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- L'abbaye de Varennes située dans la commune française de Fougerolles, est une abbaye créée au XIIe siècle, sur l'emplacement d'une installation antérieure des disciples de Saint-Benoît du VIe siècle qui a été détruite. C'est en 1148, que le prince Ebbes II de Déols, de la Maison de La Châtre, sixième fils de Raoul II, dit le Chauve et le Grand, prince de Déols, fait venir des moines de l'abbaye de Vauluisant pour fonder un monastère affilié à l'ordre cistercien. Érigée en abbaye royale par Henri II Plantagenêt en 1155, elle connaît deux siècles de prospérité. Elle reçoit des dons en argent, terres et bétail, des forêts, et des avantages, comme la franchise d'impôt, accordée par Ythier de Magnac en 1276. Guillaume III de Chauvigny, en 1294, leur concède une exemption d'impôt sur certaines terres. Un inventaire, dressé sur demande de Philippe VI de Valois en 1333 montre que les revenus de Varennes et de l'abbaye de Noirlac étaient équivalents. À partir de la deuxième moitié du XVe siècle, l'abbaye évolue vers une exploitation agricole qui doit fournir un revenu aux abbés commendataires. Bientôt, les religieux ne sont plus assez nombreux, et ils font appel à des ouvriers agricoles ou donnent des terres en fermage. Aux XVIIe et XVIIIe siècles, sa situation se dégrade plutôt en comparaison avec les abbayes voisines. Ainsi, ses revenus ne sont plus que la moitié de ceux de l'abbaye de Noirlac. Son histoire se termine à la Révolution, où l'abbaye est transformée en exploitation agricole et le cloître est démoli. Depuis 1980, l'ensemble est en cours de restauration par ses propriétaires. (fr)
- L'abbaye de Varennes située dans la commune française de Fougerolles, est une abbaye créée au XIIe siècle, sur l'emplacement d'une installation antérieure des disciples de Saint-Benoît du VIe siècle qui a été détruite. C'est en 1148, que le prince Ebbes II de Déols, de la Maison de La Châtre, sixième fils de Raoul II, dit le Chauve et le Grand, prince de Déols, fait venir des moines de l'abbaye de Vauluisant pour fonder un monastère affilié à l'ordre cistercien. Érigée en abbaye royale par Henri II Plantagenêt en 1155, elle connaît deux siècles de prospérité. Elle reçoit des dons en argent, terres et bétail, des forêts, et des avantages, comme la franchise d'impôt, accordée par Ythier de Magnac en 1276. Guillaume III de Chauvigny, en 1294, leur concède une exemption d'impôt sur certaines terres. Un inventaire, dressé sur demande de Philippe VI de Valois en 1333 montre que les revenus de Varennes et de l'abbaye de Noirlac étaient équivalents. À partir de la deuxième moitié du XVe siècle, l'abbaye évolue vers une exploitation agricole qui doit fournir un revenu aux abbés commendataires. Bientôt, les religieux ne sont plus assez nombreux, et ils font appel à des ouvriers agricoles ou donnent des terres en fermage. Aux XVIIe et XVIIIe siècles, sa situation se dégrade plutôt en comparaison avec les abbayes voisines. Ainsi, ses revenus ne sont plus que la moitié de ceux de l'abbaye de Noirlac. Son histoire se termine à la Révolution, où l'abbaye est transformée en exploitation agricole et le cloître est démoli. Depuis 1980, l'ensemble est en cours de restauration par ses propriétaires. (fr)
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- L'abbaye de Varennes située dans la commune française de Fougerolles, est une abbaye créée au XIIe siècle, sur l'emplacement d'une installation antérieure des disciples de Saint-Benoît du VIe siècle qui a été détruite. À partir de la deuxième moitié du XVe siècle, l'abbaye évolue vers une exploitation agricole qui doit fournir un revenu aux abbés commendataires. Bientôt, les religieux ne sont plus assez nombreux, et ils font appel à des ouvriers agricoles ou donnent des terres en fermage. Depuis 1980, l'ensemble est en cours de restauration par ses propriétaires. (fr)
- L'abbaye de Varennes située dans la commune française de Fougerolles, est une abbaye créée au XIIe siècle, sur l'emplacement d'une installation antérieure des disciples de Saint-Benoît du VIe siècle qui a été détruite. À partir de la deuxième moitié du XVe siècle, l'abbaye évolue vers une exploitation agricole qui doit fournir un revenu aux abbés commendataires. Bientôt, les religieux ne sont plus assez nombreux, et ils font appel à des ouvriers agricoles ou donnent des terres en fermage. Depuis 1980, l'ensemble est en cours de restauration par ses propriétaires. (fr)
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