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- La bataille de Crète oppose les troupes britanniques et alliées (néo-zélandaises, australiennes et grecques) aux parachutistes et chasseurs alpins allemands pendant 11 jours, du 20 au 31 mai 1941. Ce fut la dernière bataille de la campagne des Balkans. Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lance une invasion aéroportée de la Crète, nom de code « opération Merkur ». Les parachutistes allemands sous les ordres du général Kurt Student sont largués sur trois points : Máleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur mission est de s’emparer de ces trois aérodromes afin de permettre l'atterrissage de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui dispose de la maîtrise du ciel, puisque la Royal Navy, maîtresse des mers, empêche tout débarquement amphibie. Pendant deux semaines, la bataille fait rage ; au moins 4 000 paras allemands sont tués, et 500 capturés. Les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Bernard Freyberg comptent 3 500 tués, 1 900 blessés, et une grande partie des troupes sera capturée (environ 12 000 hommes). La victoire est essentiellement celle des chasseurs alpins, aucune opération aéroportée d'envergure ne sera plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre. Les Fallschirmjäger seront alors employés comme fantassins sur tous les fronts. (fr)
- La bataille de Crète oppose les troupes britanniques et alliées (néo-zélandaises, australiennes et grecques) aux parachutistes et chasseurs alpins allemands pendant 11 jours, du 20 au 31 mai 1941. Ce fut la dernière bataille de la campagne des Balkans. Le matin du 20 mai 1941, le IIIe Reich lance une invasion aéroportée de la Crète, nom de code « opération Merkur ». Les parachutistes allemands sous les ordres du général Kurt Student sont largués sur trois points : Máleme, Héraklion, et Réthymnon. Leur mission est de s’emparer de ces trois aérodromes afin de permettre l'atterrissage de renforts aérotransportés par la Luftwaffe qui dispose de la maîtrise du ciel, puisque la Royal Navy, maîtresse des mers, empêche tout débarquement amphibie. Pendant deux semaines, la bataille fait rage ; au moins 4 000 paras allemands sont tués, et 500 capturés. Les troupes britanniques et néo-zélandaises du général Bernard Freyberg comptent 3 500 tués, 1 900 blessés, et une grande partie des troupes sera capturée (environ 12 000 hommes). La victoire est essentiellement celle des chasseurs alpins, aucune opération aéroportée d'envergure ne sera plus lancée par les Allemands jusqu'à la fin de la guerre. Les Fallschirmjäger seront alors employés comme fantassins sur tous les fronts. (fr)
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