La Confédération générale du travail (Confederazione Generale del Lavoro, CGdL) était une organisation syndicale fondée à Milan, entre le 29 septembre et le 1er octobre 1906, à l'initiative des chambres du travail, des ligues de résistance et des fédérations syndicales, et par 700 syndicats locaux, représentant un total de 250 000 membres, et qui fusionnera dans la CGIL en juin 1944. La plupart de ses dirigeants et membres étaient également des militants actifs au sein du Parti socialiste italien (son fondateur Rinaldo Rigola, premier secrétaire de la CGdL, et ses successeurs Ludovico D'Aragona et Bruno Buozzi étaient socialistes). Avec le fascisme, son existence continuera dans la clandestinité, puis renaîtra en 1944, avec le Pacte de Rome, dans la CGIL unitaire qui, en 1950 par ses sciss

Property Value
dbo:abstract
  • La Confédération générale du travail (Confederazione Generale del Lavoro, CGdL) était une organisation syndicale fondée à Milan, entre le 29 septembre et le 1er octobre 1906, à l'initiative des chambres du travail, des ligues de résistance et des fédérations syndicales, et par 700 syndicats locaux, représentant un total de 250 000 membres, et qui fusionnera dans la CGIL en juin 1944. La plupart de ses dirigeants et membres étaient également des militants actifs au sein du Parti socialiste italien (son fondateur Rinaldo Rigola, premier secrétaire de la CGdL, et ses successeurs Ludovico D'Aragona et Bruno Buozzi étaient socialistes). Avec le fascisme, son existence continuera dans la clandestinité, puis renaîtra en 1944, avec le Pacte de Rome, dans la CGIL unitaire qui, en 1950 par ses scissions, donnera vie aux confédérations syndicales italiennes actuelles CGIL - CISL - UIL. (fr)
  • La Confédération générale du travail (Confederazione Generale del Lavoro, CGdL) était une organisation syndicale fondée à Milan, entre le 29 septembre et le 1er octobre 1906, à l'initiative des chambres du travail, des ligues de résistance et des fédérations syndicales, et par 700 syndicats locaux, représentant un total de 250 000 membres, et qui fusionnera dans la CGIL en juin 1944. La plupart de ses dirigeants et membres étaient également des militants actifs au sein du Parti socialiste italien (son fondateur Rinaldo Rigola, premier secrétaire de la CGdL, et ses successeurs Ludovico D'Aragona et Bruno Buozzi étaient socialistes). Avec le fascisme, son existence continuera dans la clandestinité, puis renaîtra en 1944, avec le Pacte de Rome, dans la CGIL unitaire qui, en 1950 par ses scissions, donnera vie aux confédérations syndicales italiennes actuelles CGIL - CISL - UIL. (fr)
dbo:country
dbo:wikiPageID
  • 13546698 (xsd:integer)
dbo:wikiPageLength
  • 16249 (xsd:nonNegativeInteger)
dbo:wikiPageRevisionID
  • 191006157 (xsd:integer)
dbo:wikiPageWikiLink
prop-fr:wikiPageUsesTemplate
dct:subject
rdf:type
rdfs:comment
  • La Confédération générale du travail (Confederazione Generale del Lavoro, CGdL) était une organisation syndicale fondée à Milan, entre le 29 septembre et le 1er octobre 1906, à l'initiative des chambres du travail, des ligues de résistance et des fédérations syndicales, et par 700 syndicats locaux, représentant un total de 250 000 membres, et qui fusionnera dans la CGIL en juin 1944. La plupart de ses dirigeants et membres étaient également des militants actifs au sein du Parti socialiste italien (son fondateur Rinaldo Rigola, premier secrétaire de la CGdL, et ses successeurs Ludovico D'Aragona et Bruno Buozzi étaient socialistes). Avec le fascisme, son existence continuera dans la clandestinité, puis renaîtra en 1944, avec le Pacte de Rome, dans la CGIL unitaire qui, en 1950 par ses sciss (fr)
  • La Confédération générale du travail (Confederazione Generale del Lavoro, CGdL) était une organisation syndicale fondée à Milan, entre le 29 septembre et le 1er octobre 1906, à l'initiative des chambres du travail, des ligues de résistance et des fédérations syndicales, et par 700 syndicats locaux, représentant un total de 250 000 membres, et qui fusionnera dans la CGIL en juin 1944. La plupart de ses dirigeants et membres étaient également des militants actifs au sein du Parti socialiste italien (son fondateur Rinaldo Rigola, premier secrétaire de la CGdL, et ses successeurs Ludovico D'Aragona et Bruno Buozzi étaient socialistes). Avec le fascisme, son existence continuera dans la clandestinité, puis renaîtra en 1944, avec le Pacte de Rome, dans la CGIL unitaire qui, en 1950 par ses sciss (fr)
rdfs:label
  • Confederación General del Trabajo (Italia) (es)
  • Confédération générale du travail (Italie) (fr)
  • General Confederation of Labour (Italy) (en)
rdfs:seeAlso
owl:sameAs
prov:wasDerivedFrom
foaf:isPrimaryTopicOf
is dbo:wikiPageDisambiguates of
is dbo:wikiPageWikiLink of
is oa:hasTarget of
is foaf:primaryTopic of