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- Le Centre d'études légales et sociales (CELS, Centro de Estudios Legales y Sociales) est une ONG argentine, basée à Buenos Aires et créée en 1979, sous la dictature militaire (1976-1983) afin de défendre les droits de l'homme. Elle fut présidée par Emilio Mignone, père, de confession catholique, d'une fille desaparecida, travailleuse sociale dans un bidonville kidnappée le 14 mai 1976. Mignone était également vice-président de l'Assemblée permanente pour les droits de l'homme. Depuis 2000, le CELS est présidé par le journaliste Horacio Verbitsky, qui fait également partie du conseil de direction de la section d'Amérique latine de Human Rights Watch. (fr)
- Le Centre d'études légales et sociales (CELS, Centro de Estudios Legales y Sociales) est une ONG argentine, basée à Buenos Aires et créée en 1979, sous la dictature militaire (1976-1983) afin de défendre les droits de l'homme. Elle fut présidée par Emilio Mignone, père, de confession catholique, d'une fille desaparecida, travailleuse sociale dans un bidonville kidnappée le 14 mai 1976. Mignone était également vice-président de l'Assemblée permanente pour les droits de l'homme. Depuis 2000, le CELS est présidé par le journaliste Horacio Verbitsky, qui fait également partie du conseil de direction de la section d'Amérique latine de Human Rights Watch. (fr)
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- Le Centre d'études légales et sociales (CELS, Centro de Estudios Legales y Sociales) est une ONG argentine, basée à Buenos Aires et créée en 1979, sous la dictature militaire (1976-1983) afin de défendre les droits de l'homme. Elle fut présidée par Emilio Mignone, père, de confession catholique, d'une fille desaparecida, travailleuse sociale dans un bidonville kidnappée le 14 mai 1976. Mignone était également vice-président de l'Assemblée permanente pour les droits de l'homme. (fr)
- Le Centre d'études légales et sociales (CELS, Centro de Estudios Legales y Sociales) est une ONG argentine, basée à Buenos Aires et créée en 1979, sous la dictature militaire (1976-1983) afin de défendre les droits de l'homme. Elle fut présidée par Emilio Mignone, père, de confession catholique, d'une fille desaparecida, travailleuse sociale dans un bidonville kidnappée le 14 mai 1976. Mignone était également vice-président de l'Assemblée permanente pour les droits de l'homme. (fr)
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