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- Christian Bouche-Villeneuve, dit Chris Marker (parfois écrit Chris. Marker), né le 29 juillet 1921 à Neuilly-sur-Seine et mort le 29 juillet 2012 à Paris, est un réalisateur, écrivain, illustrateur, traducteur, photographe, éditeur, philosophe, essayiste, critique, poète et producteur français. Pour le public, son œuvre renvoie à ses films majeurs : La Jetée, Sans soleil, Le Joli Mai, Le fond de l'air est rouge ou encore Chats perchés. Pour l’essentiel, ce sont des documentaires, définis dès le départ, selon André Bazin, comme des essais cinématographiques. Cependant son œuvre d'ensemble ne se limite pas aux films qu'il a signés. En effet le réalisateur français collabore activement avec d’autres réalisateurs, écrivains, acteurs, artistes ou simples ouvriers : de Costa-Gavras à Yves Montand, d’Alain Resnais à Paul Paviot, Yannick Bellon ou Alexandre Medvedkine, de Jorge Semprun à Benigno Cacérès, de Thoma Vuille à Mario Ruspoli, de Joris Ivens à Haroun Tazieff, de William Klein à , d’Akira Kurosawa à Patricio Guzman. Il soutient également les jeunes, notamment le collectif Kourtrajmé et Isild Le Besco, en qui il voit « une nouvelle nouvelle vague ». Tout au long de sa carrière, Chris Marker s’est attaché à observer les vicissitudes de l’histoire mondiale tout autant qu’individuelle, avec curiosité et discernement, avec poésie et émerveillement, avec ironie et souvent un regard amusé, parfois avec colère. Au centre de sa réflexion figurent la mémoire, le souvenir, la nostalgie du temps passé réinventé mais à jamais disparu. (fr)
- Christian Bouche-Villeneuve, dit Chris Marker (parfois écrit Chris. Marker), né le 29 juillet 1921 à Neuilly-sur-Seine et mort le 29 juillet 2012 à Paris, est un réalisateur, écrivain, illustrateur, traducteur, photographe, éditeur, philosophe, essayiste, critique, poète et producteur français. Pour le public, son œuvre renvoie à ses films majeurs : La Jetée, Sans soleil, Le Joli Mai, Le fond de l'air est rouge ou encore Chats perchés. Pour l’essentiel, ce sont des documentaires, définis dès le départ, selon André Bazin, comme des essais cinématographiques. Cependant son œuvre d'ensemble ne se limite pas aux films qu'il a signés. En effet le réalisateur français collabore activement avec d’autres réalisateurs, écrivains, acteurs, artistes ou simples ouvriers : de Costa-Gavras à Yves Montand, d’Alain Resnais à Paul Paviot, Yannick Bellon ou Alexandre Medvedkine, de Jorge Semprun à Benigno Cacérès, de Thoma Vuille à Mario Ruspoli, de Joris Ivens à Haroun Tazieff, de William Klein à , d’Akira Kurosawa à Patricio Guzman. Il soutient également les jeunes, notamment le collectif Kourtrajmé et Isild Le Besco, en qui il voit « une nouvelle nouvelle vague ». Tout au long de sa carrière, Chris Marker s’est attaché à observer les vicissitudes de l’histoire mondiale tout autant qu’individuelle, avec curiosité et discernement, avec poésie et émerveillement, avec ironie et souvent un regard amusé, parfois avec colère. Au centre de sa réflexion figurent la mémoire, le souvenir, la nostalgie du temps passé réinventé mais à jamais disparu. (fr)
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- --04-02
- --08-28
- 1140.0
- 1945.0
- * Passages de l'image, Centre Pompidou, Paris, 1990.
* Qu'est ce qu'une Madeleine. À propos du CD Rom Immemory, Éditions Yves Gevaert et Centre Pompidou, 1997
* « The Rest is Silent », dans Silent Movie : la petite illustration cinématographique, Columbus: Wexner Center for the Arts/ Ohio State University, 1995 , p. 15-18. Réédition : dans La vie nous en fait voir de toutes les couleurs, Paris : L'Âge d'Homme, 1995, p. 189-198, et dans Trafic, 46 , p. 57-62
* Staring Back, Columbus: The Ohio State University, Wexner Center for the Arts, 2007, 168 p.
