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- L’acupuncture ou acuponcture (du latin médical du XVIIe siècle « acupunctura » formé de acus, « aiguille » et punctura, « piqûre ») est une pseudo-médecine dont les origines historiques sont liées à la tradition médicale chinoise. L'acupuncture ne s'est pas construite sur le savoir scientifique et ses fondements sont donc considérés comme relevant de la pseudo-science. Les travaux de chercheurs tendent à montrer que l’acuponcture n’a pas d’efficacité dépassant celle de l'effet placébo. L'acupuncture consiste en une stimulation de zones précises de l'épiderme : les « points d’acupuncture ». Les techniques de stimulation des points d’acupuncture sont effectuées avec des moyens divers : des aiguilles le plus souvent, mais aussi d'autres moyens physiques (mécaniques, électriques, magnétiques, thermiques, lumineux) ou physico-chimiques, voire d'autres méthodes alternatives dangereuses (apipuncture, apithérapie avec des piqûres d'abeille). Le risque d'iatrogénie existe, notamment par la transmission d'agents pathogènes si les conditions d'asepsie sont insuffisantes. L'utilisation de l'acupuncture a été critiquée sur le plan éthique lorsqu'elle se fait au détriment de traitements efficaces. La pratique de l'acupuncture est attestée depuis plusieurs millénaires en Asie (en particulier en Inde, Chine, Corée et Japon), même si son succès a beaucoup fluctué avec le temps. Du fait de ses racines historiques, géographiques et culturelles, de ses conditions d’implantation en Occident, l’acupuncture n'intéresse pas seulement la médecine mais aussi l'anthropologie, l'histoire des sciences, l'épistémologie, la sociologie et ce depuis son introduction en Europe au XVIIe siècle. L'UNESCO l'a inscrite au patrimoine culturel immatériel de l'humanité le 16 novembre 2010. (fr)
- L’acupuncture ou acuponcture (du latin médical du XVIIe siècle « acupunctura » formé de acus, « aiguille » et punctura, « piqûre ») est une pseudo-médecine dont les origines historiques sont liées à la tradition médicale chinoise. L'acupuncture ne s'est pas construite sur le savoir scientifique et ses fondements sont donc considérés comme relevant de la pseudo-science. Les travaux de chercheurs tendent à montrer que l’acuponcture n’a pas d’efficacité dépassant celle de l'effet placébo. L'acupuncture consiste en une stimulation de zones précises de l'épiderme : les « points d’acupuncture ». Les techniques de stimulation des points d’acupuncture sont effectuées avec des moyens divers : des aiguilles le plus souvent, mais aussi d'autres moyens physiques (mécaniques, électriques, magnétiques, thermiques, lumineux) ou physico-chimiques, voire d'autres méthodes alternatives dangereuses (apipuncture, apithérapie avec des piqûres d'abeille). Le risque d'iatrogénie existe, notamment par la transmission d'agents pathogènes si les conditions d'asepsie sont insuffisantes. L'utilisation de l'acupuncture a été critiquée sur le plan éthique lorsqu'elle se fait au détriment de traitements efficaces. La pratique de l'acupuncture est attestée depuis plusieurs millénaires en Asie (en particulier en Inde, Chine, Corée et Japon), même si son succès a beaucoup fluctué avec le temps. Du fait de ses racines historiques, géographiques et culturelles, de ses conditions d’implantation en Occident, l’acupuncture n'intéresse pas seulement la médecine mais aussi l'anthropologie, l'histoire des sciences, l'épistémologie, la sociologie et ce depuis son introduction en Europe au XVIIe siècle. L'UNESCO l'a inscrite au patrimoine culturel immatériel de l'humanité le 16 novembre 2010. (fr)
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