Le mouvement national tunisien désigne, dans sa globalité, le mouvement sociopolitique né au début du XXe siècle, qui mena la lutte contre le protectorat français de Tunisie pour obtenir finalement l'indépendance du pays le 20 mars 1956. Ainsi le mouvement national fut-il un ensemble composé de groupes très divers mais unis car il était le fait de forces sociales montantes à partir des années 1930 : petite bourgeoisie engagée dans l'économie capitaliste, nouvelles élites « occidentalisées » et classe ouvrière organisée et donc sensible aux revendications sociales.

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  • Le mouvement national tunisien désigne, dans sa globalité, le mouvement sociopolitique né au début du XXe siècle, qui mena la lutte contre le protectorat français de Tunisie pour obtenir finalement l'indépendance du pays le 20 mars 1956. Inspiré de l'idéologie des Jeunes-Turcs et par des expériences réformistes menées en Tunisie dans la deuxième moitié du XIXe siècle, le rassemblement de notables traditionalistes — avocats, médecins ou journalistes — cède peu à peu sa place à une organisation politique de mieux en mieux structurée par les nouvelles élites formées en France et capable de mobiliser ses partisans pour affronter, si le besoin s'en fait sentir, les autorités du protectorat, afin de faire avancer ses revendications auprès du gouvernement français. La stratégie adoptée par le mouvement alternera entre négociations et affrontements armés, au gré des événements touchant le bassin méditerranéen dans la première moitié du XXe siècle. L'appui fourni au mouvement politique par les puissants syndicats ouvriers ou les mouvements féministes, dans le contexte d'un renouveau de la culture tunisienne, sur le plan intellectuel ou musical, contribue à l'affirmation de l'identité nationale qui sera renforcée par les systèmes politiques et éducatifs après l'indépendance. Ainsi le mouvement national fut-il un ensemble composé de groupes très divers mais unis car il était le fait de forces sociales montantes à partir des années 1930 : petite bourgeoisie engagée dans l'économie capitaliste, nouvelles élites « occidentalisées » et classe ouvrière organisée et donc sensible aux revendications sociales. (fr)
  • Le mouvement national tunisien désigne, dans sa globalité, le mouvement sociopolitique né au début du XXe siècle, qui mena la lutte contre le protectorat français de Tunisie pour obtenir finalement l'indépendance du pays le 20 mars 1956. Inspiré de l'idéologie des Jeunes-Turcs et par des expériences réformistes menées en Tunisie dans la deuxième moitié du XIXe siècle, le rassemblement de notables traditionalistes — avocats, médecins ou journalistes — cède peu à peu sa place à une organisation politique de mieux en mieux structurée par les nouvelles élites formées en France et capable de mobiliser ses partisans pour affronter, si le besoin s'en fait sentir, les autorités du protectorat, afin de faire avancer ses revendications auprès du gouvernement français. La stratégie adoptée par le mouvement alternera entre négociations et affrontements armés, au gré des événements touchant le bassin méditerranéen dans la première moitié du XXe siècle. L'appui fourni au mouvement politique par les puissants syndicats ouvriers ou les mouvements féministes, dans le contexte d'un renouveau de la culture tunisienne, sur le plan intellectuel ou musical, contribue à l'affirmation de l'identité nationale qui sera renforcée par les systèmes politiques et éducatifs après l'indépendance. Ainsi le mouvement national fut-il un ensemble composé de groupes très divers mais unis car il était le fait de forces sociales montantes à partir des années 1930 : petite bourgeoisie engagée dans l'économie capitaliste, nouvelles élites « occidentalisées » et classe ouvrière organisée et donc sensible aux revendications sociales. (fr)
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  • Histoire et perspectives méditerranéennes (fr)
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  • du Pacte fondamental de M'hamed Bey à la mort de Moncef Bey, 1857-1948 (fr)
  • de la Deuxième Guerre mondiale à l'autonomie interne (fr)
  • de Ferry à Bourguiba, 1881-1956 (fr)
  • l'armée secrète de la république (fr)
