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- L'Action démocratique du Québec (ADQ) était un parti politique québécois présent sur la scène provinciale de 1994 à 2012. Il s'agissait d'un parti qui militait pour une réforme du modèle québécois. Il souhaitait être la « troisième voie », créant un pont entre les souverainistes et les fédéralistes, le parti se décrivant autonomiste. L'Action démocratique proposait notamment de réduire la taille de l'État et d'axer les politiques publiques sur une plus grande liberté de choix pour les citoyens. Par rapport au débat sur le statut politique du Québec, l'Action démocratique se définissait comme étant autonomiste. Son programme prévoyait le rapatriement au Québec de plusieurs pouvoirs et l'occupation de tous les champs de juridiction québécoise. L'Action démocratique avait appuyé le camp du Oui lors du référendum de 1995 sur la souveraineté du Québec. Par la suite, le parti ne souhaitait plus que le Québec tienne de référendum sur la question. L'Action démocratique a formé durant un an et demi l'opposition officielle à l'Assemblée nationale du Québec (2007-2008) en faisant élire 41 députés lors de l'élection de 2007. Au moment de sa dissolution, elle avait quatre députés à l'Assemblée nationale. Les membres de l'ADQ se faisait appeler « adéquistes », tout comme les partisans. En décembre 2011, l'exécutif de l'Action démocratique a annoncé son souhait de fusionner avec la Coalition avenir Québec (CAQ). Le 22 janvier 2012, après l'appel au vote des 2 500 membres, les adéquistes votent à 70 % en faveur de la fusion de l'ADQ avec la CAQ. L'ADQ fusionne avec la CAQ le 14 février 2012. (fr)
- L'Action démocratique du Québec (ADQ) était un parti politique québécois présent sur la scène provinciale de 1994 à 2012. Il s'agissait d'un parti qui militait pour une réforme du modèle québécois. Il souhaitait être la « troisième voie », créant un pont entre les souverainistes et les fédéralistes, le parti se décrivant autonomiste. L'Action démocratique proposait notamment de réduire la taille de l'État et d'axer les politiques publiques sur une plus grande liberté de choix pour les citoyens. Par rapport au débat sur le statut politique du Québec, l'Action démocratique se définissait comme étant autonomiste. Son programme prévoyait le rapatriement au Québec de plusieurs pouvoirs et l'occupation de tous les champs de juridiction québécoise. L'Action démocratique avait appuyé le camp du Oui lors du référendum de 1995 sur la souveraineté du Québec. Par la suite, le parti ne souhaitait plus que le Québec tienne de référendum sur la question. L'Action démocratique a formé durant un an et demi l'opposition officielle à l'Assemblée nationale du Québec (2007-2008) en faisant élire 41 députés lors de l'élection de 2007. Au moment de sa dissolution, elle avait quatre députés à l'Assemblée nationale. Les membres de l'ADQ se faisait appeler « adéquistes », tout comme les partisans. En décembre 2011, l'exécutif de l'Action démocratique a annoncé son souhait de fusionner avec la Coalition avenir Québec (CAQ). Le 22 janvier 2012, après l'appel au vote des 2 500 membres, les adéquistes votent à 70 % en faveur de la fusion de l'ADQ avec la CAQ. L'ADQ fusionne avec la CAQ le 14 février 2012. (fr)
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