-1392), au contact des Song (960-1279), en Chine, produit les plus beaux céladons de l'époque, incrustés selon une technique inventée en Corée. Les amateurs chinois apprécient ces objets de grand luxe. C'est un marché en pleine expansion. Le royaume se couvre alors de fondations bouddhistes, temples, monastères. Quelques peintures en couleurs sur soie en gardent le souvenir, avec des Bodhisattvas aux vêtements somptueux. Cette période s'achève dans d'énormes destructions perpétrées par les Mongols (campagnes de 1232 à 1258), avec la déportation de populations entières. La période Joseon (1392-1910), dure sept siècles. Elle est brisée en deux par les guerres (1592-1644) et connait donc deux temps. Le premier, XVe – XVIe siècle, est une sorte de Renaissance comme l'Occident en a connu. Le néoconfucianisme au pouvoir conduit à des mesures radicales, vie sobre, luxe proscrit, le bouddhisme considérablement réduit. Les lettrés, dans leurs peintures au lavis d'encre, s'inspirent de modèles chinois avec bonheur. Sur le plan artistique, les potiers doivent se renouveler complètement. Ils mettent au point les grès buncheong (au XVe siècle) qui conviennent parfaitement à la simplicité recherchée. Le savoir faire des potiers va attirer l'attention de l'élite japonaise, au point que le Japon va déporter pratiquement tous ces potiers sur leurs îles, à la fin des invasions japonaises de 1592-1597 (guerre d'Imjin). La seconde période suit la reconstruction, et couvre la fin du XVIIe – XIXe siècle. Jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, c'est une période de prospérité et de paix. C'est la grande période de la porcelaine blanche peinte ou immaculée. Par ailleurs, les réalisations des jésuites à la cour de Pékin donnent aussi des idées aux Coréens. Ceux-ci interprètent la perspective centrée, le clair-obscur, la nature morte, dans leur culture de lettrés et aussi dans la peinture décorative. Les peintres professionnels de l'art populaire, minwha, intègrent tout cela et développent une grande vivacité graphique, en particulier dans les images de tigres que l'on colle sur la porte pour protéger sa maison. Pour les lettrés, le paysage tel qu'il est vu, et non plus idéalisé à la manière chinoise, et aussi les scènes de la vie quotidienne montrent tout l'intérêt de cette période pour l'étude du réel et un esprit d'innovation certain. Enfin, le XIXe siècle s'enlise dans les désordres causés par l'égoïsme des puissants. Mais c'est encore une période de riches productions artistiques. La Corée est annexée par le Japon en 1905. Au XXe siècle, les valeurs occidentales sont introduites massivement. C'est d'abord le terme misul, art, avec le naturalisme, déjà entrevu dès le XVIIIe siècle. C'est surtout la peinture à l'huile avec tout son potentiel, dans le modelé naturaliste, dans la couleur, avec les jeux de matières plus ou moins épaisses. Les artistes coréens, formés à Tokyo, communiquent ce « bagage » moderne en Corée, mais le public conserve longtemps son attachement aux formules traditionnelles. Les années 1950 voient de nombreux artistes coréens à Paris, puis le mouvement s'internationalise. Mais la plupart se déplace vers Tokyo. Une grande vague d'art abstrait monochrome, ou de paysagisme abstrait, s'impose jusqu'à la fin des années 1970. Les années 1980 voient, par réaction, l'Art minjun qui veut s'adresser à tous, avec des images immédiatement « lisibles », engagées contre le pouvoir autoritaire des années 1980. Dans le même temps, une part grandissante des artistes coréens intègre la dynamique créatrice du champ élargi de l'art, avec de nouveaux moyens bien sûr, mais pas seulement. Dans cette nouvelle génération d'artistes, le créateur de l'Art vidéo est un Coréen, Nam June Paik, et son succès est planétaire. Lee Ufan a un rôle essentiel sur la scène internationale dans la fondation de Mono-ha, au Japon en 1968. À la génération suivante, Kimsooja, avec un esprit tout aussi dégagé des conventions, aborde des sujets aussi graves que la migration et utilise la vidéo, l'art textile et la performance. Les artistes coréens de renom international sont légion. Tandis que d'autres artistes, en Corée et dans la diaspora, reprennent le pinceau et l'encre dans le contexte du monde actuel. (fr)
