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- À la fin de l'Ancien Régime, au XVIIIe siècle, la colonie française de Saint-Domingue, partie occidentale de l'île d'Hispaniola, avait la réputation d'être l'économie de plantation la plus riche du monde grâce au travail de près d'un demi-million d'esclaves africains, ses 792 sucreries, 2 810 caféteries, 3 097 indigoteries et 705 cotonneries produisaient, en 1788, des marchandises coloniales d'une valeur de 239 millions de livres destinées aux marchés européens et nord-américains. Entre 1763 et 1789, les exportations de cette colonie française - qui dépassaient alors celles des États-Unis - étaient le moteur de la « révolution commerciale » française de la deuxième moitié du XVIIIe siècle, et la source principale de la richesse d'une couche de propriétaires originaires avant tout des villes portuaires de Nantes, Bordeaux, Paris, La Rochelle, Bayonne et de la vallée de la Loire. (fr)
- À la fin de l'Ancien Régime, au XVIIIe siècle, la colonie française de Saint-Domingue, partie occidentale de l'île d'Hispaniola, avait la réputation d'être l'économie de plantation la plus riche du monde grâce au travail de près d'un demi-million d'esclaves africains, ses 792 sucreries, 2 810 caféteries, 3 097 indigoteries et 705 cotonneries produisaient, en 1788, des marchandises coloniales d'une valeur de 239 millions de livres destinées aux marchés européens et nord-américains. Entre 1763 et 1789, les exportations de cette colonie française - qui dépassaient alors celles des États-Unis - étaient le moteur de la « révolution commerciale » française de la deuxième moitié du XVIIIe siècle, et la source principale de la richesse d'une couche de propriétaires originaires avant tout des villes portuaires de Nantes, Bordeaux, Paris, La Rochelle, Bayonne et de la vallée de la Loire. (fr)
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- À la fin de l'Ancien Régime, au XVIIIe siècle, la colonie française de Saint-Domingue, partie occidentale de l'île d'Hispaniola, avait la réputation d'être l'économie de plantation la plus riche du monde grâce au travail de près d'un demi-million d'esclaves africains, ses 792 sucreries, 2 810 caféteries, 3 097 indigoteries et 705 cotonneries produisaient, en 1788, des marchandises coloniales d'une valeur de 239 millions de livres destinées aux marchés européens et nord-américains. Entre 1763 et 1789, les exportations de cette colonie française - qui dépassaient alors celles des États-Unis - étaient le moteur de la « révolution commerciale » française de la deuxième moitié du XVIIIe siècle, et la source principale de la richesse d'une couche de propriétaires originaires avant tout des ville (fr)
- À la fin de l'Ancien Régime, au XVIIIe siècle, la colonie française de Saint-Domingue, partie occidentale de l'île d'Hispaniola, avait la réputation d'être l'économie de plantation la plus riche du monde grâce au travail de près d'un demi-million d'esclaves africains, ses 792 sucreries, 2 810 caféteries, 3 097 indigoteries et 705 cotonneries produisaient, en 1788, des marchandises coloniales d'une valeur de 239 millions de livres destinées aux marchés européens et nord-américains. Entre 1763 et 1789, les exportations de cette colonie française - qui dépassaient alors celles des États-Unis - étaient le moteur de la « révolution commerciale » française de la deuxième moitié du XVIIIe siècle, et la source principale de la richesse d'une couche de propriétaires originaires avant tout des ville (fr)
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