Les réseaux clandestins de l'OTAN pendant la guerre froide, dits Stay-behind, étaient actifs dans la quasi-totalité des pays d'Europe occidentale, dont la Belgique. Révélés en Italie le 24 octobre 1990 par le président du Conseil Giulio Andreotti sous le nom Gladio (Glaive en italien), ces réseaux paramilitaires visaient à se préparer en cas d'invasion soviétique, notamment par le biais de mise en place de réseaux d'évacuation et par l'entraînement à la guerre de partisans. Des caches d'armes à la disposition de ces armées secrètes étaient enfouies un peu partout sur le territoire européen.

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  • Les réseaux clandestins de l'OTAN pendant la guerre froide, dits Stay-behind, étaient actifs dans la quasi-totalité des pays d'Europe occidentale, dont la Belgique. Révélés en Italie le 24 octobre 1990 par le président du Conseil Giulio Andreotti sous le nom Gladio (Glaive en italien), ces réseaux paramilitaires visaient à se préparer en cas d'invasion soviétique, notamment par le biais de mise en place de réseaux d'évacuation et par l'entraînement à la guerre de partisans. Des caches d'armes à la disposition de ces armées secrètes étaient enfouies un peu partout sur le territoire européen. (fr)
  • Les réseaux clandestins de l'OTAN pendant la guerre froide, dits Stay-behind, étaient actifs dans la quasi-totalité des pays d'Europe occidentale, dont la Belgique. Révélés en Italie le 24 octobre 1990 par le président du Conseil Giulio Andreotti sous le nom Gladio (Glaive en italien), ces réseaux paramilitaires visaient à se préparer en cas d'invasion soviétique, notamment par le biais de mise en place de réseaux d'évacuation et par l'entraînement à la guerre de partisans. Des caches d'armes à la disposition de ces armées secrètes étaient enfouies un peu partout sur le territoire européen. (fr)
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  • Les réseaux clandestins de l'OTAN pendant la guerre froide, dits Stay-behind, étaient actifs dans la quasi-totalité des pays d'Europe occidentale, dont la Belgique. Révélés en Italie le 24 octobre 1990 par le président du Conseil Giulio Andreotti sous le nom Gladio (Glaive en italien), ces réseaux paramilitaires visaient à se préparer en cas d'invasion soviétique, notamment par le biais de mise en place de réseaux d'évacuation et par l'entraînement à la guerre de partisans. Des caches d'armes à la disposition de ces armées secrètes étaient enfouies un peu partout sur le territoire européen. (fr)
  • Les réseaux clandestins de l'OTAN pendant la guerre froide, dits Stay-behind, étaient actifs dans la quasi-totalité des pays d'Europe occidentale, dont la Belgique. Révélés en Italie le 24 octobre 1990 par le président du Conseil Giulio Andreotti sous le nom Gladio (Glaive en italien), ces réseaux paramilitaires visaient à se préparer en cas d'invasion soviétique, notamment par le biais de mise en place de réseaux d'évacuation et par l'entraînement à la guerre de partisans. Des caches d'armes à la disposition de ces armées secrètes étaient enfouies un peu partout sur le territoire européen. (fr)
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  • Belgian stay-behind network (en)
  • Stay-behind en Belgique (fr)
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