Le clergé féminin en Nouvelle-France sous le Régime français, soit de 1639 à 1760, correspond aux communautés religieuses de femmes établies sur les territoires coloniaux français d'Amérique du Nord. Ces communautés féminines étaient régies par l'évêque, ainsi qu'appuyées par l'Église et l'État. Ces dernières assumaient des rôles associés à l'éducation des jeunes filles, à l'hospitalisation et à la charité envers les groupes marginalisés de la population. Sous le Régime français, le clergé féminin se divisait en deux groupes, soit le clergé régulier qui comprenait les religieuses qui étaient cloîtrées et soumises aux vœux solennels de pauvreté, d'obéissance et de chasteté (Les Ursulines, Les Hospitalières de la Miséricorde de Jésus et les Hospitalières de Saint-Joseph); ainsi que le clergé

Property Value
dbo:abstract
  • Le clergé féminin en Nouvelle-France sous le Régime français, soit de 1639 à 1760, correspond aux communautés religieuses de femmes établies sur les territoires coloniaux français d'Amérique du Nord. Ces communautés féminines étaient régies par l'évêque, ainsi qu'appuyées par l'Église et l'État. Ces dernières assumaient des rôles associés à l'éducation des jeunes filles, à l'hospitalisation et à la charité envers les groupes marginalisés de la population. Sous le Régime français, le clergé féminin se divisait en deux groupes, soit le clergé régulier qui comprenait les religieuses qui étaient cloîtrées et soumises aux vœux solennels de pauvreté, d'obéissance et de chasteté (Les Ursulines, Les Hospitalières de la Miséricorde de Jésus et les Hospitalières de Saint-Joseph); ainsi que le clergé séculier, qui rassemblait les communautés de femmes qui n'appartenaient pas à un ordre cloîtré, donc vivaient au sein de la communauté, mais qui étaient également soumises aux vœux solennels (Les Sœurs de la Congrégation de Notre-Dame et les Sœurs de la Charité de l'Hôpital général de Montréal) . (fr)
  • Le clergé féminin en Nouvelle-France sous le Régime français, soit de 1639 à 1760, correspond aux communautés religieuses de femmes établies sur les territoires coloniaux français d'Amérique du Nord. Ces communautés féminines étaient régies par l'évêque, ainsi qu'appuyées par l'Église et l'État. Ces dernières assumaient des rôles associés à l'éducation des jeunes filles, à l'hospitalisation et à la charité envers les groupes marginalisés de la population. Sous le Régime français, le clergé féminin se divisait en deux groupes, soit le clergé régulier qui comprenait les religieuses qui étaient cloîtrées et soumises aux vœux solennels de pauvreté, d'obéissance et de chasteté (Les Ursulines, Les Hospitalières de la Miséricorde de Jésus et les Hospitalières de Saint-Joseph); ainsi que le clergé séculier, qui rassemblait les communautés de femmes qui n'appartenaient pas à un ordre cloîtré, donc vivaient au sein de la communauté, mais qui étaient également soumises aux vœux solennels (Les Sœurs de la Congrégation de Notre-Dame et les Sœurs de la Charité de l'Hôpital général de Montréal) . (fr)
dbo:thumbnail
dbo:wikiPageID
  • 14054719 (xsd:integer)
dbo:wikiPageLength
  • 46030 (xsd:nonNegativeInteger)
dbo:wikiPageRevisionID
  • 184826635 (xsd:integer)
dbo:wikiPageWikiLink
prop-fr:wikiPageUsesTemplate
dct:subject
rdfs:comment
  • Le clergé féminin en Nouvelle-France sous le Régime français, soit de 1639 à 1760, correspond aux communautés religieuses de femmes établies sur les territoires coloniaux français d'Amérique du Nord. Ces communautés féminines étaient régies par l'évêque, ainsi qu'appuyées par l'Église et l'État. Ces dernières assumaient des rôles associés à l'éducation des jeunes filles, à l'hospitalisation et à la charité envers les groupes marginalisés de la population. Sous le Régime français, le clergé féminin se divisait en deux groupes, soit le clergé régulier qui comprenait les religieuses qui étaient cloîtrées et soumises aux vœux solennels de pauvreté, d'obéissance et de chasteté (Les Ursulines, Les Hospitalières de la Miséricorde de Jésus et les Hospitalières de Saint-Joseph); ainsi que le clergé (fr)
  • Le clergé féminin en Nouvelle-France sous le Régime français, soit de 1639 à 1760, correspond aux communautés religieuses de femmes établies sur les territoires coloniaux français d'Amérique du Nord. Ces communautés féminines étaient régies par l'évêque, ainsi qu'appuyées par l'Église et l'État. Ces dernières assumaient des rôles associés à l'éducation des jeunes filles, à l'hospitalisation et à la charité envers les groupes marginalisés de la population. Sous le Régime français, le clergé féminin se divisait en deux groupes, soit le clergé régulier qui comprenait les religieuses qui étaient cloîtrées et soumises aux vœux solennels de pauvreté, d'obéissance et de chasteté (Les Ursulines, Les Hospitalières de la Miséricorde de Jésus et les Hospitalières de Saint-Joseph); ainsi que le clergé (fr)
rdfs:label
  • Clergé féminin au Canada sous le Régime français, 1639 à 1760 (fr)
  • Clergé féminin au Canada sous le Régime français, 1639 à 1760 (fr)
owl:sameAs
prov:wasDerivedFrom
foaf:depiction
foaf:isPrimaryTopicOf
is dbo:wikiPageWikiLink of
is oa:hasTarget of
is foaf:primaryTopic of