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- Le principe technique des locomotives T15 a été mis au point en 1891 par dans son usine d'Erfurt. En effet, cet ingénieur cherchait à répondre à cette simple question : réaliser une locomotive à vapeur de type 050 T apte à circuler sur une ligne de montagne avec des rayons de courbure de l'ordre de 200 à 400 m. Certes il existait déjà le système mis en place par l'ingénieur Mallet, mais cela impliquait des conduites de vapeur articulées complexes et fragiles. Hagans mis alors au point une solution d'articulation en conservant un circuit de vapeur classique. Son système est basé sur la réalisation en deux parties du châssis : les trois premiers essieux moteurs sont disposés classiquement à l'avant d'un châssis fixe sur lequel sont disposés à l'avant les deux cylindres, d'une manière toute aussi conventionnelle. Les deux derniers essieux, situés à l'arrière, forment un ensemble avec un châssis indépendant relié par une articulation au châssis de la machine. Le mouvement est transmis par l'intermédiaire de deux balanciers réunis par une longue bielle de liaison depuis les pistons. (fr)
- Le principe technique des locomotives T15 a été mis au point en 1891 par dans son usine d'Erfurt. En effet, cet ingénieur cherchait à répondre à cette simple question : réaliser une locomotive à vapeur de type 050 T apte à circuler sur une ligne de montagne avec des rayons de courbure de l'ordre de 200 à 400 m. Certes il existait déjà le système mis en place par l'ingénieur Mallet, mais cela impliquait des conduites de vapeur articulées complexes et fragiles. Hagans mis alors au point une solution d'articulation en conservant un circuit de vapeur classique. Son système est basé sur la réalisation en deux parties du châssis : les trois premiers essieux moteurs sont disposés classiquement à l'avant d'un châssis fixe sur lequel sont disposés à l'avant les deux cylindres, d'une manière toute aussi conventionnelle. Les deux derniers essieux, situés à l'arrière, forment un ensemble avec un châssis indépendant relié par une articulation au châssis de la machine. Le mouvement est transmis par l'intermédiaire de deux balanciers réunis par une longue bielle de liaison depuis les pistons. (fr)
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- La guerre 1914 - 1918 et les locomotives "Armistice" (fr)
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- Le principe technique des locomotives T15 a été mis au point en 1891 par dans son usine d'Erfurt. En effet, cet ingénieur cherchait à répondre à cette simple question : réaliser une locomotive à vapeur de type 050 T apte à circuler sur une ligne de montagne avec des rayons de courbure de l'ordre de 200 à 400 m. Certes il existait déjà le système mis en place par l'ingénieur Mallet, mais cela impliquait des conduites de vapeur articulées complexes et fragiles. Hagans mis alors au point une solution d'articulation en conservant un circuit de vapeur classique. Son système est basé sur la réalisation en deux parties du châssis : les trois premiers essieux moteurs sont disposés classiquement à l'avant d'un châssis fixe sur lequel sont disposés à l'avant les deux cylindres, d'une manière toute (fr)
- Le principe technique des locomotives T15 a été mis au point en 1891 par dans son usine d'Erfurt. En effet, cet ingénieur cherchait à répondre à cette simple question : réaliser une locomotive à vapeur de type 050 T apte à circuler sur une ligne de montagne avec des rayons de courbure de l'ordre de 200 à 400 m. Certes il existait déjà le système mis en place par l'ingénieur Mallet, mais cela impliquait des conduites de vapeur articulées complexes et fragiles. Hagans mis alors au point une solution d'articulation en conservant un circuit de vapeur classique. Son système est basé sur la réalisation en deux parties du châssis : les trois premiers essieux moteurs sont disposés classiquement à l'avant d'un châssis fixe sur lequel sont disposés à l'avant les deux cylindres, d'une manière toute (fr)
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- Preußische T 15 (de)
- T15 ex-Prusse (fr)
- Preußische T 15 (de)
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