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  • Tradition lettrée en Corée 1392-1910 (fr)
  • From "Land of the Morning Calm" to States in Conflict (fr)
  • Victor Collin de Plancy : l'histoire des collections coréennes en France (fr)
  • Art and Archaeology (fr)
  • Korea's golden kingdom (fr)
  • Korean Culture Series 12 (fr)
  • The Korean House (fr)
  • The Samhan Period in Korean History (fr)
  • Reconsidering Early Korean History Through Archaeology (fr)
  • arts and culture of the Joseon Dynasty (fr)
  • chefs-d'œuvre de la céramique coréenne (fr)
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  • from the 19th century to the present (fr)
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  • Des origines à nos jours (fr)
  • Cinq siècles de peinture en Corée (fr)
  • Paintings of the Joseon Dynasty, 1392-1910 (fr)
  • Tradition lettrée en Corée 1392-1910 (fr)
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  • Gang Hui-an (fr)
  • La liste des vêtements coréens (fr)
  • chima (fr)
  • minjung (fr)
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  • Art of the the Korean Renaissance, 1400-1600 (fr)
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  • Tigres de papier (fr)
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  • L'art bouddhique (fr)
  • Nostalgies coréennes : collection Lee Ufan, peintures et paravents du XVIIe au XIXe siècle (fr)
  • A History of Korea (fr)
  • A concise history of Korea (fr)
  • An Ethnographic study of Changdeok palace (fr)
  • Couture Korea (fr)
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  • L'art coréen au musée Guimet (fr)
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  • La scène coréenne (fr)
  • Les Arts de l'Asie de l'Est (fr)
  • Modern and contemporary art in Korea (fr)
  • Roman d'un voyageur (fr)
  • Special Lecture on Korean Paintings (fr)
  • Traditional Korean Furniture (fr)
  • Treasures from Korea (fr)
  • The History and Archaeology of the Koguryŏ Kingdom (fr)
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  • Chima (fr)
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  • List of Korean clothing (fr)
  • minjung (fr)
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  • Edith Combe (fr)
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  • Museum of Fine Arts, Boston (fr)
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  • TransGlobe publishing et Thames & Hudson (fr)
  • Philadelphia Museum of Art, in assoc. w. Yale University Press (fr)
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  • L'art coréen recouvre l'ensemble des arts pratiqués sur le territoire de la Corée depuis la Préhistoire, et à l'époque contemporaine cela concerne aussi l'importante diaspora coréenne, résidant plus ou moins temporairement hors de Corée. Le concept occidental d'art, (coréen : 미술), misul, n'est introduit qu'en 1911, dans une Corée qui venait d'être annexée (le 22 août 1910). Mais plusieurs traditions, qu'elles aient été populaires, de tout temps, ou savantes, ont valorisé les objets que l'Occident qualifie d'art. Dans cet article, le concept d'art est employé dans son sens le plus large. (fr)
  • L'art coréen recouvre l'ensemble des arts pratiqués sur le territoire de la Corée depuis la Préhistoire, et à l'époque contemporaine cela concerne aussi l'importante diaspora coréenne, résidant plus ou moins temporairement hors de Corée. Le concept occidental d'art, (coréen : 미술), misul, n'est introduit qu'en 1911, dans une Corée qui venait d'être annexée (le 22 août 1910). Mais plusieurs traditions, qu'elles aient été populaires, de tout temps, ou savantes, ont valorisé les objets que l'Occident qualifie d'art. Dans cet article, le concept d'art est employé dans son sens le plus large. (fr)
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  • Art coréen (fr)
  • Art coreà (ca)
  • Arte coreano (es)
  • Korean art (en)
  • الفن الكوري (ar)
  • 朝鮮美術 (ja)
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