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- Cet article concerne une analyse statistique de l'athéisme. Bien que les athées soient minoritaires dans la plupart des pays, ils sont relativement nombreux en Europe de l'Ouest, Australie, Nouvelle-Zélande, Canada, dans d'anciens et actuels États dits socialistes, et, à un moindre degré, aux États-Unis. L'incrédulité ou le doute sur l'existence d'une divinité sont particulièrement répandus parmi les scientifiques, une tendance déjà tout à fait marquée au début du XXe siècle, se développant de façon dominante pendant le siècle. En 1914, James H. Leuba a constaté que sur 1 000 scientifiques aux États-Unis, aléatoirement choisis, 58 % ont exprimé de l'incrédulité ou [du] doute sur l'existence de Dieu. Les mêmes études[réf. nécessaire], répétées en 1996, ont donné un pourcentage semblable de 60,7 % ; ce nombre est de 93 % parmi les membres de l'Académie nationale des sciences. Les expressions de l'incrédulité positive sont montées de 52 % à 72%[réf. nécessaire] (voir également l'article Relation entre science et religion). Déjà en 2009 aux États-Unis, un sondage de l'Association américaine pour l'avancement des sciences affirme que 51 % de scientifiques croient en une entité supérieure dont 33 % en Dieu. Selon un autre sondage, les jeunes chercheurs (moins de 34 ans) seraient de plus en plus nombreux à croire en Dieu (42 %), ou à une quelconque entité supérieure (24 %) que les plus âgés (32 % à croire en Dieu et 18 % en une entité supérieur pour les 50-64 ans, par exemple). (fr)
- Cet article concerne une analyse statistique de l'athéisme. Bien que les athées soient minoritaires dans la plupart des pays, ils sont relativement nombreux en Europe de l'Ouest, Australie, Nouvelle-Zélande, Canada, dans d'anciens et actuels États dits socialistes, et, à un moindre degré, aux États-Unis. L'incrédulité ou le doute sur l'existence d'une divinité sont particulièrement répandus parmi les scientifiques, une tendance déjà tout à fait marquée au début du XXe siècle, se développant de façon dominante pendant le siècle. En 1914, James H. Leuba a constaté que sur 1 000 scientifiques aux États-Unis, aléatoirement choisis, 58 % ont exprimé de l'incrédulité ou [du] doute sur l'existence de Dieu. Les mêmes études[réf. nécessaire], répétées en 1996, ont donné un pourcentage semblable de 60,7 % ; ce nombre est de 93 % parmi les membres de l'Académie nationale des sciences. Les expressions de l'incrédulité positive sont montées de 52 % à 72%[réf. nécessaire] (voir également l'article Relation entre science et religion). Déjà en 2009 aux États-Unis, un sondage de l'Association américaine pour l'avancement des sciences affirme que 51 % de scientifiques croient en une entité supérieure dont 33 % en Dieu. Selon un autre sondage, les jeunes chercheurs (moins de 34 ans) seraient de plus en plus nombreux à croire en Dieu (42 %), ou à une quelconque entité supérieure (24 %) que les plus âgés (32 % à croire en Dieu et 18 % en une entité supérieur pour les 50-64 ans, par exemple). (fr)
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- Cet article concerne une analyse statistique de l'athéisme. Bien que les athées soient minoritaires dans la plupart des pays, ils sont relativement nombreux en Europe de l'Ouest, Australie, Nouvelle-Zélande, Canada, dans d'anciens et actuels États dits socialistes, et, à un moindre degré, aux États-Unis. (fr)
- Cet article concerne une analyse statistique de l'athéisme. Bien que les athées soient minoritaires dans la plupart des pays, ils sont relativement nombreux en Europe de l'Ouest, Australie, Nouvelle-Zélande, Canada, dans d'anciens et actuels États dits socialistes, et, à un moindre degré, aux États-Unis. (fr)
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