dbo:abstract
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- En astronomie, la loi de Hubble-Lemaître (anciennement loi de Hubble) énonce que les galaxies s'éloignent les unes des autres à une vitesse approximativement proportionnelle à leur distance. Autrement dit, plus une galaxie est loin de nous, plus elle semble s'éloigner rapidement. Cette loi ne concerne que la partie de l'univers accessible aux observations. L'extrapolation de la loi de Hubble-Lemaître sur des distances plus grandes est possible, mais uniquement si l'univers demeure homogène et isotrope sur de plus grandes distances. (fr)
- En astronomie, la loi de Hubble-Lemaître (anciennement loi de Hubble) énonce que les galaxies s'éloignent les unes des autres à une vitesse approximativement proportionnelle à leur distance. Autrement dit, plus une galaxie est loin de nous, plus elle semble s'éloigner rapidement. Cette loi ne concerne que la partie de l'univers accessible aux observations. L'extrapolation de la loi de Hubble-Lemaître sur des distances plus grandes est possible, mais uniquement si l'univers demeure homogène et isotrope sur de plus grandes distances. (fr)
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prop-fr:contenu
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- En l'absence de courbure spatiale, ces deux distances se déduisent de d par les formules
:,
:.
En remplaçant d par l'une ou l'autre de ces expressions dans la formule trouvée précédemment, on trouve immédiatement les résultats énoncés. (fr)
- La métrique considérée étant de type Friedmann-Lemaître-Robertson-Walker, l'élément de longueur s'écrit, en supposant la courbure spatiale nulle,
:,
où représente l'élément de longueur en coordonnées comobiles, par rapport auxquelles les galaxies ont un mouvement négligeable. Cette relation peut se réécrire en introduisant le temps conforme en :
: .
Un photon est une particule de genre lumière, sa propagation se fait selon
:,
ce qui s'écrit immédiatement :
:,
c'est-à-dire que la distance en coordonnées comobile de la galaxie est exactement égale à l'intervalle en temps conforme. La distance physique se déduisant de la distance comobile par la formule
:,
la distance de la galaxie peut s'écrire
:,
où l'on précise que le facteur d'échelle aujourd'hui est évalué à la valeur actuelle du temps conforme, .
De plus, le facteur d'échelle au moment de l'émission de la lumière de la galaxie est relié à la valeur actuelle et au redshift par la formule
:,
mais cette formule correspond aussi à la valeur du facteur d'échelle à l'époque où le temps conforme valait . On a donc
:.
Il suffit désormais d'effectuer un développement limité de cette expression. On pose
:.
D'après la définition du temps conforme, les dérivée par rapport à celui-ci se relient à celles par rapport au temps cosmique t par
:.
En utilisant l'expression ci-dessus, il vient :
:.
En introduisant le paramètre de décélération défini par
:,
il vient
:.
En développant le terme de gauche en z et en ne gardant que les termes d'ordre 2 en z et en d, on trouve finalement
: (fr)
- En l'absence de courbure spatiale, ces deux distances se déduisent de d par les formules
:,
:.
En remplaçant d par l'une ou l'autre de ces expressions dans la formule trouvée précédemment, on trouve immédiatement les résultats énoncés. (fr)
- La métrique considérée étant de type Friedmann-Lemaître-Robertson-Walker, l'élément de longueur s'écrit, en supposant la courbure spatiale nulle,
:,
où représente l'élément de longueur en coordonnées comobiles, par rapport auxquelles les galaxies ont un mouvement négligeable. Cette relation peut se réécrire en introduisant le temps conforme en :
: .
Un photon est une particule de genre lumière, sa propagation se fait selon
:,
ce qui s'écrit immédiatement :
:,
c'est-à-dire que la distance en coordonnées comobile de la galaxie est exactement égale à l'intervalle en temps conforme. La distance physique se déduisant de la distance comobile par la formule
:,
la distance de la galaxie peut s'écrire
:,
où l'on précise que le facteur d'échelle aujourd'hui est évalué à la valeur actuelle du temps conforme, .
De plus, le facteur d'échelle au moment de l'émission de la lumière de la galaxie est relié à la valeur actuelle et au redshift par la formule
:,
mais cette formule correspond aussi à la valeur du facteur d'échelle à l'époque où le temps conforme valait . On a donc
:.
Il suffit désormais d'effectuer un développement limité de cette expression. On pose
:.
D'après la définition du temps conforme, les dérivée par rapport à celui-ci se relient à celles par rapport au temps cosmique t par
:.
En utilisant l'expression ci-dessus, il vient :
:.
En introduisant le paramètre de décélération défini par
:,
il vient
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En développant le terme de gauche en z et en ne gardant que les termes d'ordre 2 en z et en d, on trouve finalement
: (fr)
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rdfs:comment
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- En astronomie, la loi de Hubble-Lemaître (anciennement loi de Hubble) énonce que les galaxies s'éloignent les unes des autres à une vitesse approximativement proportionnelle à leur distance. Autrement dit, plus une galaxie est loin de nous, plus elle semble s'éloigner rapidement. Cette loi ne concerne que la partie de l'univers accessible aux observations. L'extrapolation de la loi de Hubble-Lemaître sur des distances plus grandes est possible, mais uniquement si l'univers demeure homogène et isotrope sur de plus grandes distances. (fr)
- En astronomie, la loi de Hubble-Lemaître (anciennement loi de Hubble) énonce que les galaxies s'éloignent les unes des autres à une vitesse approximativement proportionnelle à leur distance. Autrement dit, plus une galaxie est loin de nous, plus elle semble s'éloigner rapidement. Cette loi ne concerne que la partie de l'univers accessible aux observations. L'extrapolation de la loi de Hubble-Lemaître sur des distances plus grandes est possible, mais uniquement si l'univers demeure homogène et isotrope sur de plus grandes distances. (fr)
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