dbo:abstract
|
- Surnommée la « Louise Michel argentine », Virginia Bolten, née le 26 décembre 1876 à San Luis (Argentine) et morte vers 1960 à Montevideo (Uruguay), est une anarcha-féminisme et communiste libertaire argentine d'origine allemande. Elle publie en Argentine de 1896 à 1897, La Voz de la Mujer (La Voix de la Femme), premier journal féministe et révolutionnaire au sein de la classe ouvrière, première publication anarcha-féministe au monde. En épigraphe : « Ni dios, ni patron, ni marido » (« Ni dieu, ni patron, ni mari »). (fr)
- Surnommée la « Louise Michel argentine », Virginia Bolten, née le 26 décembre 1876 à San Luis (Argentine) et morte vers 1960 à Montevideo (Uruguay), est une anarcha-féminisme et communiste libertaire argentine d'origine allemande. Elle publie en Argentine de 1896 à 1897, La Voz de la Mujer (La Voix de la Femme), premier journal féministe et révolutionnaire au sein de la classe ouvrière, première publication anarcha-féministe au monde. En épigraphe : « Ni dios, ni patron, ni marido » (« Ni dieu, ni patron, ni mari »). (fr)
|
rdfs:comment
|
- Surnommée la « Louise Michel argentine », Virginia Bolten, née le 26 décembre 1876 à San Luis (Argentine) et morte vers 1960 à Montevideo (Uruguay), est une anarcha-féminisme et communiste libertaire argentine d'origine allemande. Elle publie en Argentine de 1896 à 1897, La Voz de la Mujer (La Voix de la Femme), premier journal féministe et révolutionnaire au sein de la classe ouvrière, première publication anarcha-féministe au monde. En épigraphe : « Ni dios, ni patron, ni marido » (« Ni dieu, ni patron, ni mari »). (fr)
- Surnommée la « Louise Michel argentine », Virginia Bolten, née le 26 décembre 1876 à San Luis (Argentine) et morte vers 1960 à Montevideo (Uruguay), est une anarcha-féminisme et communiste libertaire argentine d'origine allemande. Elle publie en Argentine de 1896 à 1897, La Voz de la Mujer (La Voix de la Femme), premier journal féministe et révolutionnaire au sein de la classe ouvrière, première publication anarcha-féministe au monde. En épigraphe : « Ni dios, ni patron, ni marido » (« Ni dieu, ni patron, ni mari »). (fr)
|