* Chris Marker. Owls at Noon Prelude : the Hollow Men, Brisbane: Institut of Modern Art, 2007, 105 p.
* A Farewll to Movies/ Abschied vom Kino, Zurich: Museum für Gestaltung, 2008, 64 p.
* « Guillaume-en-Egypte au Brésil », dans Pop'lab, 11
* Passengers, New York: Peter Blum Gallery, 2011, 240 p.
* Chris Marker, sous la direction de Raymond Bellour, Jean-Michel Frodon et Christine VanAssche, Paris, Cinémathèque française, 2018, 400p. (fr)
- * Le Cœur net : prix littéraire belge, remis à Bruxelles.
* Les Statues meurent aussi : Prix Jean-Vigo du court métrage, 1954
* Dimanche à Pékin : Grand prix du court métrage du Festival de Tours, 1956; Médaille d'or du court métrage du Festival de la jeunesse de Moscou
* Lettre de Sibérie : Prix Lumière, 1958
* Les Astronautes : Prix du film de recherche au Festival de Venise, 1960; Prix de la Fédération internationale de la presse à Oberhausen, 1960; Médaille d'or au Festival de Bergame, 1960
* Descritpion d'un combat : Ours d'or du film documentaire et du court métrage et Prix de la Jeunesse du Sénat de Berlin, 1961
* Le Joli mai : Prix de la critique internationale au Festival de Cannes, 1963; Dauphin d'or au Festival de Leipzig, 1963; Prix de la meilleure 1ère œuvre au Festival de Venise, 1963
* La Jetée: Prix Jean-Vigo du court métrage, 1963; Grand prix et Astronef d'or à Trieste, 1963
* Le Mystère Koumiko : Grand Prix du cinéma documentaire d'Oberhausen, 1966
* Le Train en marche : Colombe d'argent au Festival du film documentaire de Leipzig, 1971; Mention spéciale au Festival de Cracovie, 1971
* Sans soleil : Prix de la critique internationale au festival de Londres et B.F.I. Award, 1983; Grand prix du Festival du peuple de Florence, 1983; Prix OCIC, Mention Spéciale, Forum du Nouveau Cinéma au Festival International du Film à Berlin 1983
* Junkopia : César du meilleur court métrage documentaire, 1983
* Grand Prix pour l'ensemble de ses films, 1992, Scam, Paris, France (fr)
- * L'Aube noire
* Cirque de notre vie
* Jusqu'à la fin des temps
* La Peur à la radio : le fantastique (fr)
- * Francine Cockenpot, La Route aux oiseaux. Chansons inédites, Paris: Le Seuil, 1952, 60 p. [58 dessins de Marker]
* "La Pathétique et réelle aventure du manuscrit génial", comics strip parus dans 27 rue Jacob : bulletin des éditions du Seuil, 1 à 3 , p. 4
* "Carte véritable des tems que nous voyons", parue dans 27 rue Jacob : bulletin des éditions du Seuil, 4 , p. 2
* Pierre-Aimé Touchard, Histoire sentimentale de la comédie française, Paris : Le Seuil, 1955, 123 p. [réalisation maquette et photos]
* Wou Tch'eng ngen, Si Yeou Ki ou le voyage en Occident, Paris: Le Seuil, 1957, 2 vol., 933 + annexes [Portefolio de photos de Marker, Varda, etc.]
