Jacques Barbeu du Bourg, né le 12 février 1709 à Mayenne et mort le 14 décembre 1779 à Paris, est un médecin, polygraphe, historien et scientifique français, connu surtout pour ses travaux de botanique. Il a aussi écrit en latin. Il utilise souvent pour ses publications des pseudonymes : Zoïlomastix, Boniface Diastillet, Alexis Diastille, Abraham Mansword, Samuel Jones, etc. Il a collaboré à l'Encyclopédie. Ami de Benjamin Franklin, il a l'idée de dresser, pour l'étude de l'histoire, des tableaux synoptiques.

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  • Jacques Barbeu du Bourg, né le 12 février 1709 à Mayenne et mort le 14 décembre 1779 à Paris, est un médecin, polygraphe, historien et scientifique français, connu surtout pour ses travaux de botanique. Il a aussi écrit en latin. Il utilise souvent pour ses publications des pseudonymes : Zoïlomastix, Boniface Diastillet, Alexis Diastille, Abraham Mansword, Samuel Jones, etc. Il a collaboré à l'Encyclopédie. Ami de Benjamin Franklin, il a l'idée de dresser, pour l'étude de l'histoire, des tableaux synoptiques. (fr)
  • Jacques Barbeu du Bourg, né le 12 février 1709 à Mayenne et mort le 14 décembre 1779 à Paris, est un médecin, polygraphe, historien et scientifique français, connu surtout pour ses travaux de botanique. Il a aussi écrit en latin. Il utilise souvent pour ses publications des pseudonymes : Zoïlomastix, Boniface Diastillet, Alexis Diastille, Abraham Mansword, Samuel Jones, etc. Il a collaboré à l'Encyclopédie. Ami de Benjamin Franklin, il a l'idée de dresser, pour l'étude de l'histoire, des tableaux synoptiques. (fr)
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  • * Le corps du parasol, dit Barbeu Dubourg, se compose : 1° d’une surface de soie bombée, mais ayant une de ses couturcs recouverte en dehors d’une petite tresse d’argent; 2° d’un manche de bois léger et long d’environ deux pieds; 3° d’une tringle de fer d’un demi-pouce de diamètre, et de huit à dix pouces de long, placée en dessus vis-à—vis du manche, et ter— minée supérieurement par un écrou; 4° d’un anneau, de baguettes et d'un ressort particulièrement situés en dessous: cet anneau, glissant sur la tringle, sert à plier et à déplier les baleines; 5° de neuf ou dix baleines, chacune de deux pièces, arc-boutées à l’ordinaire, mais placées au—dessus du taffetas; l’une de ces baleines attenante à la tresse d’argent, est armée d'un bout de cuivre terminé par un écrou. Les accessoires sont: 1° une verge de cuivre mince, longue d’un pied, terminée supérieurement par une pointe fine, et intérieurement par une vis qui s‘adapte aisément, quand on veut, à l’écrou de tringle; 2° un gros fil de laiton, d’un pied et demi de largeur, finissant par une petite vis qui au besoin se met dans l’écrou du bout de cuivre dont nous avons parlé ; 3° un rordonnet d’argent pendant au bout inférieur de ce fil de laiton, et terminé par une petite houppe de frange qui traîne à terre.. (fr)
  • *Monsieur, je vois avec plaisir que nous pensons à peu près l'un comme l'autre au sujet de l'Amérique anglaise. Nous n'avons jamais prétendu que les colonies dussent s'exempter de contribuer aux dépenses communes et nécessaires au maintien de la prospérité du royaume. Nous soutenons seulement que, puisque nous possédons des Parlemens chez nous, que nous n'avons pas de représentation dans le Parlement de la Grande-Bretagne, c'est à nos propres Parlemens de décider ce que nous pouvons et ce que nous devons dans tous les cas donner à l'Angleterre, sans qu'elle ait aucun droit de nous arracher notre argent Les différends qui se sont élevés entre les deux pays coûtent déjà au commerce de l'Angleterre plusieurs millions sterling, et l'Amérique n'a fait que gagner dans la proportion même de cette perte. Le commerce de l'Angleterre consistoit principalement