Eduardo Jorge Ávalos (Buenos Aires, 1892 ― idem, 1971) était un militaire et homme politique argentin. De sensibilité radicale, il joua un rôle de premier plan dans la révolution du 4 juin 1943, qui mit fin à la Décennie infâme, puis devint membre du GOU, comité d’officiers supérieurs qui dirigea ensuite l’Argentine pendant deux ans et dont faisait partie aussi Juan Perón. Devant les troubles d’octobre 1945, il fut amené à soulever les troupes sous son commandement et à mettre aux arrêts Juan Perón, avec qui le contentieux politique s’était accumulé. Devenu ministre de la Guerre en lieu et place de Perón, mais hésitant et réagissant mollement devant les manifestations de masse en faveur de celui-ci, il ne put empêcher Perón de s’emparer du pouvoir moins d'une semaine plus tard, le 17 octob

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  • Eduardo Jorge Ávalos (Buenos Aires, 1892 ― idem, 1971) était un militaire et homme politique argentin. De sensibilité radicale, il joua un rôle de premier plan dans la révolution du 4 juin 1943, qui mit fin à la Décennie infâme, puis devint membre du GOU, comité d’officiers supérieurs qui dirigea ensuite l’Argentine pendant deux ans et dont faisait partie aussi Juan Perón. Devant les troubles d’octobre 1945, il fut amené à soulever les troupes sous son commandement et à mettre aux arrêts Juan Perón, avec qui le contentieux politique s’était accumulé. Devenu ministre de la Guerre en lieu et place de Perón, mais hésitant et réagissant mollement devant les manifestations de masse en faveur de celui-ci, il ne put empêcher Perón de s’emparer du pouvoir moins d'une semaine plus tard, le 17 octobre 1945, et se retira de la vie politique. (fr)
  • Eduardo Jorge Ávalos (Buenos Aires, 1892 ― idem, 1971) était un militaire et homme politique argentin. De sensibilité radicale, il joua un rôle de premier plan dans la révolution du 4 juin 1943, qui mit fin à la Décennie infâme, puis devint membre du GOU, comité d’officiers supérieurs qui dirigea ensuite l’Argentine pendant deux ans et dont faisait partie aussi Juan Perón. Devant les troubles d’octobre 1945, il fut amené à soulever les troupes sous son commandement et à mettre aux arrêts Juan Perón, avec qui le contentieux politique s’était accumulé. Devenu ministre de la Guerre en lieu et place de Perón, mais hésitant et réagissant mollement devant les manifestations de masse en faveur de celui-ci, il ne put empêcher Perón de s’emparer du pouvoir moins d'une semaine plus tard, le 17 octobre 1945, et se retira de la vie politique. (fr)
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  • De gauche à droite : legénéral de brigadeJuan Esteban Vacca, lecolonelGuillermo Streich, lelieutenant-généralJosé Domingo Molina Gómez, legénéral de divisionFranklin Lucero, le général de brigade Eduardo Ávalos, le général de division Isidro Martini.
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  • De gauche à droite : le général de brigade Juan Esteban Vacca, le colonel Guillermo Streich, le lieutenant-général José Domingo Molina Gómez, le général de division Franklin Lucero, le général de brigade Eduardo Ávalos, le général de division Isidro Martini. (fr)
  • De gauche à droite : le général de brigade Juan Esteban Vacca, le colonel Guillermo Streich, le lieutenant-général José Domingo Molina Gómez, le général de division Franklin Lucero, le général de brigade Eduardo Ávalos, le général de division Isidro Martini. (fr)
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  • Army and Politics in Argentina, 1945-1962: Peron to Frondizi (fr)
  • Del fraude a la soberanía popular (fr)
  • Historia integral argentina. El peronismo en el poder (fr)
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  • Eduardo Jorge Ávalos (Buenos Aires, 1892 ― idem, 1971) était un militaire et homme politique argentin. De sensibilité radicale, il joua un rôle de premier plan dans la révolution du 4 juin 1943, qui mit fin à la Décennie infâme, puis devint membre du GOU, comité d’officiers supérieurs qui dirigea ensuite l’Argentine pendant deux ans et dont faisait partie aussi Juan Perón. Devant les troubles d’octobre 1945, il fut amené à soulever les troupes sous son commandement et à mettre aux arrêts Juan Perón, avec qui le contentieux politique s’était accumulé. Devenu ministre de la Guerre en lieu et place de Perón, mais hésitant et réagissant mollement devant les manifestations de masse en faveur de celui-ci, il ne put empêcher Perón de s’emparer du pouvoir moins d'une semaine plus tard, le 17 octob (fr)
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