Les oiran (花魁, « premières fleurs ») étaient des courtisanes de haut rang au Japon, célèbres en particulier au cours de l'époque d'Edo. Ce sont les principaux personnages du « monde des fleurs et des saules » (花柳界, karyūkai). Les maisons où elles demeuraient se nommaient les « maisons vertes » (seirō). Elles se distinguent des prostituées ordinaires par leur maîtrise des arts, notamment la danse et le chant, et le fait que certaines soient devenues célèbres hors des quartiers de plaisir.

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  • Les oiran (花魁, « premières fleurs ») étaient des courtisanes de haut rang au Japon, célèbres en particulier au cours de l'époque d'Edo. Ce sont les principaux personnages du « monde des fleurs et des saules » (花柳界, karyūkai). Les maisons où elles demeuraient se nommaient les « maisons vertes » (seirō). Elles se distinguent des prostituées ordinaires par leur maîtrise des arts, notamment la danse et le chant, et le fait que certaines soient devenues célèbres hors des quartiers de plaisir. Les deux termes, oiran et tayū (太夫 / 大夫), sont souvent utilisés de façon indifférenciée. En réalité, le terme tayū est le premier apparu ; il désigne toujours une courtisane du plus haut niveau et faisant montre de talent en matière de danse et de chant. Le terme oiran est apparu plus tard : les oiran sont également des courtisanes de haut niveau, mais sans connaissance particulière de la danse ou du chant, car sont alors apparues les geishas (« personne qui pratique les arts »), qui, sans être des courtisanes elles-mêmes, ont repris à leur compte danse et chant. (fr)
  • Les oiran (花魁, « premières fleurs ») étaient des courtisanes de haut rang au Japon, célèbres en particulier au cours de l'époque d'Edo. Ce sont les principaux personnages du « monde des fleurs et des saules » (花柳界, karyūkai). Les maisons où elles demeuraient se nommaient les « maisons vertes » (seirō). Elles se distinguent des prostituées ordinaires par leur maîtrise des arts, notamment la danse et le chant, et le fait que certaines soient devenues célèbres hors des quartiers de plaisir. Les deux termes, oiran et tayū (太夫 / 大夫), sont souvent utilisés de façon indifférenciée. En réalité, le terme tayū est le premier apparu ; il désigne toujours une courtisane du plus haut niveau et faisant montre de talent en matière de danse et de chant. Le terme oiran est apparu plus tard : les oiran sont également des courtisanes de haut niveau, mais sans connaissance particulière de la danse ou du chant, car sont alors apparues les geishas (« personne qui pratique les arts »), qui, sans être des courtisanes elles-mêmes, ont repris à leur compte danse et chant. (fr)
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  • Hélène Bayou (fr)
  • Cecilia Segawa Seigle (fr)
  • Elizabeth de Sabato Swinton (fr)
  • Gary Hickey (fr)
  • Hideko Fukumoto (fr)
  • J. E. DeBecker (fr)
  • Paul Abinder (fr)
  • Stephen et Ethel Longstreet (fr)
  • Elizabeth de Sabato Swinton, Kazue Edamatsu Campbell, Liza Crihfield Dalby et Mark Oshima (fr)
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  • Le Tunnel de Platon (fr)
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  • Japanese Art Society of America (fr)
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  • www.auelib.aichi-edu.ac.jp (fr)
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prop-fr:titre
  • Images du monde flottant. Peintures et estampes japonaises - siècles (fr)
  • Yoshiwara: The Glittering World of the Japanese Courtesan (fr)
  • The Nightless City or The History of the Yoshiwara Yukwaku (fr)
  • Beauty and Desire in Edo Period Japan (fr)
  • Geishas et prostituées (fr)
  • Reflections on the Floating World (fr)
  • Tayu no dochu (fr)
  • Yoshiwara: The Pleasure Quarters of Old Tokyo (fr)
  • Courtesan and Geisha: The Real Women of the Pleasure Quarter (fr)
  • The Women of the Pleasure Quarter: Japanese Paintings and Prints of the Floating World (fr)
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  • University of Hawaii Press (fr)
  • Réunion des Musées Nationaux (fr)
  • Hudson Hills Press (fr)
  • Éditions du Petit Véhicule (fr)
  • National Gallery of Australia (fr)
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  • Les oiran (花魁, « premières fleurs ») étaient des courtisanes de haut rang au Japon, célèbres en particulier au cours de l'époque d'Edo. Ce sont les principaux personnages du « monde des fleurs et des saules » (花柳界, karyūkai). Les maisons où elles demeuraient se nommaient les « maisons vertes » (seirō). Elles se distinguent des prostituées ordinaires par leur maîtrise des arts, notamment la danse et le chant, et le fait que certaines soient devenues célèbres hors des quartiers de plaisir. (fr)
  • Les oiran (花魁, « premières fleurs ») étaient des courtisanes de haut rang au Japon, célèbres en particulier au cours de l'époque d'Edo. Ce sont les principaux personnages du « monde des fleurs et des saules » (花柳界, karyūkai). Les maisons où elles demeuraient se nommaient les « maisons vertes » (seirō). Elles se distinguent des prostituées ordinaires par leur maîtrise des arts, notamment la danse et le chant, et le fait que certaines soient devenues célèbres hors des quartiers de plaisir. (fr)
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