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- En mycologie, le mot membrane a longtemps été pris dans le sens de « paroi cellulaire », notamment en parlant de la . Mais la mycologie moderne doit tenir compte de l'évolution terminologique de la « membrane » en cytologie, dans le sens restrictif d'une formation, souple et extrêmement mince, limitant le protoplasme. En biologie cellulaire, la membrane est une substance, fluide et déformable, composée essentiellement de phosphoaminolipides (PAL) qui s'agencent spontanément en formant deux couches parallèles imperméables, délimitant des compartiments. Ainsi, la membrane plasmique délimite la cellule entière, la membrane vacuolaire (ou tonoplaste) délimite la vacuole à l'intérieur de la cellule, etc. (fr)
- En mycologie, le mot membrane a longtemps été pris dans le sens de « paroi cellulaire », notamment en parlant de la . Mais la mycologie moderne doit tenir compte de l'évolution terminologique de la « membrane » en cytologie, dans le sens restrictif d'une formation, souple et extrêmement mince, limitant le protoplasme. En biologie cellulaire, la membrane est une substance, fluide et déformable, composée essentiellement de phosphoaminolipides (PAL) qui s'agencent spontanément en formant deux couches parallèles imperméables, délimitant des compartiments. Ainsi, la membrane plasmique délimite la cellule entière, la membrane vacuolaire (ou tonoplaste) délimite la vacuole à l'intérieur de la cellule, etc. (fr)
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- En mycologie, le mot membrane a longtemps été pris dans le sens de « paroi cellulaire », notamment en parlant de la . Mais la mycologie moderne doit tenir compte de l'évolution terminologique de la « membrane » en cytologie, dans le sens restrictif d'une formation, souple et extrêmement mince, limitant le protoplasme. En biologie cellulaire, la membrane est une substance, fluide et déformable, composée essentiellement de phosphoaminolipides (PAL) qui s'agencent spontanément en formant deux couches parallèles imperméables, délimitant des compartiments. (fr)
- En mycologie, le mot membrane a longtemps été pris dans le sens de « paroi cellulaire », notamment en parlant de la . Mais la mycologie moderne doit tenir compte de l'évolution terminologique de la « membrane » en cytologie, dans le sens restrictif d'une formation, souple et extrêmement mince, limitant le protoplasme. En biologie cellulaire, la membrane est une substance, fluide et déformable, composée essentiellement de phosphoaminolipides (PAL) qui s'agencent spontanément en formant deux couches parallèles imperméables, délimitant des compartiments. (fr)
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