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- La déforestation du bassin amazonien s'est grandement accélérée entre 1991 et 2004, jusqu'à atteindre un taux annuel de perte de surface forestière de 27 423 km2 en 2004. Bien que le taux de déforestation ait ralenti depuis 2004 (avec une réaccélération en 2008 et en 2013), la surface couverte par la forêt continue de décroître. La forêt amazonienne représente à elle seule la moitié des forêts tropicales restantes sur la Terre, et est la forêt tropicale la plus grande, et celle avec la plus grande biodiversité au monde. 63 % de la forêt est sur le territoire du Brésil, tandis que 10 % se trouve au Pérou, 7 % en Colombie, ainsi que des parties au Venezuela, en Équateur, en Bolivie, à Guyana, au Suriname et en Guyane. La déforestation en Amazonie a pour effet une perte de , donc une diminution de la biocapacité par personne du Brésil, et donc de son excédent écologique. Cependant, l'essentiel de la diminution de biocapacité par tête du Brésil est dû à la croissance démographique. Encouragée par le commerce international de viande bovine et de cuir, l'industrie de l'élevage bovin dans le secteur de l'Amazonie était responsable d'environ 80 % de la déforestation de la région en 2009, ce qui représente 14 % de la déforestation à l'échelle mondiale chaque année, ce qui en fait le moteur de déforestation le plus important au monde. En 1995, 70 % des terres qui étaient auparavant de la forêt étaient utilisées pour l'élevage bovin, ainsi que 91 % des terres issues de la déforestation depuis 1970. Le défrichement par les fermiers à des fins d'agriculture vivrière ou d'exploitation mécanisée (soja et palme notamment) correspond à la majorité du reste de la déforestation. (fr)
- La déforestation du bassin amazonien s'est grandement accélérée entre 1991 et 2004, jusqu'à atteindre un taux annuel de perte de surface forestière de 27 423 km2 en 2004. Bien que le taux de déforestation ait ralenti depuis 2004 (avec une réaccélération en 2008 et en 2013), la surface couverte par la forêt continue de décroître. La forêt amazonienne représente à elle seule la moitié des forêts tropicales restantes sur la Terre, et est la forêt tropicale la plus grande, et celle avec la plus grande biodiversité au monde. 63 % de la forêt est sur le territoire du Brésil, tandis que 10 % se trouve au Pérou, 7 % en Colombie, ainsi que des parties au Venezuela, en Équateur, en Bolivie, à Guyana, au Suriname et en Guyane. La déforestation en Amazonie a pour effet une perte de , donc une diminution de la biocapacité par personne du Brésil, et donc de son excédent écologique. Cependant, l'essentiel de la diminution de biocapacité par tête du Brésil est dû à la croissance démographique. Encouragée par le commerce international de viande bovine et de cuir, l'industrie de l'élevage bovin dans le secteur de l'Amazonie était responsable d'environ 80 % de la déforestation de la région en 2009, ce qui représente 14 % de la déforestation à l'échelle mondiale chaque année, ce qui en fait le moteur de déforestation le plus important au monde. En 1995, 70 % des terres qui étaient auparavant de la forêt étaient utilisées pour l'élevage bovin, ainsi que 91 % des terres issues de la déforestation depuis 1970. Le défrichement par les fermiers à des fins d'agriculture vivrière ou d'exploitation mécanisée (soja et palme notamment) correspond à la majorité du reste de la déforestation. (fr)
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- La déforestation du bassin amazonien s'est grandement accélérée entre 1991 et 2004, jusqu'à atteindre un taux annuel de perte de surface forestière de 27 423 km2 en 2004. Bien que le taux de déforestation ait ralenti depuis 2004 (avec une réaccélération en 2008 et en 2013), la surface couverte par la forêt continue de décroître. La déforestation en Amazonie a pour effet une perte de , donc une diminution de la biocapacité par personne du Brésil, et donc de son excédent écologique. Cependant, l'essentiel de la diminution de biocapacité par tête du Brésil est dû à la croissance démographique. (fr)
- La déforestation du bassin amazonien s'est grandement accélérée entre 1991 et 2004, jusqu'à atteindre un taux annuel de perte de surface forestière de 27 423 km2 en 2004. Bien que le taux de déforestation ait ralenti depuis 2004 (avec une réaccélération en 2008 et en 2013), la surface couverte par la forêt continue de décroître. La déforestation en Amazonie a pour effet une perte de , donc une diminution de la biocapacité par personne du Brésil, et donc de son excédent écologique. Cependant, l'essentiel de la diminution de biocapacité par tête du Brésil est dû à la croissance démographique. (fr)
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