* Armand Gatti, Sibérie - zéro + l'infini d'Armand Gatti, Paris: Le Seuil, 237 p. [photos]
* Graham Green, La Fin d'une liaison , Paris: Le meilleur livre du mois, 1959, 285 p. [Illustration couverture d'après Marker]
* Jeannine Parrot, "Retour de Cuba vu par Nathalie Sarraute", Les Lettres françaises, 894 , p. 1 et 5 [photos]
* "Réalités Femina", Automobiles 63 , 201 , 128 p. [photos]
* Claude Nicolet, Les Gracques, Paris: Gallimard, 1967, 238 p. [photos]
* P. Seale et M. McConville, French Revolution 1968, Londres: Penguin Book/ Heinemann, 1968, 238 p. [Portefolio de photographies de 16 p]
* Elinor Lipper, Onze ans dans les bagnes soviétiques, Paris : Cercle du bibliophile, 1970, 333 p. [photos]
* Robert Etienne, Les Ides de Mars, Paris: Gallimard/ Julliard, 1974, 216 p. [photos]
* André-Clément Découflé, L'An 2000, Paris: Flammarion, 1975, 226 p. [Montage photographique de la 1ère de couverture]
* Andrée Chedid, Nefertiti et le rêve d'Akhnaton, les mémoires..., Paris: Flammarion, 1977, 234 p. [Montage photographique de la 1ère de couverture]
* Marie Susini, La Renfermée : la Corse, Paris: Le Seuil, 1981, 93 p. [photos]
* "Ran et le Japon", Traverses, 38-39 , [photos p. 13, 80 et 137]
* "Surface and Illusion. Ten Portfolios.", Aperture , 145 , 79 p. [photos]
* Jean-Claude Carrière, "Effets et gestes", Vogue , 752, [photos p. 208-211 et 263]
* Bill Horrigan, "The Revenge of the Eye : a portfolio for Artforum", Artforum, 44/10 , p. 310-315. [photos]
* Jeff Wall, Exposure, Berlin : Deutsche Guggenheim, 2007, 60 p. [photos]
* Tanqui Perron, Le Dos au mur, Paris : Scope éd., 2007, 125 p. [photos] (fr)
- * "Art noir", dans L'Afrique noire, Paris: éd. Odé, 1952, p. 29-49
* Regards sur le mouvement ouvrier, Paris: Le Seuil, 1952, 250 p.
* "L'avant-garde française : Entr'acte de René Clair, Un chien andalou de Luis Bunuel, Le Sang d'un poète de Jean Cocteau" ; "Le film d'un auteur : La Passion de Jeanne d'Arc C. Th. Dreyer et "Postface. Cinéma, art du XXIe siècle ?" , dans Regards neufs sur le cinéma, Paris: Le Seuil, 1953, 507 p.
* "Une conversation sur la chanson entre un critique, Pierre Barlatier, un auteur, Francis Lemarque, un professeur, Solange Demolière, un folkloriste, Maurice Delarue, et un auditeur, Chris Marker" et "Demi-dieux et doubles croches", p. 79-89 [dont le début est publié dans 27 rue Jacob, 11 , p. 1], dans Regards neufs sur la chanson, Paris: Le Seuil, 1954, 258 p.
* "And Now this is Cinerama..." , "Hollywood : sur place" et "Cinéma d'animation : U.P.A." , dans Cinéma 53. À travers le monde, Paris : Le Cerf, 1954, 197p.
* Un film de Federico Fellini : La Strada , Paris : Le Seuil, 1955, 122 p.
* Bénie Deswarte, Kashima Paradise, Lyon: n/a, 1975, 32 p.
* "D'un chat à l'autre" , dans M. Chat, sous la dir. de Thoma Vuille, Paris: éd. Alternatives, 2010, 140 p. (fr)
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- Christian Bouche-Villeneuve, dit Chris Marker (parfois écrit Chris. Marker), né le 29 juillet 1921 à Neuilly-sur-Seine et mort le 29 juillet 2012 à Paris, est un réalisateur, écrivain, illustrateur, traducteur, photographe, éditeur, philosophe, essayiste, critique, poète et producteur français. Pour le public, son œuvre renvoie à ses films majeurs : La Jetée, Sans soleil, Le Joli Mai, Le fond de l'air est rouge ou encore Chats perchés. Pour l’essentiel, ce sont des documentaires, définis dès le départ, selon André Bazin, comme des essais cinématographiques. (fr)
- Christian Bouche-Villeneuve, dit Chris Marker (parfois écrit Chris. Marker), né le 29 juillet 1921 à Neuilly-sur-Seine et mort le 29 juillet 2012 à Paris, est un réalisateur, écrivain, illustrateur, traducteur, photographe, éditeur, philosophe, essayiste, critique, poète et producteur français. Pour le public, son œuvre renvoie à ses films majeurs : La Jetée, Sans soleil, Le Joli Mai, Le fond de l'air est rouge ou encore Chats perchés. Pour l’essentiel, ce sont des documentaires, définis dès le départ, selon André Bazin, comme des essais cinématographiques. (fr)
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