dbo:abstract
|
- Jean Chanorier, né le 16 novembre 1746 à Lyon et mort le 29 mai 1806 à Croissy-sur-Seine, est un agronome et homme politique français. Seigneur, puis maire de Croissy-sur-Seine, il fut député, puis conseiller général de Seine-et-Oise et membre associé de l’Institut. Il est connu pour avoir introduit en France la race ovine des mérinos. Inquiété durant la Terreur malgré ses idées patriotes, son amitié avec Joséphine de Beauharnais lui valut ensuite, sous le Consulat, la protection du gouvernement et sa nomination à l’Institut. (fr)
- Jean Chanorier, né le 16 novembre 1746 à Lyon et mort le 29 mai 1806 à Croissy-sur-Seine, est un agronome et homme politique français. Seigneur, puis maire de Croissy-sur-Seine, il fut député, puis conseiller général de Seine-et-Oise et membre associé de l’Institut. Il est connu pour avoir introduit en France la race ovine des mérinos. Inquiété durant la Terreur malgré ses idées patriotes, son amitié avec Joséphine de Beauharnais lui valut ensuite, sous le Consulat, la protection du gouvernement et sa nomination à l’Institut. (fr)
|
rdfs:comment
|
- Jean Chanorier, né le 16 novembre 1746 à Lyon et mort le 29 mai 1806 à Croissy-sur-Seine, est un agronome et homme politique français. Seigneur, puis maire de Croissy-sur-Seine, il fut député, puis conseiller général de Seine-et-Oise et membre associé de l’Institut. Il est connu pour avoir introduit en France la race ovine des mérinos. Inquiété durant la Terreur malgré ses idées patriotes, son amitié avec Joséphine de Beauharnais lui valut ensuite, sous le Consulat, la protection du gouvernement et sa nomination à l’Institut. (fr)
- Jean Chanorier, né le 16 novembre 1746 à Lyon et mort le 29 mai 1806 à Croissy-sur-Seine, est un agronome et homme politique français. Seigneur, puis maire de Croissy-sur-Seine, il fut député, puis conseiller général de Seine-et-Oise et membre associé de l’Institut. Il est connu pour avoir introduit en France la race ovine des mérinos. Inquiété durant la Terreur malgré ses idées patriotes, son amitié avec Joséphine de Beauharnais lui valut ensuite, sous le Consulat, la protection du gouvernement et sa nomination à l’Institut. (fr)
|