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- La Damnation de Faust, op. 24, est une œuvre pour solistes, chœurs et orchestre du compositeur français Hector Berlioz. Inspirée du premier Faust de Johann Wolfgang von Goethe et sous-titrée « Légende dramatique en quatre parties », elle a été créée à Paris, à l'Opéra-Comique, le 6 décembre 1846. Le livret est une libre adaptation, par Almire Gandonnière et Berlioz lui-même, de la pièce de Goethe telle qu'elle avait été traduite par Gérard de Nerval en 1828. Le plan en est semblable, mais le découpage et la perspective d'ensemble diffèrent considérablement de l'original. De même que Goethe s'était emparé du Faust de Christopher Marlowe, Berlioz s'est emparé de celui de Goethe et en a fait une sorte d'autoportrait musical. Trois fragments orchestraux en sont souvent joués indépendamment en concert : la Marche hongroise, le Ballet des sylphes et le Menuet des follets. D'autres passages sont également très connus : la Chanson de la puce et la Sérénade, chantées par Méphistophélès ; la Ballade du Roi de Thulé et la romance D'amour l'ardente flamme, chantées par Marguerite ; enfin l'Invocation à la nature, chantée par Faust. (fr)
- La Damnation de Faust, op. 24, est une œuvre pour solistes, chœurs et orchestre du compositeur français Hector Berlioz. Inspirée du premier Faust de Johann Wolfgang von Goethe et sous-titrée « Légende dramatique en quatre parties », elle a été créée à Paris, à l'Opéra-Comique, le 6 décembre 1846. Le livret est une libre adaptation, par Almire Gandonnière et Berlioz lui-même, de la pièce de Goethe telle qu'elle avait été traduite par Gérard de Nerval en 1828. Le plan en est semblable, mais le découpage et la perspective d'ensemble diffèrent considérablement de l'original. De même que Goethe s'était emparé du Faust de Christopher Marlowe, Berlioz s'est emparé de celui de Goethe et en a fait une sorte d'autoportrait musical. Trois fragments orchestraux en sont souvent joués indépendamment en concert : la Marche hongroise, le Ballet des sylphes et le Menuet des follets. D'autres passages sont également très connus : la Chanson de la puce et la Sérénade, chantées par Méphistophélès ; la Ballade du Roi de Thulé et la romance D'amour l'ardente flamme, chantées par Marguerite ; enfin l'Invocation à la nature, chantée par Faust. (fr)
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- La Damnation de Faust, op. 24, est une œuvre pour solistes, chœurs et orchestre du compositeur français Hector Berlioz. Inspirée du premier Faust de Johann Wolfgang von Goethe et sous-titrée « Légende dramatique en quatre parties », elle a été créée à Paris, à l'Opéra-Comique, le 6 décembre 1846. Le livret est une libre adaptation, par Almire Gandonnière et Berlioz lui-même, de la pièce de Goethe telle qu'elle avait été traduite par Gérard de Nerval en 1828. Le plan en est semblable, mais le découpage et la perspective d'ensemble diffèrent considérablement de l'original. De même que Goethe s'était emparé du Faust de Christopher Marlowe, Berlioz s'est emparé de celui de Goethe et en a fait une sorte d'autoportrait musical. (fr)
- La Damnation de Faust, op. 24, est une œuvre pour solistes, chœurs et orchestre du compositeur français Hector Berlioz. Inspirée du premier Faust de Johann Wolfgang von Goethe et sous-titrée « Légende dramatique en quatre parties », elle a été créée à Paris, à l'Opéra-Comique, le 6 décembre 1846. Le livret est une libre adaptation, par Almire Gandonnière et Berlioz lui-même, de la pièce de Goethe telle qu'elle avait été traduite par Gérard de Nerval en 1828. Le plan en est semblable, mais le découpage et la perspective d'ensemble diffèrent considérablement de l'original. De même que Goethe s'était emparé du Faust de Christopher Marlowe, Berlioz s'est emparé de celui de Goethe et en a fait une sorte d'autoportrait musical. (fr)
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