En mathématiques, la conjecture de Scholz, parfois appelée conjecture de Scholz-Brauer ou conjecture de Brauer-Scholz, fut proposée en 1937. Elle prétend que où l(n) est la longueur de la plus courte chaîne d'additions qui produit n, c'est-à-dire le plus petit entier m pour lequel il existe une suite telle que , , et chaque est de la forme avec . Elle a été démontrée dans de nombreux cas, mais pas dans le cas général. . Des considérations élémentaires sur la nature des chaînes d'additions et le codage binaire permettent d' (en) : ,

Property Value
dbo:abstract
  • En mathématiques, la conjecture de Scholz, parfois appelée conjecture de Scholz-Brauer ou conjecture de Brauer-Scholz, fut proposée en 1937. Elle prétend que où l(n) est la longueur de la plus courte chaîne d'additions qui produit n, c'est-à-dire le plus petit entier m pour lequel il existe une suite telle que , , et chaque est de la forme avec . Elle a été démontrée dans de nombreux cas, mais pas dans le cas général. Par exemple pour n = 5 on a égalité, car l(5)=3 (puisque 1+1=2, 2+2=4, 4+1=5 et il n'existe pas de chaîne plus courte), l(31)=7 (1+1=2, 2+1=3, 3+3=6, 6+6=12, 12+12=24, 24+6=30, 30+1=31), et . Des considérations élémentaires sur la nature des chaînes d'additions et le codage binaire permettent d' (en) : , mais une preuve qui permettrait de remplacer par l'un des deux « » du majorant n'a pas encore été trouvée. (fr)
  • En mathématiques, la conjecture de Scholz, parfois appelée conjecture de Scholz-Brauer ou conjecture de Brauer-Scholz, fut proposée en 1937. Elle prétend que où l(n) est la longueur de la plus courte chaîne d'additions qui produit n, c'est-à-dire le plus petit entier m pour lequel il existe une suite telle que , , et chaque est de la forme avec . Elle a été démontrée dans de nombreux cas, mais pas dans le cas général. Par exemple pour n = 5 on a égalité, car l(5)=3 (puisque 1+1=2, 2+2=4, 4+1=5 et il n'existe pas de chaîne plus courte), l(31)=7 (1+1=2, 2+1=3, 3+3=6, 6+6=12, 12+12=24, 24+6=30, 30+1=31), et . Des considérations élémentaires sur la nature des chaînes d'additions et le codage binaire permettent d' (en) : , mais une preuve qui permettrait de remplacer par l'un des deux « » du majorant n'a pas encore été trouvée. (fr)
dbo:wikiPageExternalLink
dbo:wikiPageID
  • 1365322 (xsd:integer)
dbo:wikiPageLength
  • 2352 (xsd:nonNegativeInteger)
dbo:wikiPageRevisionID
  • 177369789 (xsd:integer)
dbo:wikiPageWikiLink
prop-fr:année
  • 1937 (xsd:integer)
  • 1939 (xsd:integer)
prop-fr:fr
  • preuve de la conjecture faible de Scholz (fr)
  • preuve de la conjecture faible de Scholz (fr)
prop-fr:lang
  • de (fr)
  • en (fr)
  • de (fr)
  • en (fr)
prop-fr:nom
prop-fr:pages
  • 736 (xsd:integer)
prop-fr:périodique
  • Bull. Amer. Math. Soc. (fr)
  • Jahresber. Deutsche Math. Vereinigung (fr)
  • Bull. Amer. Math. Soc. (fr)
  • Jahresber. Deutsche Math. Vereinigung (fr)
prop-fr:texte
  • établir l'inégalité suivante, plus faible (fr)
  • établir l'inégalité suivante, plus faible (fr)
prop-fr:titre
  • On addition chains (fr)
  • Aufgabe 252 (fr)
  • On addition chains (fr)
  • Aufgabe 252 (fr)
prop-fr:titreNuméro
  • Aufgaben und Lösungen (fr)
  • Aufgaben und Lösungen (fr)
prop-fr:trad
  • Proof of weak Scholz conjecture (fr)
  • Proof of weak Scholz conjecture (fr)
prop-fr:url
prop-fr:volume
  • 45 (xsd:integer)
  • 47 (xsd:integer)
prop-fr:wikiPageUsesTemplate
dct:subject
rdfs:comment
  • En mathématiques, la conjecture de Scholz, parfois appelée conjecture de Scholz-Brauer ou conjecture de Brauer-Scholz, fut proposée en 1937. Elle prétend que où l(n) est la longueur de la plus courte chaîne d'additions qui produit n, c'est-à-dire le plus petit entier m pour lequel il existe une suite telle que , , et chaque est de la forme avec . Elle a été démontrée dans de nombreux cas, mais pas dans le cas général. . Des considérations élémentaires sur la nature des chaînes d'additions et le codage binaire permettent d' (en) : , (fr)
  • En mathématiques, la conjecture de Scholz, parfois appelée conjecture de Scholz-Brauer ou conjecture de Brauer-Scholz, fut proposée en 1937. Elle prétend que où l(n) est la longueur de la plus courte chaîne d'additions qui produit n, c'est-à-dire le plus petit entier m pour lequel il existe une suite telle que , , et chaque est de la forme avec . Elle a été démontrée dans de nombreux cas, mais pas dans le cas général. . Des considérations élémentaires sur la nature des chaînes d'additions et le codage binaire permettent d' (en) : , (fr)
rdfs:label
  • Conjecture de Scholz (fr)
  • Scholz conjecture (en)
owl:sameAs
prov:wasDerivedFrom
foaf:isPrimaryTopicOf
is dbo:wikiPageDisambiguates of
is dbo:wikiPageRedirects of
is dbo:wikiPageWikiLink of
is oa:hasTarget of
is foaf:primaryTopic of