Le virus du papillome humain (VPH) est responsable de près de 5 % de tous les cancers humains, ce qui représente le tiers de ceux induits par des virus. Il semble cependant que certaines souches du virus soient considérées à haut risque cancérigène (VPH-16) principalement par la présence de certains polymorphismes dans les produits des gènes précoces E6-E7. En effet, ces oncoprotéines semblent être assez bien conservées dans la plupart des types de VPH et souvent facilement identifiables par de simples tests de détection. L’expression de ces oncoprotéines est généralement une étape essentielle pour le développement et la mise en place d’un phénotype malin. La fréquence d’intégration du virus dans l’ADN semble aussi être proportionnelle à la sévérité de la maladie. Les protéines E6-E7 sont

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  • Le virus du papillome humain (VPH) est responsable de près de 5 % de tous les cancers humains, ce qui représente le tiers de ceux induits par des virus. Il semble cependant que certaines souches du virus soient considérées à haut risque cancérigène (VPH-16) principalement par la présence de certains polymorphismes dans les produits des gènes précoces E6-E7. En effet, ces oncoprotéines semblent être assez bien conservées dans la plupart des types de VPH et souvent facilement identifiables par de simples tests de détection. L’expression de ces oncoprotéines est généralement une étape essentielle pour le développement et la mise en place d’un phénotype malin. La fréquence d’intégration du virus dans l’ADN semble aussi être proportionnelle à la sévérité de la maladie. Les protéines E6-E7 sont responsables du développement de plusieurs stratégies afin d’échapper à la surveillance du système immunitaire et de supporter la persistance du virus. D’autant plus, ces protéines rendent plus permissives les mutations et dommages dans l’ADN, l’altération du cycle cellulaire et un contrôle de l’apoptose par différents mécanismes. (fr)
  • Le virus du papillome humain (VPH) est responsable de près de 5 % de tous les cancers humains, ce qui représente le tiers de ceux induits par des virus. Il semble cependant que certaines souches du virus soient considérées à haut risque cancérigène (VPH-16) principalement par la présence de certains polymorphismes dans les produits des gènes précoces E6-E7. En effet, ces oncoprotéines semblent être assez bien conservées dans la plupart des types de VPH et souvent facilement identifiables par de simples tests de détection. L’expression de ces oncoprotéines est généralement une étape essentielle pour le développement et la mise en place d’un phénotype malin. La fréquence d’intégration du virus dans l’ADN semble aussi être proportionnelle à la sévérité de la maladie. Les protéines E6-E7 sont responsables du développement de plusieurs stratégies afin d’échapper à la surveillance du système immunitaire et de supporter la persistance du virus. D’autant plus, ces protéines rendent plus permissives les mutations et dommages dans l’ADN, l’altération du cycle cellulaire et un contrôle de l’apoptose par différents mécanismes. (fr)
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  • Le virus du papillome humain (VPH) est responsable de près de 5 % de tous les cancers humains, ce qui représente le tiers de ceux induits par des virus. Il semble cependant que certaines souches du virus soient considérées à haut risque cancérigène (VPH-16) principalement par la présence de certains polymorphismes dans les produits des gènes précoces E6-E7. En effet, ces oncoprotéines semblent être assez bien conservées dans la plupart des types de VPH et souvent facilement identifiables par de simples tests de détection. L’expression de ces oncoprotéines est généralement une étape essentielle pour le développement et la mise en place d’un phénotype malin. La fréquence d’intégration du virus dans l’ADN semble aussi être proportionnelle à la sévérité de la maladie. Les protéines E6-E7 sont (fr)
  • Le virus du papillome humain (VPH) est responsable de près de 5 % de tous les cancers humains, ce qui représente le tiers de ceux induits par des virus. Il semble cependant que certaines souches du virus soient considérées à haut risque cancérigène (VPH-16) principalement par la présence de certains polymorphismes dans les produits des gènes précoces E6-E7. En effet, ces oncoprotéines semblent être assez bien conservées dans la plupart des types de VPH et souvent facilement identifiables par de simples tests de détection. L’expression de ces oncoprotéines est généralement une étape essentielle pour le développement et la mise en place d’un phénotype malin. La fréquence d’intégration du virus dans l’ADN semble aussi être proportionnelle à la sévérité de la maladie. Les protéines E6-E7 sont (fr)
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  • Protéines E6-E7 du virus du papillome humain (fr)
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