en superfluités, en objets de luxe et de mode, dont nous pouvons très bien nous passer. La résolution que nous avons prise de n'en plus importer jusqu'à ce que nous ayons obtenu une juste réparation des torts que nous avons soufferts n'a fait qu'encourager un grand nombre de manufactures. Quoique naissantes, elles vont s'étendre, s'accroître, se consolider, et bientôt il ne sera pas facile de nous les faire abandonner ; elles jouiront toujours de notre protection quand bien même nous viendrions, par une circonstance inattendue, à nous réconcilier plus cordialement que jamais avec l'Angleterre. (fr)
  • *Les principaux objets que l'on rencontre dans ses Lettres sont des réflexions: * 1° sur l'électricité positive ou négative substituée au corps humain pour le traitement des maladies; * 2° la distinction de deux espèces de paralysies, l'une accompagnée de contraction, et l'autre de relâche ment, celte dernière étant plus curable par l'électricité; * 3° des réflexions sur la diversité que la différente nature des verres apporte dans les expériences électriques, un grain de sable ou tout autre corps étranger recevant dans la décharge une certaine quantité de fluide qui peut se dégager subitement et briser le verre dans les parois duquel il était renfermé; * 4° la description d'un paratonnerre construit d'après les principes de Franklin; * 5° des recherches sur les moyens de rappeler à la vie les personnes suffoquées par la foudre, ou les animaux tués par étincelle électrique; * 6° des remarques sur la population et sur les manufactures des États-Unis d'Amérique, comparées avec celles de l'Europe; * 7° des considérations sur l'inoculation en, général, et les détails de cette méthode pratiquée à Boston, la proportion des guéris et des morts fut de 8oo à 600 * 8°. des expériences sur l'art de nager; * 9° des réflexions sur la construction de l'harmonica, et sur la manière d'en tirer des sons. (fr)
  • * Le corps du parasol, dit Barbeu Dubourg, se compose : 1° d’une surface de soie bombée, mais ayant une de ses couturcs recouverte en dehors d’une petite tresse d’argent; 2° d’un manche de bois léger et long d’environ deux pieds; 3° d’une tringle de fer d’un demi-pouce de diamètre, et de huit à dix pouces de long, placée en dessus vis-à—vis du manche, et ter— minée supérieurement par un écrou; 4° d’un anneau, de baguettes et d'un ressort particulièrement situés en dessous: cet anneau, glissant sur la tringle, sert à plier et à déplier les baleines; 5° de neuf ou dix baleines, chacune de deux pièces, arc-boutées à l’ordinaire, mais placées au—dessus du taffetas; l’une de ces baleines attenante à la tresse d’argent, est armée d'un bout de cuivre terminé par un écrou. Les accessoires sont: 1° une verge de cuivre mince, longue d’un pied, terminée supérieurement par une pointe fine, et intérieurement par une vis qui s‘adapte aisément, quand on veut, à l’écrou de tringle; 2° un gros fil de laiton, d’un pied et demi de largeur, finissant par une petite vis qui au besoin se met dans l’écrou du bout de cuivre dont nous avons parlé ; 3° un rordonnet d’argent pendant au bout inférieur de ce fil de laiton, et terminé par une petite houppe de frange qui traîne à terre.. (fr)
  • *Monsieur, je vois avec plaisir que nous pensons à peu près l'un comme l'autre au sujet de l'Amérique anglaise. Nous n'avons jamais prétendu que les colonies dussent s'exempter de contribuer aux dépenses communes et nécessaires au maintien de la prospérité du royaume. Nous soutenons seulement que, puisque nous possédons des Parlemens chez nous, que nous n'avons pas de représentation dans le Parlement de la Grande-Bretagne, c'est à nos propres Parlemens de décider ce que nous pouvons et ce que nous devons dans tous les cas donner à l'Angleterre, sans qu'elle ait aucun droit de nous arracher notre argent