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- Coquillettidia est un genre de diptères de la famille des Culicidae. Les espèces de moustiques appartenant à ce genre (qui regroupe à ce jour une soixantaine d'espèces) sont « anthropophiles ». C'est dans le monde l'une des espèces qui piquent le plus souvent l'Homme. La larve de ces moustiques parasite certaines plantes, en s'y fixant pour y prélever l'oxygène qu'elles ne trouvent pas en suffisance dans l'eau, grâce à un siphon respiratoire modifié qui leur permet de percer la cuticule de tiges subaquatiques de plantes aquatiques ou palustres. Comme la plupart des autres espèces de moustiques Culicidae, les Coquillettidia posent des problèmes sanitaires, épidémiologiques et écoépidémiologiques complexes, aggravés par la mondialisation des échanges et le dérèglement climatique, la disparition de certains prédateurs des moustiques et certaines crises sociopolitiques et humanitaires (en Afrique notamment) qui exposent les réfugiés à être plus facilement piqués, car ces moustiques sont vecteurs ou vecteurs potentiels de nombreuses maladies zoonotiques transmissibles de l'animal à l'Homme ou d'humain à humain. (fr)
- Coquillettidia est un genre de diptères de la famille des Culicidae. Les espèces de moustiques appartenant à ce genre (qui regroupe à ce jour une soixantaine d'espèces) sont « anthropophiles ». C'est dans le monde l'une des espèces qui piquent le plus souvent l'Homme. La larve de ces moustiques parasite certaines plantes, en s'y fixant pour y prélever l'oxygène qu'elles ne trouvent pas en suffisance dans l'eau, grâce à un siphon respiratoire modifié qui leur permet de percer la cuticule de tiges subaquatiques de plantes aquatiques ou palustres. Comme la plupart des autres espèces de moustiques Culicidae, les Coquillettidia posent des problèmes sanitaires, épidémiologiques et écoépidémiologiques complexes, aggravés par la mondialisation des échanges et le dérèglement climatique, la disparition de certains prédateurs des moustiques et certaines crises sociopolitiques et humanitaires (en Afrique notamment) qui exposent les réfugiés à être plus facilement piqués, car ces moustiques sont vecteurs ou vecteurs potentiels de nombreuses maladies zoonotiques transmissibles de l'animal à l'Homme ou d'humain à humain. (fr)
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