  • la Tunisie des années trente (fr)
  • scission et conflits, 1934-1944 (fr)
  • souvenirs et témoignages (fr)
  • quelques « oubliés » de l'histoire contemporaine de la Tunisie (fr)
  • de la déclaration de Thionville à l'exil de Kébili (fr)
  • aux chemins croisés de l'histoire tunisienne, 1914-1922 (fr)
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  • La Main rouge (fr)
  • L'action nationaliste en Tunisie (fr)
  • Le Parti libéral constitutionnaliste tunisien, 1919-1934 (fr)
  • Bandits d'honneur ou patriotes (fr)
  • Histoire de la Tunisie contemporaine (fr)
  • La conquête de l'indépendance tunisienne (fr)
  • Le nationalisme tunisien (fr)
  • Le syndicalisme tunisien (fr)
  • Les origines du mouvement national en Tunisie (fr)
  • Libération ou annexion (fr)
  • Mouvement national et Front populaire (fr)
  • Nationalisme et syndicalisme en Tunisie, 1918-1929 (fr)
  • Précis d'histoire du mouvement national tunisien (fr)
  • Le ministère Chenik à la poursuite de l'autonomie interne (fr)
  • La femme tunisienne au temps de la colonisation, 1881-1956 (fr)
  • Cet homme doit mourir ou la flambée de la résistance à Sfax (fr)
  • Le mouvement social en Tunisie dans les années trente (fr)
  • La classe ouvrière tunisienne et la lutte de libération nationale (fr)
  • La Main rouge (fr)
  • L'action nationaliste en Tunisie (fr)
  • Le Parti libéral constitutionnaliste tunisien, 1919-1934 (fr)
  • Bandits d'honneur ou patriotes (fr)
  • Histoire de la Tunisie contemporaine (fr)
  • La conquête de l'indépendance tunisienne (fr)
  • Le nationalisme tunisien (fr)
  • Le syndicalisme tunisien (fr)
  • Les origines du mouvement national en Tunisie (fr)
  • Libération ou annexion (fr)
  • Mouvement national et Front populaire (fr)
  • Nationalisme et syndicalisme en Tunisie, 1918-1929 (fr)
  • Précis d'histoire du mouvement national tunisien (fr)
  • Le ministère Chenik à la poursuite de l'autonomie interne (fr)
  • La femme tunisienne au temps de la colonisation, 1881-1956 (fr)
  • Cet homme doit mourir ou la flambée de la résistance à Sfax (fr)
  • Le mouvement social en Tunisie dans les années trente (fr)
  • La classe ouvrière tunisienne et la lutte de libération nationale (fr)
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  • II (fr)
  • II (fr)
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  • Université de Tunis (fr)
  • L'Harmattan (fr)
  • Robert Laffont (fr)
  • Alif (fr)
  • Maison tunisienne de l'édition (fr)
  • Sud Éditions (fr)
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  • Éditions du Rocher (fr)
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  • Institut supérieur d'histoire du mouvement national (fr)
  • MC-Editions (fr)
  • Union générale tunisienne du travail (fr)
  • Arcs Éditions (fr)
  • Le Maghreb musulman (fr)
  • Med Ali Éditions (fr)
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  • Le mouvement national tunisien désigne, dans sa globalité, le mouvement sociopolitique né au début du XXe siècle, qui mena la lutte contre le protectorat français de Tunisie pour obtenir finalement l'indépendance du pays le 20 mars 1956. Ainsi le mouvement national fut-il un ensemble composé de groupes très divers mais unis car il était le fait de forces sociales montantes à partir des années 1930 : petite bourgeoisie engagée dans l'économie capitaliste, nouvelles élites « occidentalisées » et classe ouvrière organisée et donc sensible aux revendications sociales. (fr)
  • Le mouvement national tunisien désigne, dans sa globalité, le mouvement sociopolitique né au début du XXe siècle, qui mena la lutte contre le protectorat français de Tunisie pour obtenir finalement l'indépendance du pays le 20 mars 1956. Ainsi le mouvement national fut-il un ensemble composé de groupes très divers mais unis car il était le fait de forces sociales montantes à partir des années 1930 : petite bourgeoisie engagée dans l'économie capitaliste, nouvelles élites « occidentalisées » et classe ouvrière organisée et donc sensible aux revendications sociales. (fr)
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  • Mouvement national tunisien (fr)
  • Movimiento nacional tunecino (es)
  • Tunisian national movement (en)
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