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- L'histoire de la franc-maçonnerie à Bordeaux commence au XVIIIe siècle, lors de la création en 1732, par trois marins britanniques ou irlandais, de la première loge dite « L'Anglaise » . Les membres de cette première loge sont essentiellement anglicans. En 1740, « La Française », qui regroupe les catholiques, est créée. Suivent « La Parfaite Harmonie » en 1744 et « L'Amitié » ou « L'Amitié allemande » en 1746. À la fin du XVIIIe siècle Bordeaux accueillait plus de 3 000 maçons pour 110 000 habitants. Ces loges sont alors un lieu de rencontre privilégié de l'élite bordelaise et diffusent les idées des Lumières. Étienne Morin négociant entre les Antilles et Bordeaux, fonda en 1745 la Loge écossaise de Bordeaux. La moitié des loges de Saint-Domingue ont pour origine Bordeaux. Étienne Polverel, initié en 1771 dans la loge « L'Amitié », est à l'origine de l'affranchissement des esclaves en 1793 à Saint-Domingue. Des bordelais célèbres sont initiés à la maçonnerie, tels que le philosophe Montesquieu, l'armateur Élisée Nairac, qui fera fortune dans la traite négrière, le sénateur maire Émile Fourcand, l'architecte Victor Louis. (fr)
- L'histoire de la franc-maçonnerie à Bordeaux commence au XVIIIe siècle, lors de la création en 1732, par trois marins britanniques ou irlandais, de la première loge dite « L'Anglaise » . Les membres de cette première loge sont essentiellement anglicans. En 1740, « La Française », qui regroupe les catholiques, est créée. Suivent « La Parfaite Harmonie » en 1744 et « L'Amitié » ou « L'Amitié allemande » en 1746. À la fin du XVIIIe siècle Bordeaux accueillait plus de 3 000 maçons pour 110 000 habitants. Ces loges sont alors un lieu de rencontre privilégié de l'élite bordelaise et diffusent les idées des Lumières. Étienne Morin négociant entre les Antilles et Bordeaux, fonda en 1745 la Loge écossaise de Bordeaux. La moitié des loges de Saint-Domingue ont pour origine Bordeaux. Étienne Polverel, initié en 1771 dans la loge « L'Amitié », est à l'origine de l'affranchissement des esclaves en 1793 à Saint-Domingue. Des bordelais célèbres sont initiés à la maçonnerie, tels que le philosophe Montesquieu, l'armateur Élisée Nairac, qui fera fortune dans la traite négrière, le sénateur maire Émile Fourcand, l'architecte Victor Louis. (fr)
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- https://www.persee.fr/docAsPDF/anami_0003-4398_1990_num_102_191_3273_t1_0505_0000_1.pdf|lire en ligne= (fr)
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- Lieux symboliques en Gironde. Trois siècles de franc-maçonnerie à Bordeaux (fr)
- Les Francs-Maçons de Bordeaux au siècle (fr)
- Notes on Early Freemasonry in Bordeaux (fr)
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- Ars Quatuor Coronatorum (fr)
- Édition Dervy (fr)
- Éditions du Glorit (fr)
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- L'histoire de la franc-maçonnerie à Bordeaux commence au XVIIIe siècle, lors de la création en 1732, par trois marins britanniques ou irlandais, de la première loge dite « L'Anglaise » . Les membres de cette première loge sont essentiellement anglicans. En 1740, « La Française », qui regroupe les catholiques, est créée. Suivent « La Parfaite Harmonie » en 1744 et « L'Amitié » ou « L'Amitié allemande » en 1746. À la fin du XVIIIe siècle Bordeaux accueillait plus de 3 000 maçons pour 110 000 habitants. Ces loges sont alors un lieu de rencontre privilégié de l'élite bordelaise et diffusent les idées des Lumières. (fr)
- L'histoire de la franc-maçonnerie à Bordeaux commence au XVIIIe siècle, lors de la création en 1732, par trois marins britanniques ou irlandais, de la première loge dite « L'Anglaise » . Les membres de cette première loge sont essentiellement anglicans. En 1740, « La Française », qui regroupe les catholiques, est créée. Suivent « La Parfaite Harmonie » en 1744 et « L'Amitié » ou « L'Amitié allemande » en 1746. À la fin du XVIIIe siècle Bordeaux accueillait plus de 3 000 maçons pour 110 000 habitants. Ces loges sont alors un lieu de rencontre privilégié de l'élite bordelaise et diffusent les idées des Lumières. (fr)
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- Franc-maçonnerie à Bordeaux (fr)
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