Les différends qui se sont élevés entre les deux pays coûtent déjà au commerce de l'Angleterre plusieurs millions sterling, et l'Amérique n'a fait que gagner dans la proportion même de cette perte. Le commerce de l'Angleterre consistoit principalement en superfluités, en objets de luxe et de mode, dont nous pouvons très bien nous passer. La résolution que nous avons prise de n'en plus importer jusqu'à ce que nous ayons obtenu une juste réparation des torts que nous avons soufferts n'a fait qu'encourager un grand nombre de manufactures. Quoique naissantes, elles vont s'étendre, s'accroître, se consolider, et bientôt il ne sera pas facile de nous les faire abandonner ; elles jouiront toujours de notre protection quand bien même nous viendrions, par une circonstance inattendue, à nous réconcilier plus cordialement que jamais avec l'Angleterre. (fr)
  • *Les principaux objets que l'on rencontre dans ses Lettres sont des réflexions: * 1° sur l'électricité positive ou négative substituée au corps humain pour le traitement des maladies; * 2° la distinction de deux espèces de paralysies, l'une accompagnée de contraction, et l'autre de relâche ment, celte dernière étant plus curable par l'électricité; * 3° des réflexions sur la diversité que la différente nature des verres apporte dans les expériences électriques, un grain de sable ou tout autre corps étranger recevant dans la décharge une certaine quantité de fluide qui peut se dégager subitement et briser le verre dans les parois duquel il était renfermé; * 4° la description d'un paratonnerre construit d'après les principes de Franklin; * 5° des recherches sur les moyens de rappeler à la vie les personnes suffoquées par la foudre, ou les animaux tués par étincelle électrique; * 6° des remarques sur la population et sur les manufactures des États-Unis d'Amérique, comparées avec celles de l'Europe; * 7° des considérations sur l'inoculation en, général, et les détails de cette méthode pratiquée à Boston, la proportion des guéris et des morts fut de 8oo à 600 * 8°. des expériences sur l'art de nager; * 9° des réflexions sur la construction de l'harmonica, et sur la manière d'en tirer des sons. (fr)
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  • Contenu des lettres (fr)
  • Courrier de B. Franklin à Jacques Barbeu du Bourg (fr)
  • Description de l'invention (fr)
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  • Courrier de B. Franklin à Jacques Barbeu du Bourg (fr)
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  • Jacques Barbeu du Bourg, né le 12 février 1709 à Mayenne et mort le 14 décembre 1779 à Paris, est un médecin, polygraphe, historien et scientifique français, connu surtout pour ses travaux de botanique. Il a aussi écrit en latin. Il utilise souvent pour ses publications des pseudonymes : Zoïlomastix, Boniface Diastillet, Alexis Diastille, Abraham Mansword, Samuel Jones, etc. Il a collaboré à l'Encyclopédie. Ami de Benjamin Franklin, il a l'idée de dresser, pour l'étude de l'histoire, des tableaux synoptiques. (fr)
  • Jacques Barbeu du Bourg, né le 12 février 1709 à Mayenne et mort le 14 décembre 1779 à Paris, est un médecin, polygraphe, historien et scientifique français, connu surtout pour ses travaux de botanique. Il a aussi écrit en latin. Il utilise souvent pour ses publications des pseudonymes : Zoïlomastix, Boniface Diastillet, Alexis Diastille, Abraham Mansword, Samuel Jones, etc. Il a collaboré à l'Encyclopédie. Ami de Benjamin Franklin, il a l'idée de dresser, pour l'étude de l'histoire, des tableaux synoptiques. (fr)
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  • Jacques Barbeu du Bourg (fr)
  • Jacques Barbeu-Dubourg (de)
  • Jacques Barbeu-Dubourg (en)
  • Барбё-Дюбур, Жак (ru)
  • چاك باربيو دوبورج (arz)
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