prop-fr:texte
|
- Ô chemins Enkidu jusqu'à la Forêt des Cèdres,
Pleurez-le, jour et nuit, sans répit !
Pleurez-le, ô Anciens, parmi les larges rues d'Uruk-les-clos !
Pleure-le, foule qui nous suivait, en nous saluant !
Pleurez-le, passes étroites des régions montagneuses,
Que nous avons escaladées de conserve !
Lamente-le, campagne, comme sa mère !
Pleurez-le [...] Cyprès et Cèdres,
Entre lesquels, dans notre fureur,
Nous avons fait un carnage !
Pleurez-le, ours, hyènes, panthères, tigres , cerfs guépards,
Lions, buffles, daims, bouquetins, grosses et petites bêtes sauvages !
Pleure-le, Ulaia sacré, aux bords duquel nous nous pavanions !
Pleure-le, Saint Euphrate,
dont nous faisions couler en libations l'eau outres !
Pleurez-le, ô Gaillards d'Uruk-les-Clos,
Qui nous avez vu combattre et tuer le Taureau-géant ! (fr)
- , dans la steppe,
elle forma Enkidu-le-preux.
Mis au monde en la Solitude,
Aussi compact que Ninurta.
Abondamment velu par tout le corps,
Il avait une chevelure de femme,
Aux boucles foisonnant comme un champ d'épis.
Ne connaissant ni concitoyens, ni pays,
Accoutré à la sauvage,
En compagnie des gazelles, il broutait ;
En compagnie de harde, il fréquentait l'aiguade ;
Il se régalait d'eau en compagnie des bêtes. (fr)
- Quand elle eut laissé choir son vêtement,
Il s'allongea sur elle,
Et elle lui fit, à sauvage,
Son affaire de femme,
Tandis que, de ses mamours, il la cageolait.
Six jours et sept nuits, Enkidu, excité,
Fit l'amour à Lajoyeuse !
Une fois soûlé du plaisir elle ,
Il se disposa à rejoindre sa harde.
Mais, à la vue d'Enkidu,
Gazelles de s'enfuir,
Et les bêtes sauvages de s'écarter de lui. (fr)
- Ô chemins Enkidu jusqu'à la Forêt des Cèdres,
Pleurez-le, jour et nuit, sans répit !
Pleurez-le, ô Anciens, parmi les larges rues d'Uruk-les-clos !
Pleure-le, foule qui nous suivait, en nous saluant !
Pleurez-le, passes étroites des régions montagneuses,
Que nous avons escaladées de conserve !
Lamente-le, campagne, comme sa mère !
Pleurez-le [...] Cyprès et Cèdres,
Entre lesquels, dans notre fureur,
Nous avons fait un carnage !
Pleurez-le, ours, hyènes, panthères, tigres , cerfs guépards,
Lions, buffles, daims, bouquetins, grosses et petites bêtes sauvages !
Pleure-le, Ulaia sacré, aux bords duquel nous nous pavanions !
Pleure-le, Saint Euphrate,
dont nous faisions couler en libations l'eau outres !
Pleurez-le, ô Gaillards d'Uruk-les-Clos,
Qui nous avez vu combattre et tuer le Taureau-géant ! (fr)
- , dans la steppe,
elle forma Enkidu-le-preux.
Mis au monde en la Solitude,
Aussi compact que Ninurta.
Abondamment velu par tout le corps,
Il avait une chevelure de femme,
Aux boucles foisonnant comme un champ d'épis.
Ne connaissant ni concitoyens, ni pays,
Accoutré à la sauvage,
En compagnie des gazelles, il broutait ;
En compagnie de harde, il fréquentait l'aiguade ;
Il se régalait d'eau en compagnie des bêtes. (fr)
- Quand elle eut laissé choir son vêtement,
Il s'allongea sur elle,
Et elle lui fit, à sauvage,
Son affaire de femme,
Tandis que, de ses mamours, il la cageolait.
Six jours et sept nuits, Enkidu, excité,
Fit l'amour à Lajoyeuse !
Une fois soûlé du plaisir elle ,
Il se disposa à rejoindre sa harde.
Mais, à la vue d'Enkidu,
Gazelles de s'enfuir,
Et les bêtes sauvages de s'écarter de lui. (fr)
|