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- . (fr)
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- --06-04
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- --12-02
- * Jean de Laval , tout d'abord enterré à la Chapelle des Trois-Maries de Montsûrs, puis transféré à Saint-Tugal de Laval ;
* Anne de Laval ;
* Guy XIV de Laval ;
* André de Lohéac ;
* Louis de Laval-Châtillon ;
* Guy XV de Laval ;
* Catherine de Valois , femme du précédent ;
* Jean de Laval, leur fils unique, mort avant eux ;
* Charlotte d'Aragon-Naples , première femme de Guy XVI ;
* Anne de Montmorency, seconde femme de Guy XVI ;
* Guy XVI de Laval ;
* Guy XVII de Laval ;
* Guyonne de Laval . (fr)
- * Los chapelains étaient :
* Le chapelain-curé.
* Le chapelain-sacrisle.
* Le chapelain du Clos-Doucet.
* Le chapelain des Genetais
* Le chapelain des Linardières
* Le chapelain de Parené.
* Le chapelain de l'Orgue
* Les chapelains diacre et sous-diacre
* Le chapelain de la Madeleine.
* Le chapelain semi-prébendé
* Le chapelain de Beuzelain.
* Le chapelain de Derval. (fr)
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- La bénédiction se donnait à haute voix à la fin de la grande messe lorsqu'aucun office ne suivait,.
A L'évangile, on donnait la Paix à baiser aux ecclésiastiques étrangers, aux religieux et aux chevaliers de Malte qui se trouvaient dans Le chœur. On ne La donnait point aux laïques, de quelque qualité qu'ils fussent.
Pour témoigner L'horreur qu'il avait des spectacles publics, le chapitre s'était fait une loi de ne point passer en procession sur les places publiques lorsqu'il y avait des théâtres de baladins.
On ne touchait point l'orgue pendant l'Avent, excepté le troisième dimanche à la grande messe, et aux vêpres des jours. En carême on ne le touchait qu'au dimanche Lœtare, à la messe du jeudi saint jusqu'au Gloria in excelsis, et les jours de Saint Joseph et de l'Annonciation. Le reste de l'année, on ne le touchait qu'aux fêtes chômées et aux premières vêpres des fêtes solennelles.
Chaque chanoine était en droit d'assembler le chapitre. Chaque année il y avait deux chapitres généraux auxquels se trouvaient MM. du haut et du bas chœur. Ils se tenaient le lendemain des deux fêtes de Saint Tugal. On n'y traitait que ce qui regardait le bon ordre et la discipline, et il était toujours terminé par un discours prononcé par celui qui avait présidé.
Le chant était soumis à certaines règles : il était défendu aux diacres de répnodre trop vite et à tous ceux du haut et du bas chœur de précipiter le chant, et d'anticiper ; le plus ancien chanoine de chaque côté était chargé de faire avertir ceux qui ne s'y conformeraient point.
On se servait autrefois à l'autel, pendant le temps de carême, d'une chasuble violette à l'antique, retombant de tous côtés par terre. On cessa de s'en servir au commencement du .
Ce fut vers le même temps que fut supprimé le rideau violet qui était placé pendant le carême et l'avent entre le sanctuaire et le chœur, et qui restait fermé pendant la célébration des saints mystères. On ne l'ouvrait qu'au moment de la consécration, et il était refermé après l'élévation.
Il y avait aussi des banquets dans différentes occasions ; il y en avait un fondé pour l'avent qu'on appelait le repas de YO ; une autre fondation de 20 sols existait le Jeudi Saint avant les Ténèbres pour fournir à tout le chœur la pitance nécessaire, tant pour le boire que pour le manger. En outre, les chanoines donnaient un repas à leur réception ; ceux qui entonnaient les antiennes de l'avent, connues sous le nom d'O, donnaient des collations. Tous ces festins furent supprimés.
On faisait autrefois, chaque jour, une distribution manuelle en pain. En 1593, on arrêta que l'on distribuerait tous les trois mois en grain ce que l'on donnait en pain. Le jour de la fête des Saints Innocents, les enfants de chœur faisaient les fonctions de chanoines et de chapelains, et ceux-ci prenaient les places des enfants de chœur, portaient les chandeliers, chantaient les versets, etc. Cet usage fut supprimé en 1506 ; depuis ce temps les enfants de chœur n'ont eu aucun privilège le jour de cette fête.
En 1691, on abolit aussi l'usage où étaient les écoliers de faire, le jour de la Fête-Dieu, devant la chapelle du collège où le Saint Sacrement reposait, des déclamations dont le sujet était tiré de l'Ecriture Sainte.
Le chapitre allait le jour de L'Ascension fouetter le dragon dans la chapelle du château. Le peuple croyait que c'était un serpent ou dragon qui avait jadis fait de grands ravages, et qui avait, eu son repaire dans les caves du château. Cet usage avait duré jusqu'à la Révolution française. (fr)
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