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- Il existe plusieurs dizaines de sommets des Alpes de plus de 4 000 mètres. Ceux-ci se trouvent en Suisse, en Italie et en France, essentiellement dans les Alpes pennines, le massif du Mont-Blanc et les Alpes bernoises, mais aussi le massif des Écrins, le massif du Grand-Paradis et la chaîne de la Bernina. Dès la fin du XIXe siècle est apparue, chez les alpinistes, l'ambition de collectionner les sommets dépassant cette altitude symbolique. Le premier à revendiquer les avoir tous gravis est, au début du XXe siècle, l'Autrichien Karl Blodig, sur la base d'une liste d'une soixantaine de sommets. Compte tenu de la structure souvent complexe des montagnes, une liste close doit distinguer les « vrais » sommets des sommets secondaires, antécimes, épaules, bosses, pointes et gendarmes divers, qui dépassent l'altitude fatidique. Plusieurs listes ont coexisté jusqu'au début des années 1990, où est également apparue l'idée d'enchaîner, de façon continue et en un temps limité l'ensemble des plus de 4 000. En 1994, l'Union internationale des associations d'alpinisme (UIAA), en prenant en compte à la fois des critères topographiques, morphologiques et « alpinistiques », a défini une liste « officielle » de 82 sommets de plus de 4 000 m. D'autres listes existent, avec des critères plus ou moins stricts, comptabilisant de 50 à 89 sommets principaux, ainsi que des listes de sommets secondaires, avec lesquelles on arrive en tout à près de 200. (fr)
- Il existe plusieurs dizaines de sommets des Alpes de plus de 4 000 mètres. Ceux-ci se trouvent en Suisse, en Italie et en France, essentiellement dans les Alpes pennines, le massif du Mont-Blanc et les Alpes bernoises, mais aussi le massif des Écrins, le massif du Grand-Paradis et la chaîne de la Bernina. Dès la fin du XIXe siècle est apparue, chez les alpinistes, l'ambition de collectionner les sommets dépassant cette altitude symbolique. Le premier à revendiquer les avoir tous gravis est, au début du XXe siècle, l'Autrichien Karl Blodig, sur la base d'une liste d'une soixantaine de sommets. Compte tenu de la structure souvent complexe des montagnes, une liste close doit distinguer les « vrais » sommets des sommets secondaires, antécimes, épaules, bosses, pointes et gendarmes divers, qui dépassent l'altitude fatidique. Plusieurs listes ont coexisté jusqu'au début des années 1990, où est également apparue l'idée d'enchaîner, de façon continue et en un temps limité l'ensemble des plus de 4 000. En 1994, l'Union internationale des associations d'alpinisme (UIAA), en prenant en compte à la fois des critères topographiques, morphologiques et « alpinistiques », a défini une liste « officielle » de 82 sommets de plus de 4 000 m. D'autres listes existent, avec des critères plus ou moins stricts, comptabilisant de 50 à 89 sommets principaux, ainsi que des listes de sommets secondaires, avec lesquelles on arrive en tout à près de 200. (fr)
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- Il existe plusieurs dizaines de sommets des Alpes de plus de 4 000 mètres. Ceux-ci se trouvent en Suisse, en Italie et en France, essentiellement dans les Alpes pennines, le massif du Mont-Blanc et les Alpes bernoises, mais aussi le massif des Écrins, le massif du Grand-Paradis et la chaîne de la Bernina. (fr)
- Il existe plusieurs dizaines de sommets des Alpes de plus de 4 000 mètres. Ceux-ci se trouvent en Suisse, en Italie et en France, essentiellement dans les Alpes pennines, le massif du Mont-Blanc et les Alpes bernoises, mais aussi le massif des Écrins, le massif du Grand-Paradis et la chaîne de la Bernina. (fr)
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