La « stratégie pour la bioéconomie » ou stratégie française Bioéconomie est pour la France le « cadre de la bioéconomie », cohérent avec les ressources de notre territoire et ses besoins « en évitant toute surexploitation ». À la croisée d'autres activités et de nouveaux usages et débouchés pour les secteurs primaires, elle a donc une dimension interministérielle et transversale ; elle doit être élaborée sous l'égide des « ministres chargés de l'agriculture, de la forêt, de l’environnement, de l’énergie, de la mer, de la construction et de l’industrie ».

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  • La « stratégie pour la bioéconomie » ou stratégie française Bioéconomie est pour la France le « cadre de la bioéconomie », cohérent avec les ressources de notre territoire et ses besoins « en évitant toute surexploitation ». Présentée et validée en Conseil des ministres le 18 janvier 2017, c'est l'une des deux stratégies françaises découlant notamment de l'application de la Loi sur la transition énergétique du 17 août 2015 (LTECV) ; l'autre étant la Stratégie nationale de mobilisation de la biomasse (SNMB). Elles doivent toutes deux renforcer dans ce pays les activités économiques exploitant les bioressources et en particulier la matière organique vivante (biomasse) ou morte (nécromasse) provenant de la flore, faune ou fonge terrestres ou aquatique. Elles considèrent que - dans certaines limites (celles de la surexploitation de certaines ressources notamment)- de la matière organique exploitable peut être produite en continu grâce à la photosynthèse, en remplacement - pour tout ou partie - des ressources fossiles (tourbe, charbon, gaz et pétrole). Ceci fait de la bioéconomie un pilier de l'économie verte et bas-carbone, c'est-à-dire une économie respectueuse de l'environnement et qui utilise de façon plus efficiente les ressources naturelles). Visant le « passage d'une économie fondée sur les ressources fossiles à une économie fondée sur la biomasse », elle encourage la « bioéconomie », qui regroupe - au sens de cette stratégie - les services, procédés et produits d'origine biologique, au bénéfice de secteurs tels que l’agroalimentaire, la « chimie du végétal », les « produits biosourcés » ou encore la valorisation bois énergie (bois issu de la biomasse forestière notamment). Elle s'inscrit aussi dans le cadre d'une économie plus circulaire et plus soutenable à même de mieux recycler et valoriser les déchets organiques et sous-produits organiques issus de ces filières (selon le principe de l'économie circulaire). Les avantages espérés sont à la fois sociaux, économiques, sanitaires et environnementaux et de bien-être. À la croisée d'autres activités et de nouveaux usages et débouchés pour les secteurs primaires, elle a donc une dimension interministérielle et transversale ; elle doit être élaborée sous l'égide des « ministres chargés de l'agriculture, de la forêt, de l’environnement, de l’énergie, de la mer, de la construction et de l’industrie ». Les schémas régionaux biomasse devront en tenir compte (selon le projet de décret ministériel qui précise la définition de cette stratégie). (fr)
  • La « stratégie pour la bioéconomie » ou stratégie française Bioéconomie est pour la France le « cadre de la bioéconomie », cohérent avec les ressources de notre territoire et ses besoins « en évitant toute surexploitation ». Présentée et validée en Conseil des ministres le 18 janvier 2017, c'est l'une des deux stratégies françaises découlant notamment de l'application de la Loi sur la transition énergétique du 17 août 2015 (LTECV) ; l'autre étant la Stratégie nationale de mobilisation de la biomasse (SNMB). Elles doivent toutes deux renforcer dans ce pays les activités économiques exploitant les bioressources et en particulier la matière organique vivante (biomasse) ou morte (nécromasse) provenant de la flore, faune ou fonge terrestres ou aquatique. Elles considèrent que - dans certaines limites (celles de la surexploitation de certaines ressources notamment)- de la matière organique exploitable peut être produite en continu grâce à la photosynthèse, en remplacement - pour tout ou partie - des ressources fossiles (tourbe, charbon, gaz et pétrole). Ceci fait de la bioéconomie un pilier de l'économie verte et bas-carbone, c'est-à-dire une économie respectueuse de l'environnement et qui utilise de façon plus efficiente les ressources naturelles). Visant le « passage d'une économie fondée sur les ressources fossiles à une économie fondée sur la biomasse », elle encourage la « bioéconomie », qui regroupe - au sens de cette stratégie - les services, procédés et produits d'origine biologique, au bénéfice de secteurs tels que l’agroalimentaire, la « chimie du végétal », les « produits biosourcés » ou encore la valorisation bois énergie (bois issu de la biomasse forestière notamment). Elle s'inscrit aussi dans le cadre d'une économie plus circulaire et plus soutenable à même de mieux recycler et valoriser les déchets organiques et sous-produits organiques issus de ces filières (selon le principe de l'économie circulaire). Les avantages espérés sont à la fois sociaux, économiques, sanitaires et environnementaux et de bien-être. À la croisée d'autres activités et de nouveaux usages et débouchés pour les secteurs primaires, elle a donc une dimension interministérielle et transversale ; elle doit être élaborée sous l'égide des « ministres chargés de l'agriculture, de la forêt, de l’environnement, de l’énergie, de la mer, de la construction et de l’industrie ». Les schémas régionaux biomasse devront en tenir compte (selon le projet de décret ministériel qui précise la définition de cette stratégie). (fr)
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  • La « stratégie pour la bioéconomie » ou stratégie française Bioéconomie est pour la France le « cadre de la bioéconomie », cohérent avec les ressources de notre territoire et ses besoins « en évitant toute surexploitation ». À la croisée d'autres activités et de nouveaux usages et débouchés pour les secteurs primaires, elle a donc une dimension interministérielle et transversale ; elle doit être élaborée sous l'égide des « ministres chargés de l'agriculture, de la forêt, de l’environnement, de l’énergie, de la mer, de la construction et de l’industrie ». (fr)
  • La « stratégie pour la bioéconomie » ou stratégie française Bioéconomie est pour la France le « cadre de la bioéconomie », cohérent avec les ressources de notre territoire et ses besoins « en évitant toute surexploitation ». À la croisée d'autres activités et de nouveaux usages et débouchés pour les secteurs primaires, elle a donc une dimension interministérielle et transversale ; elle doit être élaborée sous l'égide des « ministres chargés de l'agriculture, de la forêt, de l’environnement, de l’énergie, de la mer, de la construction et de l’industrie ». (fr)
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  • Stratégie nationale pour la bioéconomie (fr)
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